Général
24 décembre 2007
Une aventure inédite du Poisson-Oiseau: la menace fangirl
Par lectorat le 24 décembre 2007, 12:13
Petit conseil: si ça vous plait (d'après les commentaires, ce cas de figure est réel), enregistrez les images sur votre DD. Les liens imageshack et compagnie ont tendances à disparaitre au bout d'un moment. Comme le Quartier libre n'est pas éternel et que j'aimerais épargner à Raton d'éditer ce billet, cette solution semble être la plus efficace.
LO-kawaii
Par lectorat le 24 décembre 2007, 00:03
Moé et ero font-ils bon ménage? Difficile de croire en tout cas qu'ils ne se mélangent pas. Les otaques ont une capacité étonnante à nourrir pour certains personnages à deux dimensions des sentiments affectueux et chastes, et à feuilleter l'instant d'après avec délectation des doujinshi dans lesquelles elles (oui, parfois ils aussi, et non, je ne veux pas le savoir) se font déchirer le sphincter par des formes de vie tentaculaires. Ou à verser des larmes à la lecture des scénarios tragiques de leurs gyaruge, mais réclamer quand même que le jeu se termine par un épanchement de semance.
Cela dit, les otaques ne sont qu'une poignée, et si la société japonaise a la réputation d'être à certains égards moins
D'ailleurs, s'il y a une façon sûre de s'attirer un rejet unanime et immédiat, plus encore que les doujinshi ero bien trash, c'est sans doute la représentation de situations explicites où figurent des enfants — ou même d'ailleurs sa simple suggestion, qui semble déjà hautement subversive. Le Japon a mis un certain temps à intégrer la vérité éternelle, immuable et universelle selon laquelle la sexualité de l'enfant n'existe pas, et doit en tout état de cause n'avoir aucun rapport, y compris fictionnel, avec celle des adultes, mais ça vient petit à petit.
En attendant, il continue de se publier au grand jour du manga pour adultes mettant en scène des petites filles de tous âges, et si l'on prend la peine de regarder ce dont il s'agit, on ne trouve pas tellement de ces « manga ultra-violents contenant des descriptions d'actes sexuels impliquant des enfants » dont Gwenaëlle Abolivier parlait sur France Inter ce matin. Le manga lolicon, comme on l'appelle parfois, décrit certes des contacts sexuels entre enfants ou avec des enfants, mais il est très rare que ce soit sous l'angle de la violence.
À la différence du H en général, dans lequel le viol et la coercition sont fort présents, le manga lolicon est un domaine où domine très largement la consensualité. En outre, il n'est tenu par aucun impératif de réalisme physiologique : ainsi, lorsqu'un homme mûr et une fillette expérimentent la position du missionnaire, la chose peut-elle être présentée comme plaisante pour l'un et l'autre. Et si c'est une défloration, rien ne dit qu'elle doive être sanglante. Les points sur lesquels la nature est presque toujours respectée sont la petite taille, la poitrine au plus naissante et l'absence de pilosité pubienne, mais il s'agit sans doute moins de vraisemblance que de conformité à un certain idéal esthétique.
En fait, une large part du manga lolicon met en scène un personnage de petite fille dont les traits physiques et psychologiques sont très classiquement moé, et décrit le débordement d'affection que suscite ce caractère moé chez un homme plus âgé — débordement accueilli avec tendresse, et le plus souvent provoqué tout à fait consciemment. Et si l'on ne peut certainement pas faire entrer tout le genre dans ce schéma un peu grossier, il y a une tendance générale, identifiable sans doute dans le H en général mais particulièrement visible dans le manga lolicon, à un graphisme élégant ou joli plutôt qu'affriolant, et des relations amoureuses plutôt que simplement sexuelles. Ce mouvement « erokawaii » est en quelque sorte la frange licencieuse (mais je ne dirais pas indécente, ni d'ailleurs secondaire) du moé.
Il est sans doute significatif, de ce point de vue, que le magazine emblématique du manga lolicon, Comic LO (LO pour Lolita Only, et c'est le seul à fixer une telle ligne éditoriale), ait toujours fait figurer en couverture des illustrations élégantes et paisibles, sans élément provocant ou sexuel. Il se distingue en cela d'à peu près toutes les publications de manga pour adultes, aux couvertures volontiers aguicheuses.
