21 juillet 2008
Silent Hill Origins
C'est le premier Silent hill à ne pas avoir été fait par l'équipe de la Silent Team. C'est Climax qui s'est chargé du boulot. Oui, quand on voit leur liste de jeux, y avait de quoi craindre (le minable Suideki entre autre).
Cet épisode est chronologiquement avant le premier. D'ailleurs au Japon c'est Silent Hill zéro. En occident, ils ont quand même remplacé le O d'origine par un zéro pour la référence.
Travis Grady, un transporteur routier, prend un raccourci (d'un classique) vers Silent Hill. En chemin, il s'arrête après avoir trouvé une jeune fille sur la route qui fini par s'enfuir. En la suivant, il s'arrête à coté, une maison est en feu. Le jeu commence là. Des le début, on sauve des flammes une gamine enfermé dans la baraque. Une certaine Alessa Gillespie. Juste après le sauvetage, Travis s'évanouit. Il se réveille à Silent Hill.
Au début, pas de dépaysement qui ceux qui ont joué au premier, puisqu'on se rend tout de suite à l'hôpital Alchemilla, bien connu dans le premier. Pareil pour la ville, c'est le même style que dans le premier, sauf que la carte est inédite.
Franchement au début, on à l'impression qu'il ne se sont pas foulé, avec l'hôpital, identique au premier, on le finit rapidement. D'ailleurs la durée de vie est courte puisqu'il ne m'a fallu pas plus de 5 heure pour le finir la première fois. C'est peu, même pour un Silent Hill. Heureusement, les passages suivant seront plus diversifiés, tout en restant dans l'esprit du premier notamment.
Un bon point pour l'ambiance qui est respecté, (obscurité quasi permanente, différence de décors marquante entre les mondes...) en récupérant les bonnes recettes des trois premiers épisodes. C'était chiant de se retrouver avec des niveaux complètement éclairés comme dans le 4.
D'ailleurs, en parlant de mondes, le passage du monde "normal" vers l'alterné (et vice versa) se fait via les miroirs. Il n'est donc plus imposé. Ça peut être un peu étrange, dans le sens qu'on à un certain contrôle sur les mondes, mais ça n'a pas gêné l'ambiance. De plus, ça à ajouté un coté intéressant au gameplay, et un peu au énigmes (qui dans l'ensemble, sont très classiques).
Donc, Graphiquement, ça tiens très bien la route, on est sur PSP, et j'imagine qu'il ne devrait pas y avoir énormément de différence avec la version PS2. Seul bémol, les persos sont franchement pas très expressifs, j'avoue que ça fait bizarre.
Bon, le gameplay : En fait, il y a des nouveautés par rapport aux anciens épisodes. Au début, l'équipe voulait ajouter du gameplay à la Resident Evil 4, notamment la caméra derrière le perso, ou la visée laser des flingues. Ce qui a pas plus à Akira Yamaoka. La camera est devenu donc comme les autres épisodes, légèrement éloignée du perso et libre (sauf sur certaines scènes), on peux la centrer derrière le perso via R. J'ai a des moment été gêné par la caméra, mais on s'y fait avec l'habitude.
D'autres point ont été gardés en revanche, comme les touches action. Et là, c'est vraiment chiant. Pour commencer, on est pas aidé par la console (fucking square button), en plus, le jeu est particulièrement intolérant dans le timing, Vous avec intérêt à être préparé lorsque vous verrez une de ces "Quick Time Events" à la con.
Et bien sûr, Travis ne se déplace qu'avec le pad directionnel qui glisse des doigts, en plus d'être inmaniable. Là, c'est de la faute de la console.
Ensuite, les armes. Oh, bien sûr, vous avez l'arsenal des tout SH qui se respecte, pistolet et fusil. Mais voilà, à croire que Climax sont des gros fans de Capcom, car on peut utiliser beaucoups d'objets comme arme. Oui, comme dans Dead Rising, et ça, ça fait franchement louche. Vous avez trouvé une bouteille d'alcool, une machine a ecrire, une planche ou une pied de lampadaire ? Et bien ce sont des armes. Et au bout d'un moment la collection devient énorme. D'autant plus que la plupart sont totalement inutiles.
Une bien bête idée, surtout que je considère qu'un jeu sensé "faire peur", c'est un jeu ou on à le moins d'armes possible. Heureusement, que le classement dans le menu est bien foutu, avec des catégories entre munitions, objets, armes classiques, et ces nouvelles "armes".
Les musiques sont, comme d'habitude, excellentes. Très proche de ce que on peut trouver dans le 2ème opus de la série. Rien à redire.
Au final, on a des points gênant lié parfois a la console, parfois au jeu lui même. Mais dans l'ensemble, ça reste un silent hill correct, Climax s'est plutôt bien démerdé. Surtout par rapport aux limites de la console, et le fait que ce soit une portable. Le jeu est fluide et les chargements de durée corrects. Mais surtout, je pense à l'ambiance. Il me semble que c'est Konami qui, à un moment, à déclaré ne pas vouloir faire de survival horror sur ce genre de plateforme, parce non adapté a ce type de jeu.
