Star Wars Republic Commando
(merci à Blacksad!)
Je ne suis pas un fan de Star Wars. Faut relativiser aussi: j'ai un pote qui lui, est un camé. S'il arrive à avoir des relations sexuelles, c'est parce que les femmes ne rentrent pas chez lui, où il a insonorisé une pièce pour en faire un cinéma THX avec des fauteuils récupérés dans un cinéma en faillite, a un porte-brosse à dents en forme du pod de Sebulba, et une chambre à coucher avec un peu trop de goodies SW pour être humainement acceptable. De l'avis de beaucoup de nerds, George Lucas est en train de péter une durite: Star Wars en 3D? L'édition DVD avec des scènes ajoutées 20 ans plus tard pour aligner l'ancienne trilogie sur la nouvelle? WTF? Personnellement, j'ai bien profité d'un passage en Californie pour voir Episode One en avance sur ces pauvres paumés de français qui en avaient retardé la sortie pour avoir le temps d'imprimer des jeux à gratter, mais qui ne l'aurait pas fait? Quand on me dit "Mark Hamill", je pense "Wing Commander 3, 4 et Prophecy". Quand on me dit "Harrisson Ford", je pense à Indiana Jones et à ce film où il joue le président des Etats-Unis qui balance des gnons à des terroristes qui veulent lui voler son avion (même ID4 avec son président qui envoie himself quelques missiles air-air aux aliens ne fait pas aussi chauvin). Quand on me dit "La Forteresse Cachée de Kurosawa", je m'énerve de savoir que si peu de "fans" savent la vérité. Quand on me dit "Howard le Canard", j'éclate de rire. Sans parler des rasoirs pour les jambes. Bref.
Star Wars Republic Commando est donc un des (trop) nombreux produits d'appel qui doivent vous rappeler d'aller au cinéma pour voir Episode 3. Un pense-bête de luxe à 60€, quoi. Mais ce n'est qu'après quelques moments de réflexion qu'on se rappelle: en plus d'être le noeud de chaussette le plus cher au monde, SWRC (woaw, avec ces initiales on pourrait croire qu'on parle d'un "Star Wars Rally Championship" - ne donnons pas d'idées à George Lucas) est aussi un jeu vidéo. Comme KOTOR 2 sorti peu de temps avant, sauf que pour une fois, on n'y voit pas le moindre Jedi - à part un Mace Windu en tout petit dans un écran de chargement à la fin de la première campagne et un hologramme de Yoda à la fin. Sit(h)uons, puisque j'ai dû le faire auprès d'un gars qui n'a même pas Episode 1 et 2 (le copain de la fille de mes parents, qui aime aller aux fêtes de l'Huma). Au début, la République était avec les chevaliers Jedi, chez les gentils. Et pour se battre contre la confédération du commerce (les méchants) qui a plein de robots, ils décident de cloner à quelques milliers d'exemplaires un chasseur de primes super fort qui s'appelle Jango Fett. Par la suite, les clones seront refilés au côté obscur (une OPA agressive qui fera pleurer plein d'actionnaires) et perdront leurs jolies armures pour devenir les trucs tout blancs des épisodes 4, 5 et 6, les Stormtroopers. Pis Jango Fett se fait tuer par les gentils pour je sais plus quelle raison, alors son fils Boba deviendra méchant et il deviendra empailleur d'Han Solo. Donc là, on joue des futurs Troopers, entre les épisodes 2 et 3, mais qui sont toujours gentils. Et pas n'importe quels clones, hein: le commando Delta, encore plus mieux mégacool que les autres clones.