Tous les auteurs de manga lolicon, même dans LO, ne donnent pas sans exception dans le style erokawaii. Le prolifique EB110SS, par exemple, écrit en postface de son dernier recueil quelque chose qu'on pourrait traduire par « je ne cherche pas à dessiner du manga loli, mais du manga pédo », et il est en effet plus intéressé par les nymphomanes en jupette que par les figures virginales objets de dévotion. On pourrait citer aussi Oota Takeshi, spécialisé dans l'insertion de sextoys vibrants dans tous les orifices de ses nymphettes. Je ne conseille pas, mais chacun ses fantasmes...
Cela dit, il me semble qu'une part importante de ce qui paraît dans LO ou dans les pages loli d'un magazine comme Comic RIN relève bien cet erokawaii, et est souvent digne d'intérêt, au moins au plan esthétique, au-delà du simple exercice de la main droite. J'aimerais présenter quelques auteurs de ce genre et que j'apprécie — en fait, c'est l'unique objectif de ce billet, et je ne sais pas trop comment je me suis retrouvé à passer l'après-midi à écrire tout le blabla qui précède (mais je suppose que les lecteurs frileux seront déjà partis rendre leur dîner avant d'en arriver à ce point, ce qui est peut-être une bonne chose). Voici donc une petite sélection.
Sekiya Asami est une femme mangaka et doujinshika qui a une prédilection très prononcée pour le lolimoé. Ses personnages féminins sont souvent des fillettes de dix-douze ans, qui ne sont donc plus tout à fait des enfants et ont hâte de grandir, mais s'accrochent un peu malgré tout aux privilèges de l'enfance (pouvoir faire des caprices, recevoir des câlins, etc.) que les jeunes hommes qu'elles côtoient sont tous prêts à accorder. Son trait fin et un peu naïf accentue encore l'atmosphère moé des situations qu'elle décrit.
Elle a dessiné pour Comic RIN un certain nombre de telles petites histoires, ero mais mignonnes et touchantes, qui sont par la suite parues en tankoubon. Si vous avez déjà mis les pieds sur le /l/ de 7chan, vous avez sans doute pu lire l'une d'entre elles au moins, L'autre côté du mur, qui est restée plusieurs mois d'affilée en sticky en tête de cet imageboard.
Depuis un peu plus d'un an, et parallèlement à ses passages dans RIN, Sekiya Asami travaille sur Haru no chuu, un manga non-H sérialisé dans Dengeki Moeoh, et qui se termine ce mois-ci.
Nendo est un mangaka loli qui participe régulièrement à Comic LO. Il a commencé en fait dans le genre toddlercon sous le nom de plume de Sano Yuu, puis a changé son pseudonyme en même temps que l'âge de ses héroïnes. Elles restent cependant plus jeunes que la moyenne de ce qui paraît dans LO (ce qui fait jeune, oui), et leurs partenaires sont souvent du même âge. Les scénarios évoquent fréquemment des jeux innocents au départ et qui, comme on le dirait dans le cas des adultes, dérapent de temps à autres.
C'est donc de l'innoncence juvénile que Nendo s'attache au fil des pages à dresser un portrait assez lisse et tout en rondeur. Dans l'ensemble, c'est assez mignon, je trouve son recueil Miseijuku shoujo zukan (« imagier des fillettes immatures ») pour moitié au moins assez plaisant à lire. Mais sur la fin, ses personnages sont vraiment trop jeunes à mon goût. Par ailleurs, il a un intérêt occasionnel pour les furries ou les animaux de compagnie qui pourra facilement rebuter (le lolifurry à la limite du toddler, c'est quand même ce qu'on peut appeler un marché de niche...).
Onizuka Naoshi est également un collaborateur régulier de Comic LO, depuis les premiers numéros. Ses héroïnes sont de jolies fillettes qui ne sont pas loin d'être des jeunes filles, qui le savent et qui en jouent. Elles appartiennent souvent aussi au moe-zokusei « petite sœur » (blood-related ou pas), ce qui ne gâche rien. Graphiquement, Onizuka-sensei a un style assez classique mais élégant et efficace. Il se dégage toujours de ses dessins une impression de douceur assez enjouée.
Il a tiré de ses contributions à LO deux recueils déjà : Life is peachy, qui est d'une lecture toujours plaisante, et One hot minute, qui est encore meilleur sans doute — quoi qu'il n'ait pas grand-chose de hot, malgré son titre.