Mais entre nous, qui joue à la PSP autre part que chez soi ?
Par lectorat le 21 juillet 2008, 00:30 - Jeux vidéo 8 commentaires
20 juillet 2008
[NSFW] Resort Boin <img src="./nsfw.png" />
Tout d'abord, un petit mot pour ceux a qui le fait que l'article soie NSFW attriste , du fait d'un environnement non-compatible : j'ai pensé a vous !
Vous allez là , et vous cherchez l'énormité dans ce générique -- tant est que vous arriviez a rester suffisamment longtemps pour la trouver.
Puis, allez écouter la merveilleuse histoire d'Albator.
Bon, pour les autres, de l'oppai. Et beaucoup d'images. Et peu de texte.
Par lectorat le 20 juillet 2008, 23:00 - Général 16 commentaires
A quoi joue-t-on sur #editotaku ? ( et sur #haruhi aussi )
Par Segfault/Ninjigen et Manic ( enfin, principalement par Segfault ... quoi le gros du texte a été écrit par manic ? STFU d'abord )
COntribution de dernière minute de la part du gnome ( Org )
Worldnet est un serveur merveilleux. En fait non, mais passons sur ces petits détails. Worldnet est un serveur IRC qui abrite entre autres deux chans sur lesquels je passe mon temps : #editotaku, #haruhi,
Segfault == Ninjigen
Retenez-le.
J'avais au départ prévu de faire un billet présentant un peu la population des deux chans en semaine, en dehors de la session du dimanche soir, et puis j'ai eu divers empêchements ( oui, deux tournois euro de MBAC, ça compte ), et surtout un élan de flemme. Oui, j'ai énormément de mal à me débarrasser de ces sales bêtes. Au lieu de cela je vais présenter un peu à quoi tout le monde joue. Je tiens à préciser que ne seront présentés ici que les jeux auxquels plusieurs personnes jouent, mais surtout des jeux auxquels plusieurs personnes jouent ensemble.
Tout d'abord commençons par la steam community, en particulier avec TF2
Inutile, à vrai dire que je vous le présente moi même, bien des gens l'ont fait avant moi, et le font mieux que moi,
Rejoignez les groupe editotaku et haruhi.fr sur steam, presque tout le monde y joue. Le raton y a, d'ailleurs, à mon avis, récupéré du monde pour sa session du dimanche soir et pour lire ce blog. Mais ce n'est que mon avis.
A noter que les gens jouent aussi à Trackmania nations et Civilisation 4.
Pour cela, nous nous retrouvons sur Teamspeak, venez dès que vous le pouvez ( plus d'infos sur le chan ).
Il y a de nombreux autres jeux proposés par steam qui ont de la popularité sur le chan, mais vu que je me suis retiré de tout ça il y a un moment. J'attend qu'un hack'n'slash du niveau de Diablo II sorte ( probablement le Diablo III prévu ) afin de me remettre un peu. Non que me faire huer à raison pour ma n00bitude aux FPS m'aie donné envie de quitter tout ça, quoique cela m'aie un peu échaudé, mais c'est que j'ai trouvé d'autres choses ailleurs :
Les MMORPGs
S'il y a deux MMORPG, en dehors de WoW qui sont joué, ça serait :
Phantasy Star Online Blue Burst : abrévié en PSOBB. Demandez plus d'informations sur le chan.
En réalité le jeu est un peu délaissé depuis un moment, vu qu'il n'y a plus que pbsaffran et moi même qui y jouions encore régulièrement. Mais voici la liste des joueurs qui peuvent théoriquement jouer :
- Ninjigen/Segfault
- coindetable
- pbsaffran
- Valderonces
Présentation du jeu :
Le jeu avait été au départ diffusé sur Dreamcast ( PSO ), puis sur Gamecube ( PSO eps 2 ) et maintenant sur PC ( PSOBB ), et ça se voit. C'est d'ailleurs l'un des seuls MMORPG que je connaisse jouable facilement à la manette et prévu pour ça. Le seul autre dans ce cas est Lunia, à ma connaissance, qui reste limitée, bien sûr.
Voilà, donc armée d'une manette ( je conseille d'ailleurs une manette type PS2, avec un pad (une croix directionnelle) un stick, voire deux, et 8 boutons, qui vous permettront de gérer l'attaque et votre inventaire en même temps. Lorsque vous commencez, on vous propose le choix entre 12 classes différentes, aux noms imprononçables et que je n'arrive toujours pas à retenir ( et dont surtout je n'ai cure ), subdivisées en trois grandes classes : les hunter, spécialistes du corps à corps, les rangers, spécialistes des attaques à distance, et les Forces, spécialiste de la magie du jeu. Une fois votre personnage créé, vous le déplacez à la manière d'un Zelda : le stick pour bouger le perso, et trois boutons dont un bouton d'action. Vous atterrissez dans le lobby après avoir choisi votre vaisseau ( serveur ) et bloc, allez au centre delander la création d'une équipe, ou d'en rejoindre une, vous choisissez les paramètres qui vous conviennent, puis entrez dans le monde de PSO.