Le jeu est donc un quake-like avec trois coéquipiers - pensez Rainbow Six. On a un hacker, un démolisseur et un sniper, mais honnêtement, il n'y a presque aucune différence. Par exemple, poser des bombes ou pirater des ordinateurs prend généralement 10 ou 20 secondes, mais ce délai ne sera pas modifié selon le membre qui s'en occupe! On avance dans une interface pompée sur Metroid Prime en donnant des ordres simples au choix de quatre: protéger une zone, tirer sur tout ce qui bouge, suivre ou tout annuler. L'IA de l'équipe n'est pas mauvaise: à part deux ou trois blocages dans un élément du décor et un passage vers la fin du jeu où ils deviennent cons comme des manches à balai, ils ont un comportement logique. Ah, ils n'ont pas d'instinct de survie comme dans Full Spectrum Warrior: ils ne broncheront pas si vous leur demandez d'aller pirater un terminal à l'autre bout d'un hangar infesté de droïdes sans la moindre couverture. Dommage aussi que leurs actions les plus spectaculaires (comme faire du skate sur un robot pour le stopper avant de lui planter une lame ou un wookie écrasant contre un mur un ennemi dans son dos) soient scriptées, donc n'apparaissant qu'à un moment bien précis de l'aventure - après tout, c'est dans la vidéo d'introduction que vous pouvez voir sur le site officiel. C'est donc parfois un peu mécanique, on voit presque les lignes de code à certains moments. Du côté des ennemis, c'est autre chose: ils se jettent tous sur votre flingue (ou votre couteau, faut économiser les munitions) sans la moindre stratégie, et les passages un peu difficiles n'existent que parce qu'ils débarquent à flots dans la salle. Car dans Republic Commando, les ennemis ont pensé à vous: il y a des bornes de guérison à peu près toutes les deux salles à tout moment du jeu, même si un de vos équipiers dit que seule la garde d'élite que vous êtes peut s'en servir! La mort n'existe pas non plus, puisque si vous où un de vos hommes venait à tomber ou être capturé, le conseil Jedi niera avoir eu connaissance de vos agissements... et après tout, il suffit qu'un autre membre le ressuscite en 5 secondes chrono. Pas à s'inquiéter de leurs munitions non plus, ils ne ramassent jamais les armes ennemies et c'est à peine s'ils doivent recharger de temps à autres pour continuer à canarder comme si on était à la fête foraine. On a trois grosses campagnes, mais comptez... allez... une demi-journée pour chacune d'entre elles. Trop court, et c'est là qu'on se rappelle que c'est Star Wars, et que la seule raison d'exister de ce disque, c'est qu'il parait qu'ils vont sortir un film le mois prochain. Le troisième ou le sixième, je sais plus.
Alors c'est bien marrant, on éclate tout sur son chemin, le moteur graphique fait bien son boulot (l'effet de vision nocturne, woaw) et la Xbox ne rame pas, nos clones bougent super bien, sont bavards comme des pies et se débrouillent sans qu'on ait à leur gueuler dessus toutes les 10 secondes. C'est bien dosé, presque facile même. Pour la musique, j'ai remarqué que tous les tests de tous les jeux Star Wars disent "on dirait du John Williams". Ben là c'est pareil, donc faut croire que c'est super facile de faire du John Williams, du grand pompeux avec des choeurs qu'on dirait qu'ils chantent en latin alors qu'en fait c'est du japonais ou du javanais vachement stylisé mais ça veut toujours rien dire les paroles. L'ambiance est là (à part sur Kashyyyk où on a pas trop l'impression d'être sans lumière, au pied d'arbres géants comme dans KOTOR), pourvu qu'on garde en tête que ce petit commando n'est pas là pour être sur des champs de bataille gigantesques, mais juste dégrossir le travail avant que le gros des troupes d'infanterie finisse le job. La première mission se situant à la fin de l'épisode 2 sur Geonosys, vous verrez ce que les commandos faisaient pendant que les Jedis s'amusaient avec un remake de Ben-Hur. Mais comme on reste dans un FPS, on ne passe pas non plus son temps à jouer les tacticiens.