Nagatsuki Misoka a été lui aussi contributeur régulier de LO, quoi qu'il n'ait pas eu l'occasion d'y publier ces derniers mois. On peut se faire une idée de son style sur son site perso, et il rend compte de son activité et d'autres sujets plus personnels sur son blog. On y apprend notamment qu'il se considère comme lolicon (c'est-à-dire pédophile, mais l'expression japonaise n'est pas tout à fait aussi émotionnellement chargée que peut l'être le mot français), et parle avec beaucoup d'humanité, je trouve, de cet état et de ce que signifierait à son sens l'interdiction du manga lolicon.
Lui aussi dessine de préférence des enfants de dix-douze ans entre eux. Son œuvre la plus connue est certainement A day in the life, un drame romantique en six chapitres (plutôt rare dans le H) entre quatre préadolescents maladroits dans l'expression de leurs sentiments... et qui incorpore quelques éléments ero. Ce doit être le premier manga lolicon que j'aie lu. L'écriture manque sans doute de finesse, et les situations ne paraissent pas très vraisemblables, mais on est facilement ému par ces personnages découvrant un peu trop brusquement leur nouvelle condition de grand garçon ou de grande fille. Je trouve le character design un brin filiforme, mais les planches aquarellées ont une personnalité singulière finalement assez plaisante.
Actuellement, le temps que Misoka-sensei trouve à consacrer au dessin est passé sur un 4-koma du genre love comedy collégienne appelé HR ~Home Room~ et sérialisé dans Manga Time Kirara Carat.
Et encore une femme pour finir : Sasakura Ayato est mangaka et doujinshika loli, et qui dessine presque toujours ce qu'elle appelle des « filles fortes », par quoi il faut entendre des loli-tsundere, ou même, disons-le franchement, des loli dominatrices, belles et revêches. En cela, à mon avis, bien loin de s'éloigner des canons du moé ou d'en prendre le contrepied, elle pousse juste un peu plus loin l'expression qu'on en attend : il n'y a pas si loin de la dévotion attendrie à la soumission.
Son recueil Shoujo-ryuu Koufuku Kakushu-ron (« Sur la manière de se saisir du bonheur, à la mode fillette », ou quelque chose comme ça) est certainement aussi erokawaii, mais sans doute un peu plus ero que ceux que j'ai évoqués, dans la mesure où ses personnages féminins ont un côté assez sensuel. La narration est également moins lisse et plus forte qu'ailleurs. Koibito ijou, papa miman présente par exemple un salaryman qui est poussé par ses proches à fréquenter une veuve, et tombe au premier regard amoureux de sa fille. Celle-ci s'en aperçoit et le lui fait avouer, à genoux. Il se répand en protestations d'amour et la demande en mariage à la place de sa mère.
Sasahara Ayato a commencé dans Hina Kan, qui a été plus ou moins l'ancêtre de LO, et contribue actuellement irrégulièrement à Comic RIN. En parallèle, elle est chargée de l'adaptation en manga de Shakugan no Shana sérialisée dans Dengeki Daioh — ce qui, compte tenu de son inclination pour les filles fortes, n'est pas si surprenant.
Voilà voilà, joyeux Noël à tous.
23 décembre 2007
AVGN
Par lectorat le 23 décembre 2007, 23:41
Chemise blanche, stylos alignés bien en place, lunettes de nerd, coupe de cheveux genre passe-partout, à priori l’« Angry Video Game Nerd » semble être une sorte de prof de science bien sous tout rapport. Puis les premières insultes sortent et l’on commence à comprendre le personnage. « AVGN » est une sorte de représentation de votre subconscient de joueur. La part de vous qui balance la manette contre le mur, qui arrache rageusement le jeu de la console puis le piétine, qui hurle son mécontentement dans une sorte de transe heavy metalesque. « AVGN » est un testeur (complètement masochiste puisqu’il souffre mais continue pourtant le test jusqu’à l’essoufflement) de daubes old school. Il dénonce la médiocrité, le foutage de gueule et le viol de cerveau. Sa grossièreté salvatrice n’a d’égal que le profond mépris pour les joueurs que semblent avoir certains éditeurs. Lui seul est à même de tester de bout en bout des softs d’une non jouabilitée ou d’un intérêt nulissime qui le mène invariablement à la même question: « what are they thinking ? »
Lui, le justicier qui vous ramène à un moment difficile de votre vie de gamer que vous avez probablement traversé:
Dans cette vidéo où il semble tellement traumatisé qu’il décide de ne pas montrer le jeu cité et préfère boire bière sur bière. Est ce sur-joué ? Peut être. Sûrement même ! Seulement le malaise est probablement réel. Il nous parle de cette chose qui bouleversera la vie de million d’enfants. Qui changera l’innocence en regard froid:
LA PREMIERE DAUBE !