Le principal élément qui m'a attiré vers ce jeu ( en dehors du contrôle à la manette ) est le mode de combat. A la manière d'un action-rpg d'une console, vous avancez avec le stick, donnez des coups avec les trois boutons d'action, ouvrez votre menu avec le quatrième bouton. Pas de skills ou autres dans ce jeu, vous ne survivrez que si vous savez correctement vous placer face au monstre et que si vous avez un timing plus ou moins précis pour le combattre. Car le niveau ne fait pas tout à ce jeu, certes il permet d'obtenir des armes plus puissantes, des sorts plus puissants, mais l'important reste de savoir bien utiliser les armes mises à disposition en fonction de leur vitesse, de leur portée et du nombre d'ennemis qu'elles touchent. Il n'y aura pas, de plus, de grand univers dans lequel vous pourrez vous balader librement. Chaque niveau est fermé, et vous pourrez n'y accéder que par équipes de 4 joueurs à la fois. Ceci permet de limiter le cercle vicieux des kevins et des MMORPG. Comme le dit si bien le raton : on ne joue bien à un MMORPG qu'avec des gens que l'on connaît.
Le jeu est en téléchargement libre sur le site dédié de Sega.
Toujours sur worldnet, rejoignez le chan #pso
En dehors de PSOBB, auquel relativement peu de personnes jouent, en fait, les gens jouent à Hordes. Comme je n'y joue pas personnellement, j'ai laissé le soin à Manic de pondre un petit paragraphe dessus.
...
Manic, c'est à toi !
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Enfin! Le nouveau jeu de Motion Twin (Alpha Bounce, Studio Quiz) arrive. Et il s'agit de Hordes!
Mais qu'est ce que Hordes? C'est un jeu où le but est de survivre contre des zombies qui rôdent autour de votre ville. Heureusement, vous n'êtes pas seul, plusieurs citoyens sont là pour vous aider.
Alors, vous l'avez compris, survivre aux zombies va être un travail d'équipe. Vous vous retrouvez rapidement dans une ville ravagé par les zombies, avec plusieurs survivants. Et là, c'est à vous de choisir. Faire l'aventure tout seul ou faire partie de la communauté. Il est préférable d'aller d'abord aider les citoyens plutôt que de faire cavalier seul, car sinon, les citoyens vous mettront des plaintes et vous risquez d'être banni de la ville. Et oui, l'ennemi principal n'est pas le zombie dehors mais bien ton voisin qui habite près de ta maison. Le jeu reproduit vraiment l'esprit de communauté. Certains citoyens sont des boulets, d'autres des solitaires, voleurs, héros etc... Et vivre en communauté, c'est dur. Faut les supporter, se prendre des plaintes, se faire voler, voir même se faire pendre. Pourtant, il est important de discuter avec la communauté pour survivre le plus longtemps possible.
Pour jouer à Hordes, les PA (Points d'Actions) sont importants. Vous en avez, en vous levant, 6. Les PA servent à construire des bâtiments qui nécessitent des PA pour être construit. Bien-sûr, vous ne pouvez pas les construire tout seul, d'autres citoyens vous aideront en donnant aussi leurs PA. Les PA vous servent aussi à vous déplacer dans l'Outre-Monde (visiter le dehors de la ville), chaque case parcourue vous coûtant un PA. Effectivement, avec 6PA, on va pas aller loin. C'est pour ça que vous pouvez boire ou manger pour récupérer des PA. Grâce à ceci, vous pouvez obtenir facilement 18PA! Il y aussi le moyen d'utiliser des drogues pour avoir des PA supplémentaires, malheureusement, en utilisant les drogues, vous tomberez dépendant et vous serez OBLIGÉ d'en prendre tous les jours sinon vous allez mourir. Vous avez bien compris que les drogues sont vraiment à utiliser en cas de dernier recours. Il y aussi l'alcool que pouvez utiliser mais attention à la gueule de bois après, là vous pourrez même plus boire d'alcool.
En arrivant dans une ville, vous trouvez votre maison, une banque (une grosse caisse) , un puits, un chantier etc... Votre maison vous sert de maison de repos quand vous n'êtes pas connecté, et de refuge lors de l'attaque des zombies. Si les zombies arrivent à entrer dans la ville, si vous aménagez votre maison en y mettant des défenses vous avez encore une chance de vous en sortir (si les citoyens ne vous ont pas encore pendu pour votre maison blindé) La banque sert à poser tout les objets utiles à la communauté pour fabriquer des défenses ou si vous n'avez plus de place dans votre maison. C'est vraiment le point central du jeu, le menu le plus important, vous vous en rendrez vite compte si vous jouez en communauté.