Enfin, le gros défaut du titre: il n'y a vraiment pas assez à faire dans le disque. On torche l'aventure solo en un week-end, et on reste sur sa faim. Ils promettent qu'on pourra buter du Jedi dans le prochain? Ca me fait une belle jambe! Avec Halo 2, c'est le mode multijoueur qui avait retenu les joueurs de se rendre chez Microsoft avec des torches après la fin de la campagne. Là, c'est le contraire: le multi est une insulte. Deathmatch, capture du drapeau... Et c'est tout. Sacrilège impardonnable, on ne peut pas faire les missions du jeu en coopératif! Alors qu'avec le XboxLive, le casque-micro aurait émulé à merveille les conversations enregistrées du jeu, rien, rien, rien. Il n'y a qu'une carte téléchargeable, et la taille ridicule du fichier (8 blocs!) prouve qu'on ne fait que déverouiller quelque chose qui était déjà sur le disque (comme à l'époque de Sonic Adventure 2 sur Dreamcast); quant aux autres, ce ne sont que des extraits de lieux déjà explorés en solo. Enfin, les armes autres que le fusil d'assaut standard (et qu'on ne voit déjà pas beaucoup dans le mode Histoire) ne sont pas du tout équilibrées, la plus longue des escarmouches faisant 2 secondes - et faire trois morts avec une seule grenade est monnaie courante. Honteux.
Conclusion: ça change de l'horrible Star Wars Battlefront, l'histoire est très sympa, on s'amuse bien dans un jeu qui est techniquement à la hauteur, on ne se prend pas la tête, on a un bon jeu Star Wars, et... c'est déjà fini? Et le mode multijoueur se réduit à un mauvais strict minimum? Ohhhhh, chéri, comme c'est dommage; tu te débrouillais tellement bien.
On est dimanche? Alors à 21 heures, session IRC. #editotaku@irc.worldnet.net, ou un pseudo dans la case à gauche suffisent. Mon chat vient de me livrer à l'instant le thème de la discussion de ce soir, qui sera: "peut avoir des effets laxatifs". Ah non, il a juste mâché un emballage de Stimorol.
Je ne suis pas un fan de Star Wars. Faut relativiser aussi: j'ai un pote qui lui, est un camé. S'il arrive à avoir des relations sexuelles, c'est parce que les femmes ne rentrent pas chez lui, où il a insonorisé une pièce pour en faire un cinéma THX avec des fauteuils récupérés dans un cinéma en faillite, a un porte-brosse à dents en forme du pod de Sebulba, et une chambre à coucher avec un peu trop de goodies SW pour être humainement acceptable. De l'avis de beaucoup de nerds, George Lucas est en train de péter une durite: Star Wars en 3D? L'édition DVD avec des scènes ajoutées 20 ans plus tard pour aligner l'ancienne trilogie sur la nouvelle? WTF? Personnellement, j'ai bien profité d'un passage en Californie pour voir Episode One en avance sur ces pauvres paumés de français qui en avaient retardé la sortie pour avoir le temps d'imprimer des jeux à gratter, mais qui ne l'aurait pas fait? Quand on me dit "Mark Hamill", je pense "Wing Commander 3, 4 et Prophecy". Quand on me dit "Harrisson Ford", je pense à Indiana Jones et à ce film où il joue le président des Etats-Unis qui balance des gnons à des terroristes qui veulent lui voler son avion (même ID4 avec son président qui envoie himself quelques missiles air-air aux aliens ne fait pas aussi chauvin). Quand on me dit "La Forteresse Cachée de Kurosawa", je m'énerve de savoir que si peu de "fans" savent la vérité. Quand on me dit "Howard le Canard", j'éclate de rire. Sans parler des rasoirs pour les jambes. Bref.