Souvenez-vous: essayez d’imaginer votre première daube vidéoludique. Vous étiez jeunes. Trop jeunes certainement pour comprendre le monde qui vous entourait. Le monde était rose, le monde était bon. Les jeux vidéo étaient votre passion. Les univers dans lequel vous vous plongiez semblaient fabuleux.
Puis un jour, en l’espace de quelques minutes, votre vie changeait à tout jamais. Vos doigts crispés sur la manette, c’est empli d’incompréhension que vous jouiez à votre premier jeu « non amusant ». Alors que vous tentiez de faire bonne figure face à vos parents qui venaient de vous offrir votre plus grand châtiment, vous continuiez de chercher des réponses à vos questionnements. Mais rien n’y fait: comment un jeu vidéo (la chose la plus « fun » du monde) peut-il être non amusant ? Pourquoi ?
Le monde s’écroule sous vos pieds. Il n’a plus de sens. Votre vie d’enfant est derrière vous. Plus rien ne sera comme avant. Il existe des horreurs même dans les jeux vidéo. Vous prenez petit à petit conscience des réalités. Votre immortalité est terminée. Le temps s’écoule, la fin est visible. Vous avez passé un cap, vous avez passé le Level 1. Bienvenue dans le Level 2, forcément moins amusant.
Ce jeu vous ne l’oublierez pas. Pour moi il s’agissait d’ « A boy and his blob » sur Game Boy.
Principe du (X)HTML
Par lectorat le 23 décembre 2007, 03:46
Article écrit par Keul
Moi qui pensais ne pas trouver d'article pour cette session quartier libre, c'est réglé, le raton peut retourner se reposer.
Surtout que :
(source svg) | (attention, 4 zones cliquables dans l'image)
(X)HTML
Je vais d'abord vous parler de l'HTML. Pour ceux qui savent ce que signifie h2{color:gray;}, passez à la suite.
Il y en a qui trouvent ça difficile, complexe, et pourtant, je pense qu'on ne peut faire plus simple. Le BBCode est une pâle copie non standardisée, et le code Wiki deviens une horreur pour des trucs avancés.
En fait, il suffit de comprendre 3 aspect:
- Le premier est de modifier la propriété d'un texte en l'encadrant de balises:
Pour mettre un mot en gras par exemple, on le mettra entre les balises <strong> et </strong>, le / signifiant la fermeture de balise. - Le second sers à insérer un élément, on fait de même à une différence près:
Pour inserer une barre horizontale et un retour à la ligne, on utilisera: <hr />, <br />.
Le / signifiant la fermeture de balise se place donc directement dans la balise d'ouverture, il n'y a donc pas de balise fermante pour ces éléments. - Le troisième aspect est les attributs que l'on peut donner à une balise:
Pour un lien, <a>cliquable</a>, on ajoutera donc l'attribut "href" qui sers à indiquer l'adresse où ira le visiteur s'il clique sur le CONTENU situé entre les balises <a>.
<a href="http://raton-laveur.net">TOUT ce qui est mis ici, images, titres, texte, mènera donc sur le site raton-laveur.net</a> mais plus ici. Les images utiliseront l'attribut src pour indiquer où la télécharger.
Voilà, ces trois aspects représentent la base du (X)HTML, il ne vous reste plus qu'a apprendre petit à petit la liste des balises, et quelques spécificités comme les caractères spéciaux.
Si vous voulez faire plus que poster de simples articles, en changeant la décoration par des feuilles de style, que l'on appellera CSS. On pourra aussi ajouter avec modération, du JavaScript pour ajouter de l'interactivité.
Je n'irai pas plus loin dans cet article, vu que je voulais seulement vous montrer les bases, et qu'il y a des sites très bien faits sur ce sujet, même pour le PHP.
