Début de saison TV au Japon, épisode 4: Final Approach
Harem Anime de base: 5 filles, un mec, humour réchauffé depuis une bonne décennie, techniquement rien de spécial. Un producteur s'est levé dans le studio et a hurlé qu'il fallait ajouter un petit quelque chose pour que la bête ne disparaisse pas dans les tréfonds de l'oubli. Qu'il en soit ainsi: le perso féminin principal fera son entrée dans le premier épisode par la fenêtre et en parachute, sujet d'une expérience du gouvernement pour être la femme parfaite du héros. Eloignez les plus jeunes de l'écran, parce que l'argument avancé risque de faire exploser les cerveaux les plus faibles: le Japon manque d'enfants, alors ce projet gouvernemental a pour but de repeupler le pays. Donc, monsieur perso-principal-totalement-insipide-dont-tout-le-monde-a-déjà-oublié-le-nom (et qui vit seul à 17 ans avec sa soeur de 15 ans, suivez mon regard), tu joues au docteur avec la fille ou c'est la taule sans passer par la case départ et sans toucher 3000€. Vlan.
Début d'une parenthèse.
Gouverment japonais, laisse-moi assumer mon rôle de français stéréotypé donneur de leçons pour te filer quelques infos. D'abord, pas besoin de se casser le cul avec des histoires de sélection de mâle et de femelle pour assurer la reproduction: la dernère fois que j'ai vérifié, c'est tellement facile et amusant de faire des gosses que n'importe quel abruti peut s'en occuper - c'est sûrement à cause de ça qu'il est si difficile de trouver quelqu'un qui soit foutu de poser correctement une tapisserie. Et entre nous, c'est même un argument sacrément cliché pour justifier une relation sexuelle. Secundo, s'il faut que les japonais soient moins effrayés par l'acte proprement dit, peut-être qu'il est temps d'arrêter de mettre des tentacules dans tous les animes de la Création. Ensuite, une petite réfome de la constitution-diktat d'après-guerre pour enfin retirer ces putains de mosaïques dans les films pornos ne coûterait pas bien cher et ouvrirait un peu plus les frontières. La preuve: j'ai montré une version non censurée à un copain, qui a découvert que la censure ne servait pas à cacher appareils génitaux et autres pilosités, mais à protéger la fierté des japonais. Découvrant qu'une fois au Japon, il serait considéré comme Rocco Siffredi malgré la taille vraisemblablement ridicule de son engin, il est actuellement en train de remplir une demande de passeport à usage unique pour ce pays, havre de femmes en fleur. Enfin, c'est ce qu'il pense. Personnellement, j'ai comme tout un chacun fini par développer un filtre optique interne qui élimine toute perception de mosaïque; ça pose parfois problème devant le Mode 7 de la Super Nintendo, mais c'est un autre problème.
Fin de la parenthèse.
Pour en revenir au cas Final Approach, on peut donc affirmer sans frémir que cet anime n'a strictement aucune prétention. Même le coup du héros entouré de filles contre son gré a déjà été fait (*tousse*Hanaukyo Maids*tousse*), ce qui aide vaguement le téléspectateur à relativiser sur sa propre condition, lui qui aurait déjà fait l'intégrale du Grand Culbuto avec la demoiselle avant la fin du premier épisode. D'ailleurs, n'oublions pas que la chose est issue d'un jeu vidéo hentai, tout comme W Wish, l'autre anime diffusé dans la même tranche horaire (nommée Princess Hour, puisque le studio à l'origine des deux jeux est Princess Software). Evidemment que ces animes ne sont pas pour autant réservés au public adulte! Ils font juste partie de la flopée de productions en provenance de cette f(r)ange prolifique (devrais-je écrire féconde?): Kimi Ga Nozomu Eien, les deux Onegai (Teacher et Twins), Kanon et Air (studio Key), Nurse Witch Komugi-chan, Popotan... Trop peu de gens le savent et ça ne les empêche pas pour autant de jouer les vierges effarouchées devant un jeu de cette trempe. Du coup, ils portent aux nues les adaptations moe-moe, continuent à mépriser le marché hentai, et la boucle se répète. Que ce paragraphe serve de leçon à celles et ceux qui l'ignorent: la production pour adultes est à prendre avec le reste. Les autres viennent de se trouver un argument en béton pour justifier leurs DVD douteux.
