Mezzo DSA: échangez votre baril de hentai contre deux barils de TV
(Site Web)
Yay! La série TV basée sur l'OAV hentai en deux épisodes a commencé, et c'est tip-top. Evidemment, c'est sans les scènes cochonnes (faut dire que celles de l'OAV n'apportaient rien au scénario) mais la violence est restée. Et la violence selon Yasuomi Umetsu, c'est franchement jouissif. Dans le génial Kite, tout était fait à 150%: les scènes de baston étaient délirantes d'explosions, de coups de poing qui éclatent un mur, de chutes qui n'en finissent pas, de flingues surpuissants; les scènes de sexe étaient avec des mâles qui s'étaient fait greffer un coude, les femmes étaient sculpturales; l'animation et les cellulos étaient vifs et précis, l'histoire parfaite pour 60 minutes de folie, bref, Kite est du bonheur en barre.
Umetsu a ensuite réalisé, écrit, designé et storyboardé (il avait tenu les mêmes rôles pour Kite^^) Mezzo Forte, l'OAV qui a frôlé un tanuki award - parce que c'était très bon mais en-deçà de Kite, tout simplement. Et voilà qu'une suite de MF est annoncée pour le format TV...
C'est la mode, ces temps-ci: plein de produits hentai obtiennent une deuxième vie - avec une meilleure réputation celle-là - à la téloche: Shingetsudan Tsukihime, à l'origine un jeu porno pour PC pondu par des amateurs qui a un succès inattendu, a droit à 13 épisodes. Pareil pour Kimi ga Nozomu Eien. Popotan, jeu hentai de merde, se retrouve converti en anime de merde. Et la liste s'allonge...
Mince alors! Généralement, la réputation, ça fonctionne dans l'autre sens: on commence avec ses fringues, on devient célèbre, puis quand il y a une hémorragie de fans, on finit à poil sur papier glacé dans la presse à scandale. Je vous l'accorde, au Japon, les carrières sont souvent tellement courtes qu'elles commençent souvent directement à poil. C'est pratique, ça coûte moins cher au départ et c'est seulement si ça marche qu'on investit dans des fringues. Pour les animes, si les auteurs commençent par du “normal” puis font du hentai, on prend ça pour un aveu de faiblesse face au pognon. Alors la solution, aussi conne qu'elle soit, vient d'être trouvée: on fait l'inverse. L'héroïne apparaît aux fans à poil, puis obtient une existence honorable dans un deuxième temps. Comme de vraies idols.
Et Mezzo DSA dans tout ça? Ben je l'ai dit, c'est à regarder, qu'on ait connu l'OAV ou pas. C'est rapide, absolument incredible (dans le sens que les scènes d'action ne sont pas crédibles pour un sou, mais Bon Dieu, qu'elles sont bonnes!), et il y a même une grosse dose d'humour qu'on ne trouvait pas dans l'oeuvre originale. Et à mon avis, c'est pas demain qu'on verra ça officiellement chez nous...
Yay! La série TV basée sur l'OAV hentai en deux épisodes a commencé, et c'est tip-top. Evidemment, c'est sans les scènes cochonnes (faut dire que celles de l'OAV n'apportaient rien au scénario) mais la violence est restée. Et la violence selon Yasuomi Umetsu, c'est franchement jouissif. Dans le génial Kite, tout était fait à 150%: les scènes de baston étaient délirantes d'explosions, de coups de poing qui éclatent un mur, de chutes qui n'en finissent pas, de flingues surpuissants; les scènes de sexe étaient avec des mâles qui s'étaient fait greffer un coude, les femmes étaient sculpturales; l'animation et les cellulos étaient vifs et précis, l'histoire parfaite pour 60 minutes de folie, bref, Kite est du bonheur en barre.
Umetsu a ensuite réalisé, écrit, designé et storyboardé (il avait tenu les mêmes rôles pour Kite^^) Mezzo Forte, l'OAV qui a frôlé un tanuki award - parce que c'était très bon mais en-deçà de Kite, tout simplement. Et voilà qu'une suite de MF est annoncée pour le format TV...
C'est la mode, ces temps-ci: plein de produits hentai obtiennent une deuxième vie - avec une meilleure réputation celle-là - à la téloche: Shingetsudan Tsukihime, à l'origine un jeu porno pour PC pondu par des amateurs qui a un succès inattendu, a droit à 13 épisodes. Pareil pour Kimi ga Nozomu Eien. Popotan, jeu hentai de merde, se retrouve converti en anime de merde. Et la liste s'allonge...
Mince alors! Généralement, la réputation, ça fonctionne dans l'autre sens: on commence avec ses fringues, on devient célèbre, puis quand il y a une hémorragie de fans, on finit à poil sur papier glacé dans la presse à scandale. Je vous l'accorde, au Japon, les carrières sont souvent tellement courtes qu'elles commençent souvent directement à poil. C'est pratique, ça coûte moins cher au départ et c'est seulement si ça marche qu'on investit dans des fringues. Pour les animes, si les auteurs commençent par du “normal” puis font du hentai, on prend ça pour un aveu de faiblesse face au pognon. Alors la solution, aussi conne qu'elle soit, vient d'être trouvée: on fait l'inverse. L'héroïne apparaît aux fans à poil, puis obtient une existence honorable dans un deuxième temps. Comme de vraies idols.
Et Mezzo DSA dans tout ça? Ben je l'ai dit, c'est à regarder, qu'on ait connu l'OAV ou pas. C'est rapide, absolument incredible (dans le sens que les scènes d'action ne sont pas crédibles pour un sou, mais Bon Dieu, qu'elles sont bonnes!), et il y a même une grosse dose d'humour qu'on ne trouvait pas dans l'oeuvre originale. Et à mon avis, c'est pas demain qu'on verra ça officiellement chez nous...
Par Raton-Laveur le 17 février 2004, 00:21 - Japanime - Lien permanent
Commentaires
Héhé quand même l'opening reste assez “ pervers ” on voit l'héroine ( fort jolie ) dans certaines tenues proches de Mezzo Forte ;)
Ca fait un tabac dans le fansub français... pleins de team se sont jettées jetées dessus comme des chacal ^^;
C'est sympa mais sans plus, c'est pas l'anime du siècle.
Mezzo DSA, c'est rien que du bon !
Merci pour tes conseils éclairés.