WEB 0.2
Et le web Deuxpointzéro dans tout ça?
Techniquement, ça ne veux rien dire, c'est juste du marketing 2.0, de la mode 2.0, la philosophie du big brother 1984 avec facebook 2.0, AJAX 2.0 (très efficace contre les saletées), l'intelligence collective 2.0, le spam 2.0, le Hentai 2.0, le hack 2.0, Team Fortress 2.0...
Et si vous cherchez encore la signification profonde, utilisez google, vous verrez que vous n'êtes pas le seul à chercher la connerie 2.0.
Vous pouvez maintenant reposer votre cerveau sur la table et retourner à Team Fortress 2, Featuring maxobiwan qui prends les ennemis par derrière, même en ingé!, les médics qui tapent sur les autres à la seringue, les pyros qui pensent qu'à manger, les ingés qui tournent les téléporteurs vers votre base pour que vous ailliez vaillamment l'attaquer...
20 décembre 2007
(Malheureusement) un favoris (qui existe) réservé au Anglophone
Par lectorat le 20 décembre 2007, 15:42
Je voudrai attirer l'attention sur un site que je fréquente depuis des années, découvert par l'intermédiaire d'un ami tombant sur un guide et cité à l'occasion par raton.
Il en parle à l'occasion sans vraiment avoir fait le point sur se site qui mérite une place dans nos favoris.
Si vous avez assez de volonté et/ou un minimum de connaissance en anglais, toutes une pléiade de critique et d’information vous sont offertes quotidiennement par le site http://www.somethingawful.com/ - Traduire littéralement par « www point quelque chose d’atroce point com»
Quelque soit les questions les plus insondables que votre esprit n'a jamais osé vous confronter tel que comment :
- battre les adversaires que l'on peut rencontrer sur une borne DDR ?
- survivre dans n'importe quel RPG ?
- se protéger soi-même de la pornographie ?
- survivre à la guerre en Irak ?
- Battre des Monstres Surnaturels ?
- Pêcher ?
- Trouver un appartement ?
- Survivre à un ouragan ?
- Faire un Animé ou un Film de S.F. ?
Et beaucoup d'autres et plus encore ... à travers ses nombreux guides.
Si vous avez aussi besoin de suivre l'actualité « complète » sans censure sur :
- Les jeux vidéo (particulièrement ceux hentaï avec un supplément de tentacule selon la marée)
- Les sites les plus calamiteux qui soit (pour webmestre complexé)
- Les expressions à la mode à lancer après "Kikoo" dans votre Instant Messenger du moment.
- d'autres évènements du net (ou pas) qui peuvent faire plus que douter sur la loi de Darwin appliqué à l'homme. Heureusement les Darwin Awards sont décerné chaque année avec le plus grand sérieux.
Si vous avez du temps à exploiter intelligemment faite une pause, Untitled-Document vous attend.
The Internet Makes You Stupid.
16 décembre 2007
Dumdum-Dummy-Dumbstruck <img src="./nsfw.png" />
Par lectorat le 16 décembre 2007, 22:55
Turning Japanese
Par lectorat le 16 décembre 2007, 22:45
Dieu sait que nous avons des choses bien plus intéressantes que ça à faire, mais j'aimerais prendre un peu de votre temps pour vous parler de ce truc qui cohabite avec Super Mario Galaxy (ou Team Fortress 2 si vous avez une freebox que vous regardez de votre écran d'ordi espèce de sale enfoiré qui regarde Nolife à ma place) dans vos écrans et qu'on appelle la TELEVISION. Et la vous allez me dire : "Mais Arez, espèce d'étalon charismatique, que vient faire un article sur la Télévision dans mon Quartier Libre de mon Editotaku ?".
Dites-le.
Sinon ça flingue ma vanne.
Merci.
Donc, commençons par le commencement. Et le commencement, c'est cette vidéo d'un jeu japonais. Cette vidéo circule à toute vitesse sur les autoroutes
"Qu'est ce qu'on en a à foutre ?" me direz-vous ? La réponse est ma foi fort simple. Dans les années 80, on avait les animes qui se vendaient au kilo et doublés à la va-vite. Aujourd'hui, on a les jeux japonais vendus au kilo et adaptés à la va-vite. Si ça peut donner des trucs comme Menu W9, l'émission la plus leet du PAF, ça peut aussi donner des trucs un peu plus pourris comme Viking sur JET (mais si, la chaîne de call-TV ou les animateurs sont coincés en Hongrie pour répondre à des gens qui ne les appellent pas) ou feu 60 secondes pour rire sur France 2 (Oui ça venait aussi du Japon. C'etait pourri quand même, mais ça venait du Japon).
