Lectures
En me promenant dans la bibliothèque municipale, j'ai pu trouver le seul manga de leur collection, planqué derrière Lord of the Ringards.
Don Giovanni, que ça s'appelle. L'auteur est un certain Fukuyama et c'est édité chez Casterman: donc c'est assez vieux, passke depuis Gon, ils n'ont rien édité en mangas, et ça remonte à 1995 !
Ca raconte l'histoire d'un bourreau des coeurs dans le Japon médiéval, accompagné d'un robot et poursuivi par un homo. Sans parler d'une fille qu'il a violée et qui le poursuit pour se venger... L'ensemble se veut comique, et m'a fait sourire tout au plus. Le dessin est moyen, le fil narratif est “lisible”, et ça ne vole pas très haut. En un mot: bof.
J'ai aussi fini de lire Ring, (attention, la version Pocket que j'ai eu entre les pattes est bourrée de fautes d'orthographe, une vraie honte) et j'ai été soufflé par les énormes différences avec le film (j'imagine bien tristement le carnage de la version américaine à sortir). Je savais déjà que le perso principal était un mec et non plus une femme, mais ça va très loin... Le héros est accompagné d'un personnage avec une personnalité très complexe (et vraiment plus intéressant que le faire-valoir du film), la cassette maudite a un contenu complètement différent, et Sadako, euh, Sadako... Je veux pas vous en dire plus sur son compte, mais elle aussi est complètement changée.
J'en arrive à penser que les films sont une histoire séparée (une sorte de gaiden), et que la trilogie des films demande autant d'attention que celle des bouquins - et vice-versa. Je me retiens de penser que les films sont une version édulcorée de la version écrite... Tout est très simplifié, il faut faire tenir ça en une heure trente, blablabla, mais il n'empêche que la version cinématographique est redoutable.
J'ai raté le passage en salles de Ring 2, je vais pas le laisser passer pour sa version DVD, et il en est de même pour Rakkuen aka Double Hélice, le deuxième livre (rien que le résumé sur Amazon me fait saliver). Et dire qu'au Japon, ils ont eu la série TV, gahhh... Par contre, le jeu vidéo Dreamcast est un peu caca ~_- .
Enfin, je me suis procuré le volume 1 de Fruits Basket (il était temps !). L'anime y est donc très fidèle, c'est toujours aussi plaisant à suivre, rien à dire sur l'oeuvre. Cependant, il s'agit de la première parution d'un manga chez Delcourt, et on sent les erreurs de jeunesse: lettrage pas toujours très lisible (personne n'aime lire les polices de caractères en taille 2), quelques fautes de grammaire, traduction qui donne parfois l'impression d'avoir été faite par un type qui ne connait pas le “milieu” (on NE DIT PAS “Les grandes Guerres de Sakura 2”, mais “Sakura Taisen 2”, Bon Dieu !)... Par contre, le papier n'est pas trop mauvais, l'encre ne tache pas les pattes, et c'est édité dans le sens de lecture original. D'après ce que j'ai pu lire dans le Pavillon Rouge (publication des éditions Delcourt) d'un copain, la sous-boîte de Delcourt (Akata) qui fait la section mangas est tenue par l'ex-boss de Tonkam (parti au moment où les choses commençaient à tourner au vinaigre) dont je n'arrête pas d'oublier le nom. Tâchons de leur faire confiance pour corriger leurs petites bévues, kwâ.
Don Giovanni, que ça s'appelle. L'auteur est un certain Fukuyama et c'est édité chez Casterman: donc c'est assez vieux, passke depuis Gon, ils n'ont rien édité en mangas, et ça remonte à 1995 !
Ca raconte l'histoire d'un bourreau des coeurs dans le Japon médiéval, accompagné d'un robot et poursuivi par un homo. Sans parler d'une fille qu'il a violée et qui le poursuit pour se venger... L'ensemble se veut comique, et m'a fait sourire tout au plus. Le dessin est moyen, le fil narratif est “lisible”, et ça ne vole pas très haut. En un mot: bof.
J'ai aussi fini de lire Ring, (attention, la version Pocket que j'ai eu entre les pattes est bourrée de fautes d'orthographe, une vraie honte) et j'ai été soufflé par les énormes différences avec le film (j'imagine bien tristement le carnage de la version américaine à sortir). Je savais déjà que le perso principal était un mec et non plus une femme, mais ça va très loin... Le héros est accompagné d'un personnage avec une personnalité très complexe (et vraiment plus intéressant que le faire-valoir du film), la cassette maudite a un contenu complètement différent, et Sadako, euh, Sadako... Je veux pas vous en dire plus sur son compte, mais elle aussi est complètement changée.
J'en arrive à penser que les films sont une histoire séparée (une sorte de gaiden), et que la trilogie des films demande autant d'attention que celle des bouquins - et vice-versa. Je me retiens de penser que les films sont une version édulcorée de la version écrite... Tout est très simplifié, il faut faire tenir ça en une heure trente, blablabla, mais il n'empêche que la version cinématographique est redoutable.
J'ai raté le passage en salles de Ring 2, je vais pas le laisser passer pour sa version DVD, et il en est de même pour Rakkuen aka Double Hélice, le deuxième livre (rien que le résumé sur Amazon me fait saliver). Et dire qu'au Japon, ils ont eu la série TV, gahhh... Par contre, le jeu vidéo Dreamcast est un peu caca ~_- .
Enfin, je me suis procuré le volume 1 de Fruits Basket (il était temps !). L'anime y est donc très fidèle, c'est toujours aussi plaisant à suivre, rien à dire sur l'oeuvre. Cependant, il s'agit de la première parution d'un manga chez Delcourt, et on sent les erreurs de jeunesse: lettrage pas toujours très lisible (personne n'aime lire les polices de caractères en taille 2), quelques fautes de grammaire, traduction qui donne parfois l'impression d'avoir été faite par un type qui ne connait pas le “milieu” (on NE DIT PAS “Les grandes Guerres de Sakura 2”, mais “Sakura Taisen 2”, Bon Dieu !)... Par contre, le papier n'est pas trop mauvais, l'encre ne tache pas les pattes, et c'est édité dans le sens de lecture original. D'après ce que j'ai pu lire dans le Pavillon Rouge (publication des éditions Delcourt) d'un copain, la sous-boîte de Delcourt (Akata) qui fait la section mangas est tenue par l'ex-boss de Tonkam (parti au moment où les choses commençaient à tourner au vinaigre) dont je n'arrête pas d'oublier le nom. Tâchons de leur faire confiance pour corriger leurs petites bévues, kwâ.
Par Raton-Laveur le 30 septembre 2002, 19:57 - Japanime - Lien permanent
Derniers commentaires