Le puits sert à récupérer une gourde pleine d'eau pour ne pas mourir déshydraté (ce qui arrive souvent à part la mort à cause des zombies) mais le puits sera vite à sec et il faudra aménager des constructions pour l'agrandir. Le chantier est là pour ça justement. Avec les ressources déposées dans la banque, vous pouvez construire des bâtiments pour renforcer la défense contre l'attaque des zombies qui arrivent à minuit, donc vous comprenez que c'est primordial. Si vous ne construisez rien, les zombies vont avoir un sacré buffet ce soir. Vous pouvez construire des grandes portes, des champs de dynamite pour vous protéger ou bien construire une pompe pour avoir plus d'eau dans le puits. Malgré cela, plus les jours passent, plus les défenses s'agrandissent. Et vous n'avez qu'une solution, allez chercher des ressources.
Et oui, si on reste planqué dans la ville, on va avoir du mal à trouver des ressources, vous pouvez donc sortir de la ville ou organiser des expéditions pour aller en chercher. Bien-sûr, les zombies grouillent en dehors de la ville, mais ils sont moins nombreux que quand ils assiègent la ville. Il est donc toujours préférable de rester en groupe quand vous sortez au cas où, mais il est possible de sortir tout seul bien-sûr, mais à vos risques et périls. Restez quand même aux alentours de la ville pour éviter de tomber sur des zombies. Heureusement, si votre ville comporte des citoyens intelligents, ils noteront plusieurs indices sur votre carte tels que l'emplacement des zombies ou si la zone est épuise en ressources.
Le forum de votre ville est aussi un endroit très important. C'est là que vous pouvez discuter avec les citoyens, discuter de quoi faire en priorité. L'accent est vraiment mis là dessus, vous ne pouvez vous en sortir sans le regarder. C'est là que vous remarquerez que vous avez des citoyens très stupides ou encore des citoyens très sympathique avec qui il est passionnant de survivre. Mais le plus important est l'attaque des zombies à minuit (ou plus tard ou plus tôt pour faire une surprise, oui, ils aiment ça les surprises les zombies.) Pendant l'attaque, vous ne pourrez faire quelque chose, à part brailler ou crier "Maman" mais bon, à ce moment là, vous êtes généralement dans votre lit dans la vraie vie. La Gazette de votre ville vous informera des morts qu'il y a eu pendant l'attaque, et c'est là que vous allez voir tout le monde piller la maison de vos compagnons morts pour piquer ses ressources, ou bien emmener son cadavre dehors avant qu'il devienne un zombie. Et oui, la vie est dure. Vous pensiez que c'est déjà le chaos en ayant lisant tout ce pavé? Si il ne reste que 10 habitants dans la ville, la ville enclenche son mode "Chaos". Les plaintes ne marchent plus, vous ne pouvez presque plus rien prendre à la banque, mais vous pourrez piller vos compagnons mort et faire de votre maison un bunker. Plus personne ne fait confiance à quelqu'un et les zombies viennent en force. Si vous êtes (avec de la chance) l'unique survivant, vous accédez à un mode "Héros" (qu'on peut avoir avant d'être le dernier survivant en payant de l'argent réel) Ce mode vous permet d'accéder à d'autres métiers que celui de départ : Fouiner; Éclaireur et Gardien. Ces métiers vous donneront des avantages dans plusieurs domaines. Le fouineur trouvera plus d'objets dehors, l'éclaireur est discret et peut échapper aux zombies pour se rendre encore plus loin en dehors de la ville et enfin le gardien, qui peut retenir les zombies au cas où vous en rencontriez sur votre passage.
Bien-sûr, vous allez mourir un jour ou l'autre dans le jeu, vous tiendrez au départ un ou deux jours. Et plus vous irez dans de villes différentes, plus vous comprendrez le principe du jeu et plus vous serez performant. Vous essayerez ensuite de survivre le plus longtemps dans une ville et peut-être rentrer dans le "guiness book". En mourant, vous obtenez des distinctions qui ne servent pas à grand chose à part flatter votre ego par certains moments. Vous pouvez aussi regarder votre "âme" qui est en fait un résumé de vos distinctions ou du temps passé dans une ville.
Voilà, on espère avoir attirer votre curiosité pour ce jeu très sympathique qui est Hordes ^^ Il n'y a pas besoin de payer pour jouer, le jeu est gratuit (sauf si vous voulez avoir le mode héros que vous n'êtes pas obligé d'avoir) et il est ouvert depuis récemment, vous n'avez plus besoin d'invitation pour vous inscrire! Avant de démarrer l'aventure, lisez bien l'aide mise en place par le site et essayez de vous familiariser avec l'interface en choisissant l'interface avancée, et mettez votre tente à la banque dés le début ^^
Bon jeu!