La, normalement, il faudrait que je mette une conclusion et/ou une problématique et/ou un paragraphe de plus. Mais je suis trop occupé à penser aux possibilités. Désolé
de corvée
Par lectorat le 16 décembre 2007, 22:38
bon vu que personne ne l'a fait, et que Maxobiwan a posté son article et avait quelque mal avec les balises (même si, corrigé ensuite).
le principe du quartier libre est simple
Login : lectorat
Mot de pass : samantha
et vous écrivez ce que vous voulez.
Je reviens plus haut sur le fait sur quoi Maxobiwan a eu du mal.
En fait, le post est du html, donc même en cliquant sur le bouton celà vous donnera donc un <strong>mot en gras</strong>.
Bref autant passer par la methode à l'ancienne :
<em>italique</em>
<u>souligné<u>
<strike>
insérer un lien <a href="http://www.raton-laveur.net/editotaku/">texte cliquable</a>
Edit de Keul => Pas de target=_blank, ceux qui ont une souris 2 boutons ont la touche CTRL
insérer une image <img src ="http://www.raton-laveur.net/images/logos/younes.jpg"/>
insérer une image cliquable :
<a href="http://www.raton-laveur.net/editotaku/"><img src ="http://www.raton-laveur.net/images/logos/younes.jpg" /></a>
Utilisez la balise <br> pour mettre à la ligne.
=>Edit par Keul => pas besoin de cette balise, un retour à la ligne dans votre texte sera remplacé par cette balise.
Comme sur les forums, n'oubliez pas de fermer les balises
(ah ya un truc chiant avec ce blog, ya pas de prévisualisation des messages).
R
Ajout par Keul:
Si c'est trop compliqué, utilisez un éditeur HTML tel que Nvu, ou envoyez ça à keul@keul.fr dans le format que vous voulez (.rtf, .doc, .pdf, avec entre parenthèse les URL des liens ou images (que vous pouvez mettre en fichier attaché).
N'oubliez pas de signer en fin d'article (qu'on saches qui à posté).
13 décembre 2007
Préparatifs de la semaine Quartier Libre 2007
Par Raton-Laveur le 13 décembre 2007, 23:40
Comme chaque année, vous disposerez d'un login, qui vous amènera devant l'interface que j'utilise depuis si longtemps pour écrire mes bafouilles. Ca fonctionne avec du HTML basique pour mettre de l'italique ou du gras, donc rien de bien compliqué. Pour les images, postez-les sur un compte web, pix.nofrag.com ou un truc du genre, pourvu que ça soit encore là l'an prochain, et l'année d'après et ainsi de suite.
Pour les conseils de rédaction, vous avez déjà cette petite liste. Et on ajoute ceux-là :
- Au début du texte, marquez "par (votre nom/pseudo)", qu'on sache qui l'a écrit. Vous pouvez et êtes même fortement encouragés à en profiter pour mettre un lien vers votre propre site - en plus, c'est bon pour votre référencement.
- Contenu Original : pas de copier-coller, on n'est pas sur un skyblog ! Ne postez pas des textes que vous avez déjà publié ailleurs, ça ne sert à rien - pas de valeur ajoutée, tout ça.
- Comme le login sera commun à tout le monde, sûrement qu'il y aura des connexions simultanées par plusieurs d'entre vous, ce qui risque de faire de vilaines choses, comme bouffer votre texte. Bref, rédigez d'abord votre truc dans le bloc-notes, avec les liens et le formatage qui vont bien. Quand vous êtes content, connectez-vous, copiez le tout dans la fenêtre, ajoutez le titre et la catégorie (général, jeux vidéo ou japanime), validez, déconnectez-vous et admirez. Vous pouvez éditer le texte après coup en cas de coquille.
- A en juger par certains articles que vous avez écrits, non, il n'y a pas de censure. L'an dernier, Arez a écrit sur l'anime hentai que je n'ose même pas nommer. Quelques heures plus tard, il a poussé le vice jusqu'à mettre à jour son texte avec de nombreuses captures d'écran.