Star Wars Republic Commando est donc un des (trop) nombreux produits d'appel qui doivent vous rappeler d'aller au cinéma pour voir Episode 3. Un pense-bête de luxe à 60€, quoi. Mais ce n'est qu'après quelques moments de réflexion qu'on se rappelle: en plus d'être le noeud de chaussette le plus cher au monde, SWRC (woaw, avec ces initiales on pourrait croire qu'on parle d'un "Star Wars Rally Championship" - ne donnons pas d'idées à George Lucas) est aussi un jeu vidéo. Comme KOTOR 2 sorti peu de temps avant, sauf que pour une fois, on n'y voit pas le moindre Jedi - à part un Mace Windu en tout petit dans un écran de chargement à la fin de la première campagne et un hologramme de Yoda à la fin. Sit(h)uons, puisque j'ai dû le faire auprès d'un gars qui n'a même pas Episode 1 et 2 (le copain de la fille de mes parents, qui aime aller aux fêtes de l'Huma). Au début, la République était avec les chevaliers Jedi, chez les gentils. Et pour se battre contre la confédération du commerce (les méchants) qui a plein de robots, ils décident de cloner à quelques milliers d'exemplaires un chasseur de primes super fort qui s'appelle Jango Fett. Par la suite, les clones seront refilés au côté obscur (une OPA agressive qui fera pleurer plein d'actionnaires) et perdront leurs jolies armures pour devenir les trucs tout blancs des épisodes 4, 5 et 6, les Stormtroopers. Pis Jango Fett se fait tuer par les gentils pour je sais plus quelle raison, alors son fils Boba deviendra méchant et il deviendra empailleur d'Han Solo. Donc là, on joue des futurs Troopers, entre les épisodes 2 et 3, mais qui sont toujours gentils. Et pas n'importe quels clones, hein: le commando Delta, encore plus mieux mégacool que les autres clones.
Le jeu est donc un quake-like avec trois coéquipiers - pensez Rainbow Six. On a un hacker, un démolisseur et un sniper, mais honnêtement, il n'y a presque aucune différence. Par exemple, poser des bombes ou pirater des ordinateurs prend généralement 10 ou 20 secondes, mais ce délai ne sera pas modifié selon le membre qui s'en occupe! On avance dans une interface pompée sur Metroid Prime en donnant des ordres simples au choix de quatre: protéger une zone, tirer sur tout ce qui bouge, suivre ou tout annuler. L'IA de l'équipe n'est pas mauvaise: à part deux ou trois blocages dans un élément du décor et un passage vers la fin du jeu où ils deviennent cons comme des manches à balai, ils ont un comportement logique. Ah, ils n'ont pas d'instinct de survie comme dans Full Spectrum Warrior: ils ne broncheront pas si vous leur demandez d'aller pirater un terminal à l'autre bout d'un hangar infesté de droïdes sans la moindre couverture. Dommage aussi que leurs actions les plus spectaculaires (comme faire du skate sur un robot pour le stopper avant de lui planter une lame ou un wookie écrasant contre un mur un ennemi dans son dos) soient scriptées, donc n'apparaissant qu'à un moment bien précis de l'aventure - après tout, c'est dans la vidéo d'introduction que vous pouvez voir sur le site officiel. C'est donc parfois un peu mécanique, on voit presque les lignes de code à certains moments. Du côté des ennemis, c'est autre chose: ils se jettent tous sur votre flingue (ou votre couteau, faut économiser les munitions) sans la moindre stratégie, et les passages un peu difficiles n'existent que parce qu'ils débarquent à flots dans la salle. Car dans Republic Commando, les ennemis ont pensé à vous: il y a des bornes de guérison à peu près toutes les deux salles à tout moment du jeu, même si un de vos équipiers dit que seule la garde d'élite que vous êtes peut s'en servir! La mort n'existe pas non plus, puisque si vous où un de vos hommes venait à tomber ou être capturé, le conseil Jedi niera avoir eu connaissance de vos agissements... et après tout, il suffit qu'un autre membre le ressuscite en 5 secondes chrono. Pas à s'inquiéter de leurs munitions non plus, ils ne ramassent jamais les armes ennemies et c'est à peine s'ils doivent recharger de temps à autres pour continuer à canarder comme si on était à la fête foraine. On a trois grosses campagnes, mais comptez... allez... une demi-journée pour chacune d'entre elles. Trop court, et c'est là qu'on se rappelle que c'est Star Wars, et que la seule raison d'exister de ce disque, c'est qu'il parait qu'ils vont sortir un film le mois prochain. Le troisième ou le sixième, je sais plus.