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Ouais, t'es gentil Manic, mais pas forcément besoin d'écrire autant, j'ai l'air de quoi après, moi ? Boh etpizut, la flemme d'éditer. Et puis il y a quelqu'un d'autre qui s'agite derrière. Oui je sais, je l'ai oublié. Et alors ?
Prend la parole gnome ;
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Etre un nolife c'est pas facile tous les jours, on aimerait vivre dans un monde idéal fait de bonnes actions qui seraient récompensées à leur juste valeur et de jeunes filles à sauver (son âge étant inversement proportionnel à celui du sauveur), je m'arrête ici car je vois à travers vos verres et lentilles (pour ceux qui ont tenté de s'adapter à notre société impitoyable mais en vain puisque vous êtes là), vos yeux humides qui en disent déjà assez, beaucoup trop.
Mes chers frères, si je suis ici ce n'est pas pour percuter votre pauvre ego d'un nouveau jeu débile qui vous fera oublier un temps soit peu le dur quotidien de cette chienne de vie mais bien de faire luire la flamme de héros qui se trouve en chacun de vous, ou encore de permettre à vous autres de prendre votre revanche, frustrés par vos nombreux amis (c'est ce qu'ils prétendaient ces ******), qui passés l'âge adulte, vous ont tous abandonné irrémédiablement, les uns après les autres.
Cessons de tourner le couteau dans la plaie, attaquons-nous au vif du sujet.
Hordes, le mot est lancé mais ne partez pas trop vite, non cela n'est pas un énième jeu d'heroic fantasy avec des orcs et des elfes. Derrière ce nom un tantinet générique se cache une pépite de micro-société, rien que ça.
Micro-société, en apparence cela peut paraître un peu pompeux mais fort heureusement il est des fois où la formule rejoint le fond, pour le meilleur rien que pour le meilleur.
Pour en revenir au jeu, vous débutez abandonnés dans une ville choisie au hasard par le site, plantés au beau milieu d'un désert hostile (malheureusement pour vous c'est vrai à quelques latitudes près) sans échappatoire possible.
Non content d'être laché là, vous allez aussi devoir coopérer avec les citoyens du coin plus ou moins scrupuleux (une quarantaine), tout ça dans l'unique but de survivre le plus longtemps possible.
Ah mais j'oubliais, c'était sans compter que la mer de sable dans laquelle vous viverez (je vous donne pas trois jours pour votre première cuite) prendra une teinture rouge assez régulièrement, enfin cela, ça dépendra de toi et de comment tu t'organiseras avec ta nouvelle bande de joyeux lurons.
En effet ses habitants sont plutôt frileux de fresh meat, c'est le moment de faire la connection avec le nom du site, vous voyez mieux de quoi je veux parler ? (* commentaire de Segfault : non, alors grouilel toi d'en venir au sujet espèce de gnome ! *)
Une horde de zombies, bah ouais et c'est généralement mortel quand on se retrouve nez à nez avec eux mais ça ne vous le saurez qu'en ayant jouer au jeu. Qu'il est bien mon chantage. (* digne d'un gosse de deux ans, ouais :3 *)
Pour la partie technique du titre le jeu se déroule sur page web et là si vous êtes déçu, c'est que vous avez décidément pas votre place ici, bah oui un véritable otaku c'est bien connu, ne fait pas attention à la qualité des graphismes mais à sa profondeur (suffit de voir leurs copines pour s'en rendre compte, du moins pour la première). (* la profondeur de quoi ? *)
Mais bon si cet argument ne vous pas convaincu, je peux avancer aussi le fait que la communauté française est de qualité. Chose rare qui mérite d'être soulignée. (* MMO + qualité + française ? Do not compute *)
Ce qui est assez logique parce que le jeu n'est doté que d'interface écrite, demande un minimum de persévérance pour passer le cap des vingts premières minutes rébarbatives à comprendre comment tout marche et que l'imagination des joueurs contribue pour beaucoup à la magie du jeu, donc exit une bonne partie de la pollution sms et autres kikoo lol. (*lol kikoo môman *)
Même si certains passent dans les mailles du web (ahah..), je vous rassurerai en disant qu'ils sont aussi les premiers à périr ou à jeter l'éponge.
L'aspect du jeu le plus important passera par le forum où vous metterez en place vos différents projets pour survivre le plus de temps possible, en gros batir des constructions pour fortifier la ville (augmente les points de défenses) sachant que chaque jour à minuit, une attaque de zombie aura lieu à l'encontre de la cité (un zombie est équivalent à un point de défense).