Cette discussion autour d'animes plus insipides les uns que les autres est en train de liquéfier ma conscience. On la continuera en parlant de W Wish.
Début d'une parenthèse.
Gouverment japonais, laisse-moi assumer mon rôle de français stéréotypé donneur de leçons pour te filer quelques infos. D'abord, pas besoin de se casser le cul avec des histoires de sélection de mâle et de femelle pour assurer la reproduction: la dernère fois que j'ai vérifié, c'est tellement facile et amusant de faire des gosses que n'importe quel abruti peut s'en occuper - c'est sûrement à cause de ça qu'il est si difficile de trouver quelqu'un qui soit foutu de poser correctement une tapisserie. Et entre nous, c'est même un argument sacrément cliché pour justifier une relation sexuelle. Secundo, s'il faut que les japonais soient moins effrayés par l'acte proprement dit, peut-être qu'il est temps d'arrêter de mettre des tentacules dans tous les animes de la Création. Ensuite, une petite réfome de la constitution-diktat d'après-guerre pour enfin retirer ces putains de mosaïques dans les films pornos ne coûterait pas bien cher et ouvrirait un peu plus les frontières. La preuve: j'ai montré une version non censurée à un copain, qui a découvert que la censure ne servait pas à cacher appareils génitaux et autres pilosités, mais à protéger la fierté des japonais. Découvrant qu'une fois au Japon, il serait considéré comme Rocco Siffredi malgré la taille vraisemblablement ridicule de son engin, il est actuellement en train de remplir une demande de passeport à usage unique pour ce pays, havre de femmes en fleur. Enfin, c'est ce qu'il pense. Personnellement, j'ai comme tout un chacun fini par développer un filtre optique interne qui élimine toute perception de mosaïque; ça pose parfois problème devant le Mode 7 de la Super Nintendo, mais c'est un autre problème.
Fin de la parenthèse.
Pour en revenir au cas Final Approach, on peut donc affirmer sans frémir que cet anime n'a strictement aucune prétention. Même le coup du héros entouré de filles contre son gré a déjà été fait (*tousse*Hanaukyo Maids*tousse*), ce qui aide vaguement le téléspectateur à relativiser sur sa propre condition, lui qui aurait déjà fait l'intégrale du Grand Culbuto avec la demoiselle avant la fin du premier épisode. D'ailleurs, n'oublions pas que la chose est issue d'un jeu vidéo hentai, tout comme W Wish, l'autre anime diffusé dans la même tranche horaire (nommée Princess Hour, puisque le studio à l'origine des deux jeux est Princess Software). Evidemment que ces animes ne sont pas pour autant réservés au public adulte! Ils font juste partie de la flopée de productions en provenance de cette f(r)ange prolifique (devrais-je écrire féconde?): Kimi Ga Nozomu Eien, les deux Onegai (Teacher et Twins), Kanon et Air (studio Key), Nurse Witch Komugi-chan, Popotan... Trop peu de gens le savent et ça ne les empêche pas pour autant de jouer les vierges effarouchées devant un jeu de cette trempe. Du coup, ils portent aux nues les adaptations moe-moe, continuent à mépriser le marché hentai, et la boucle se répète. Que ce paragraphe serve de leçon à celles et ceux qui l'ignorent: la production pour adultes est à prendre avec le reste. Les autres viennent de se trouver un argument en béton pour justifier leurs DVD douteux.
Cette discussion autour d'animes plus insipides les uns que les autres est en train de liquéfier ma conscience. On la continuera en parlant de W Wish.
Par Raton-Laveur le 26 octobre 2004, 16:09 - Japanime - Lien permanent
Commentaires
http://www.google.fr/search...
enfin bon moi je dit ca, je dit rien.