Alors c'est bien marrant, on éclate tout sur son chemin, le moteur graphique fait bien son boulot (l'effet de vision nocturne, woaw) et la Xbox ne rame pas, nos clones bougent super bien, sont bavards comme des pies et se débrouillent sans qu'on ait à leur gueuler dessus toutes les 10 secondes. C'est bien dosé, presque facile même. Pour la musique, j'ai remarqué que tous les tests de tous les jeux Star Wars disent "on dirait du John Williams". Ben là c'est pareil, donc faut croire que c'est super facile de faire du John Williams, du grand pompeux avec des choeurs qu'on dirait qu'ils chantent en latin alors qu'en fait c'est du japonais ou du javanais vachement stylisé mais ça veut toujours rien dire les paroles. L'ambiance est là (à part sur Kashyyyk où on a pas trop l'impression d'être sans lumière, au pied d'arbres géants comme dans KOTOR), pourvu qu'on garde en tête que ce petit commando n'est pas là pour être sur des champs de bataille gigantesques, mais juste dégrossir le travail avant que le gros des troupes d'infanterie finisse le job. La première mission se situant à la fin de l'épisode 2 sur Geonosys, vous verrez ce que les commandos faisaient pendant que les Jedis s'amusaient avec un remake de Ben-Hur. Mais comme on reste dans un FPS, on ne passe pas non plus son temps à jouer les tacticiens.
Enfin, le gros défaut du titre: il n'y a vraiment pas assez à faire dans le disque. On torche l'aventure solo en un week-end, et on reste sur sa faim. Ils promettent qu'on pourra buter du Jedi dans le prochain? Ca me fait une belle jambe! Avec Halo 2, c'est le mode multijoueur qui avait retenu les joueurs de se rendre chez Microsoft avec des torches après la fin de la campagne. Là, c'est le contraire: le multi est une insulte. Deathmatch, capture du drapeau... Et c'est tout. Sacrilège impardonnable, on ne peut pas faire les missions du jeu en coopératif! Alors qu'avec le XboxLive, le casque-micro aurait émulé à merveille les conversations enregistrées du jeu, rien, rien, rien. Il n'y a qu'une carte téléchargeable, et la taille ridicule du fichier (8 blocs!) prouve qu'on ne fait que déverouiller quelque chose qui était déjà sur le disque (comme à l'époque de Sonic Adventure 2 sur Dreamcast); quant aux autres, ce ne sont que des extraits de lieux déjà explorés en solo. Enfin, les armes autres que le fusil d'assaut standard (et qu'on ne voit déjà pas beaucoup dans le mode Histoire) ne sont pas du tout équilibrées, la plus longue des escarmouches faisant 2 secondes - et faire trois morts avec une seule grenade est monnaie courante. Honteux.
Conclusion: ça change de l'horrible Star Wars Battlefront, l'histoire est très sympa, on s'amuse bien dans un jeu qui est techniquement à la hauteur, on ne se prend pas la tête, on a un bon jeu Star Wars, et... c'est déjà fini? Et le mode multijoueur se réduit à un mauvais strict minimum? Ohhhhh, chéri, comme c'est dommage; tu te débrouillais tellement bien.
On est dimanche? Alors à 21 heures, session IRC. #editotaku@irc.worldnet.net, ou un pseudo dans la case à gauche suffisent. Mon chat vient de me livrer à l'instant le thème de la discussion de ce soir, qui sera: "peut avoir des effets laxatifs". Ah non, il a juste mâché un emballage de Stimorol.
Par Raton-Laveur le 10 avril 2005, 16:51 - Jeux vidéo - Lien permanent
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