Entre temps vous aurez le loisir de faire avancer le chantier en vous mettant tout simplement à travailler dessus ou de se la jouer indy, c'est à dire d'aller chercher des ressources dont a besoin le chantier et d'autres bricoles en dehors de la ville qu'on ira stocker dans la banque (si on est un peu sympathique). Mais il faudra faire attention à ne pas se faire bloquer par des zombies qui rôdent dans les parages, leur nombre devenant de plus en plus important au fil des jours. Avec l'obligation s'il vous plaît de revenir dans la ville avant minuit, sous peine de se faire dévorer. Tout ça via un système de point d'actions, de gestion de la soif etc... que je ne prendrais pas la peine de détailler, je m'occupe juste de la forme moi. (* hohon c'est qu'on devient snob avec l'âge *)
Jusque là rien de bien méchant, en fait ce ne sont pas tant les mécaniques du jeu qui génèrent l'intérèt si singulier porté à ce jeu, mais bel et bien le comportement des joueurs ! Bah ouais avec un aspect de survie pareil et surtout un système de récompense à la clé, fallait s'attendre à quelque chose d'assez balaise. (* ZOMHWTFROFLCOPTER ! *)
Ca peut te faire sortir des leaders qui se batteront pour le peuple jusqu'au bout (faites gaffes quand même...), d'ailleurs c'est assez marrant à observer comment ils s'auto-désignent, réalisme garantit comme d'un autre côté ça peut faire jaillir les bas instincts primaires, genre voler les ressources mises en commun à la banque pour consolider leur tente personnelle à fond et être le dernier survivant (grosse récompense), et tout cela au détriment du reste de la communauté bien sûr.
Heureusement il y a toujours moyen de les bannir ou de les pendre, pour les empécher de tout foutre en l'air mais c'est pas toujours évident quand tout le monde commence à ne penser qu'à lui (les derniers jours généralements).
En espérant vous avoir donné envie de vous y mettre et au heureux hasard qui fera de nous, peut être, des compagnons d'estomac.
///
Pour savoir qui joue, référez vous à ce topic.
Les Doujins game de baston
Un peu moins populaires, mais pourtant constituant au moins 1/3 des discussions sur le chan #editotaku en semaine, les doujins-games de baston.
Plus particulièrement deux jeux :
Meltyblood Act Cadenza Version B PC
Ce jeu est la raison pour laquelle je suis le 2ème plus bavard sur #editotaku, et la raison pour laquelle les 3 /4 de mes quotes sont absolument incompréhensibles
Quote :
Si vous n'avez pas compris, rassurez-vous, c'est normal. Je no-life sur ce jeu depuis presque un an et, comme dans beaucoup de jeux de baston, la théorie s'accompagne d'une bonne dose de jargon incompréhensible. Enfin, ça s'apprend vite. Ai-je dit théorie, pour un jeu de baston ? Oui, vous avez bien entendu, Meltyblood est un jeu théorique, qui repose énormément sur le ''mindgame''. De réputation, les jeux de baston sont des jeux où, pour gagner, il suffit de violer la manette en enchaînant des séries de coups, c'est rarement le cas une fois que l'on joue un peu au jeu en question.
Meltyblood se caractérise par à la fois un gameplay classique, et des commandes pour les coups simples à effectuer ( quart de tour avant/arrière, dragon punch ( avant, bas, quart de tour avant ), appuyer deux fois sur la même direction ), et des combos intuitif et simples à effectuer ( un combo peut être effectué n'importe comment pourvu que le même coup ne soit pas effectué deux fois à quelques exceptions près, et que le coup suivant touche ), un jeu très aérien ( comme guilty gear ), une cadence, pas aussi intense que Guilty gear, mais très soutenue tout de même, qui interdit tout ''bourrinage de boutons''.
Meltyblood, en lui même est la suite des jeux Tsukihime et Kagetsu Tohya, doujins hentai de Typemoon ( qui a fait plus tard Fate/Stay Night ) à l'univers incroyablement élaboré, à l'ambiance étouffante et au scénario impressionnant. Certains fanboys vous le diront mieux que moi.
Tout ça pour dire qu'il y a du monde qui y joue sur l'edito et sur #haruhi, que ce soit de manière occasionelle, ou des gens qui nolifent dessus. Les niveaux sont très variés, et pour ceux qui sont intéressés par un peu plus, allez voir sur le chan #meltyblood,n toujours sur worldnet.
Liste des joueurs :
- French31
- Ninjigen/Segfault
- MLA-Kun
- Oufan
- Zind
- Valderonce
- Rukawa
- Nefka
- Superchausette
- WEdnesdaY
- death4578
- Coindetable
- Shikaze
- Maxobiwan
- FFenril
J'émets le vœux que le raton se mette à MBAC, je pense que je vais pouvoir prier longtemps la déesse pour ça.
Enfin, dernier jeu présenté dans cet article, dernier et moindre ( oui, nyoro, juste pour t'emmerder ), SWR : appelé aussi Scarlet Weather Rapsody. Puisque le nyoronyolo, dans son article, n'a pas plus détaillé le gameplay du jeu.
Il s'agit d'une adaptation de shmup dans un jeu de baston, ce qui donne, assez souvent, un bordel monstre à l'écran. Chaque personnage a quelques attaques de corps à corps, un combo de base effectué en appuyant 4 fois sur la même touche, un casse-garde, mais surtout deux types de projectiles ( petits et gros ) et surtout, des spellcards qui changent les attaques spéciales ( avec, encore une fois, des commandes simples, similaire à meltyblood ), ou qui lancent de grosses attaques à gros dégats.