Voilà voilà, le reste suivra ce week-end, où la session IRC fêtera son troisième anniversaire. Tout comme la petite fille de Mdt (hé oui, il avait annoncé sa naissance pendant un Quartier Libre !), qui fêtait hier son premier anniversaire. A dimanche !
Mise à jour : toutes les infos sont ici !
Pendant ce temps : Faut croire que Nolife a sorti ce mot du ghetto, puisqu'après le 13h de France 2 et France Info, voilà que Pujadas s'en sert au 20h.
11 décembre 2007
Xmas Shopping Guide
Par Raton-Laveur le 11 décembre 2007, 23:28
- Pour les jeux vidéo en général : il y a une règle immuable que les constructeurs ont plaisir à perpétuer : on n'a jamais tous les accessoires qu'il faut. Quatre manettes ? Les batteries qui vont avec ? Le Nunchuk, le casque Bluetooth, l'adaptateur de cartes mémoires ps2, le mini-clavier, le pistolet ? Inévitablement, il manque quelque chose de forcément inutile. Commencez par ça, puisque c'est utile et passe-partout - on n'a jamais assez de ces machins pour chaque console.
- Pour la Wii : Super Mario Galaxy, Super Paper Mario, Link Crossbow Training pour le bout de plastoc ? C'est Nintendo, alors on achète des jeux Nintendo. Mouais, y'a Rayman aussi, mais je paierais pas 60 € pour ça. Ah, et on peut offrir des jeux Virtual Console par le biais des codes amis ! Offrez Sin & Punishment, Gunstar Heroes et les autres jeux du studio Treasure !
- Pour la DS : Non, Zelda ne m'a pas plu. Elite Beat Agents est toujours là, tout comme les deux Ouendan. Et même si Meteos est un jeu de lancement, il n'a jamais vraiment quitté la console... Ah, ne prenez pas Animal Crossing : c'est comme offrir World of Warcraft, suicidant socialement la personne qui le reçoit. Il paraît qu'il y en a qui vous tabassent s'ils découvrent des jeux pareils dans leurs chaussons.
- Pour la 360 : PGR4, Bioshock, l'Orange Box, Mass Effect, Ace Combat 6 ? Ouais. Ou là encore, du XboxLive Arcade avec Carcassonne et Catan, Castlevania Symphony of the Night, Geometry Wars. Oh, et il y a un Dance Dance Revolution qui vient de sortir.
- Pour la ps3 : le Blu-Ray de Paprika. Sérieusement. J'ai envie de choper cette console rien que pour voir le film en haute déf'. Ou si vous avez plein d'argent, Drake Uncharted Fortune, le seul jeu intéressant sur la console. Nan, Heavenly Sword est foireux et tout le monde l'a déjà oublié.
- Pour la ps2 : hey je viens de trouver un Clock Tower 3 à pas cher ! Shadow of the Colossus, un Guitar Hero ou la guitare supplémentaire qui va bien, un Nippon Ichi pour changer de Square Soft.
- Pour la psp : le nouveau WipeOut ou si c'est pas déjà fait, flashez la console et mettez-y Cave Story.
- Pour le PC : Bioshock, World In Conflict ou l'Orange Box. Ou un jeu Steam. Un pad 360, une campagne pour Guild Wars, une bonne souris ou clavier de joueur.
- Pour les mangasses : on prend les mêmes et on recommence... Regardez sur l'armoire et achetez les mangas manquants aux collections, du Tetsuya Tsutsui ou Mushishi.
- Pour les animes : Manga Distribution ! Et un énorme fuck you à Kaze, qui a définitivement décidé de remplacer le sucre de son café par de la coke et l'eau par des neurotoxines : après avoir mis les 13 épisodes de l'Odyssée de Kino à 100 € (ou "seulement" 80 € pour les chanceux) et les 26 épisodes de Tsubasa Reservoir Chronicle à 140 € (!!), ces agités du bocal mettent les neuf premiers épisodes de la Fille des Enfers au délirant prix de 60 €, soit la première série de 26 pour 180 € ! Alors que Déclic Images est à terre, Kaze atteint ainsi un nouveau sommet du foutage de gueule, faisant presque passer Beez pour des bienfaiteurs en justifiant ses "éditions collector" avec des cartes postales et des silhouettes en carton. C'est bien simple, ils doivent se croire au Japon...
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