SWR est un jeu de baston sur lequel, comme les shmups de touhou il faut faire attention à énormément de détails en même temps : la position de l'ennemi, les projectiles qu'il balance, les spellcards qu'il a en main, les orbes qu'il vous reste ( qui vous permettent de voler et de lancer des projectiles ) et le temps qu'il fait. En effet, le Weather a des effets différents sur chaque personnage.
Et comme dans les shmups, vous devrez plonger dans les projectiles pour les éviter, à la différence que dans SWR, comme dans IaMP ( Immaterial and Missing Power, ne me demandez pas le pourquoi des noms ) vous pouvez éviter un projectile en dashant dedans. SWR propose un mode online intégré, contrairement à meltyblood, ce qui est un plus. Si vous voulez jouer avec des joueurs plus versés dans le jeu, allez sur #swr, toujours sur le même serveur.
Liste des joueurs :
- Ninjigen/Segfault
- Nyoronyolo
- French31
- Wairf
- Valderonce
- MLA-Kun
Mais bon, la morale dans tout ça, c'est que MBAC, c'est mieux que SWR. Même s'il y a plein de lolis dans SWR, celles de MBAC sont mieux.
Note : si je vous ai oublié dans la liste des joueurs, mettez le dans les commentaires, je posterai un doublon de cet article sur mon blog et le mettrai à jour. Demandez sinon au raton, on ne sait jamais, il pourrait accepter.
Bien, en conclusion, si vous vous ennuyez seul, venez jouer avec nous, voici un article avec peu d'images, peu de liens, qui prouve que j'ai la flemme en cette période de phails d'écrire un article convenable.
Ah, quelques chans à retenir :
#editotaku dispo aussi ici
#haruhi dispo aussi ici
#meltyblood dispo aussi ici
#swr dispo aussi ici
#pso dispo aussi ici
Par lectorat le 20 juillet 2008, 22:01 - Général 17 commentaires
It's goofy time!
Vous êtes sains d'esprit?
Vous êtes un mec équilibré?
Vous vivez normalement?
Vous réussissez ce que vous entreprenez?
Vous avez une copine, un job, de l'argent?
Il faut que cela cesse!
Rejoignez #editotaku ! (serveur worldnet, via Mirc, opera ou le lien à gauche)
Nos joyeux habitués se feront un plaisir de violer votre esprit, pénétrer par tous les pores votre subconscient et ruiner votre jeunesse!
L'équipe d' #editotaku vous garantie une perte minimale de 20% de points de SAN! Et pour une image NSFW cliquée, Shikaze vous en offrera une seconde!
N'hésitez pas, laissez votre vie géniale derrière vous, et adoptez l'otakattitude! En même pas une semaine, vous serez virés de votre taf pour consultation d'images pédo sur 7chan, largués par votre douce suite à la découverte de JB sur votre dur, rejetés par vos amis beaux et bronzés pour avoir gueulé "IT'S OVER NINE THOUSAND" devant une vidéo de surf!
Vous pourrez alors découvrir la non-vie, les pizzas 4 fromages, les JV de chez Illusion, 4chan et l'ami des enfants, pedobear.
See you soon! (d'ici 21 heures).
Ah, oui, j'oubliais. Le quartier libre se termine ce soir. Donc si vous voulez enfoncer ce post lamentable au fin fond de l'édito, faites vite, parce qu'ensuite, on repart sur un rythme ratonesque d'un article par semaine!
Par lectorat le 20 juillet 2008, 20:54 - Général un commentaire
Jeux à mateurs
Quelle honte, vous entends-je déjà vous exclamer, encore un article sur des doujin-ero-visualnovel-fucking game ?
En fait nan, rassurez vous. Mais ça parlera quand même de sexe, de loli, de pantsu, de gore et de lulz, et même parfois de tout simultanément, alors le sigle est de rigueur.
Maintenant que je vous sens doublement rassurés, je vais vous parler de ces programmes qui grignotent quelques Mo de nos disques durs sans qu'on ait le courage de les virer ; vous savez, le genre d'horreurs qu'on garde quand même en se disant que, bah ça prend pas beaucoup de place de toute façon, qu'on aura du mal à se rappeler où on l'a trouvé si on veut y rejouer un jour (note : ça n'arrive jamais), ou encore pour le montrer à un pote innocent afin de lui prouver que vous êtes définitivement taré.
Vous savez, ces softs fun et originaux ou les excellents jeux tels que les "vrais développeurs" n'ont font plus de nos jours (encore que...) ?
De quoi je parle ? Mais des doujin-games au sens large du terme mesdames-messieurs ! De plus j'ai encore élargi la notion, vu que j'ai l'habitude stupide et néanmoins pratique de mettre dans le même sac tous les jeux vraiment développé par des amateurs, mais aussi par des petits studios, enfin tous les trucs dont vous taisez le nom quand on vous demande à quoi vous jouez en ce moment. J'ai donc décidé de partager avec vous 5 jeux au hasard de genres totalement différents. L'avantage c'est que vous pourrez en télécharger la majorité ici et maintenant, ce qui évitera de transformer les commentaires en hotline/FAQ/Forum pour pirates prépubèrs. (Ce n'est pas une typo, c'est simplement pour vous éviter des images mentales malvenues.)
Et pour bien vous prouver qu'il n'y a aucun classement, les numéros seront remplacés par des têtes de chats.
# : Osu !
I was born in a crOSU!fire hurricane
Oui bon, pour celui-ci je triche un peu : j'en avais déjà parlé dans les commentaires du très bon billet de Nashi. Il s'agit donc d'un jeux Windows reprenant le principe, le gameplay et le fun des Ouendan/EliteBeatAgents, avec tout l'avantage que peut apporter une adaptation sur PC : une communauté solide, qui fournit régulièrement un nombre impressionnant de nouvelles beatmaps, une gestion des Highscores pour chaque chanson au niveau mondial et des mises à jour fréquentes pour ajouter features, skins et effets graphiques.
Par contre au niveau contrôles, sans tablette graphique/écran tactile pour en profiter au maximum, les joueurs à la souris risquent d'avoir un peu plus de mal dans les difficultés élevées, surtout qu'au fur et à mesure que les joueurs ont maîtrisé l'éditeur de beatmaps, ces derniers se sont faits de plus en plus techniques.
# : Demonophobia
Tonight, we die in HELL !
On commence fort avec un jeu interdit au moins de 21 ans (WTF Japan o_O), on pourrait quand même penser que l'interdiction ne serait qu'un simple coup marketing si c'était, vous savez, vraiment destiné à un quelconque marché.
Le jeu est quand même extraordinairement violent, mais c'est loin d'être son seul intérêt. Demonophobia est en fait un excellent jeu d'action/aventure en 2D dans lequel vous incarnez une 14yr old girl, se réveillant dans un lieu assez glauque, et ayant l'envie compréhensible de quitter les lieux. Le gameplay se résume à examiner les trucs louches pour récupérer des objets ou actionner des mécanismes, trouver son chemin en évitant les monstres, battre des boss énormes et surpuissant, et éviter de mourir.
En fait dans ce jeu, absolument tout peut vous tuer. Cela peut aller du simple KO parce que vous avez été touchée trop de fois où il fallait pas, à la décapitation/petrification/calcination/dissolution et d'autre trucs dégueulasses qui finisse par -tion. Vous avez quand même une pseudo barre de vie, mais vous passerez plus de temps à mourir stupidement d'un seul coup qu'on se demande à quoi elle sert.
Aucune arme à part très occasionnellement (et non, même pas ce genre d'arme), le seul espoir reposant dans la fuite, des morts foudroyantes et spectaculaires quasiment tous les écrans... Et oui, ça fait quand même beaucoup penser au bon vieux Another World : un Another World avec une loli (nue dans la dernière partie) dans un enfer bien gore. Awesome.
Vous pouvez télécharger le jeu ici (l'archive de 8mo fait 200mo une fois décompressé (Wah.) La save contient tous les niveaux, virez là si vous êtes un hardcore gamer. Sinon, haut/bas + entrée pour choisir le niveau, Z pour agir/prendre/examiner/passer-les-textes, X pour courir et la barre d'espace pour choisir les objets. Ah oui, et R pour ressuciter quand vous mourrez, j'avais oublié.)
Je dédie les deux prochains jeux à Maxobiwan, dont le voeu plein d'espoir : "mon plus grand rêve : [...] des tas de lycéennes en mini-jupe, et le héros serait un pervers qui doit photographier les culottes." n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd (pourtant ça rend sourd, il paraît.) Je sais que thelvin a déjà posté un lien vers Mekuri Master, alors voila pour vous : deux doujin-games où le gameplay tourne autour de photos de culottes - ou d'autre chose. Et puis en plus, Mekuri Master c'est plus proche d'un spin-off de Jojo's Bizarre Adventure qu'un vrai jeu de pantsu-shooting d'toutes façons.
# : Line Shooting ! Spirit
Panty shots can save your life
Probablement le jeu de combat avec le principe le plus original et intéressant que j'ai pu voir à ce jour. Vous commencez par choisir votre combattante parmi un groupe de charmantes jeune filles, et votre pervert-sense vous signale que le fait qu'il n'y ait pas un seul mec, même pas de pièges, cache quelque chose de gros et quelque peu racoleur : vous n'auriez sans doute pas tort. Le fait est que en plus des coups standards (poing/pied/armes diverses), et des déplacement à 360 degré autour de l'adversaire à la Soul Calibur, vous avez une touche pour... soulever les jupes, et une autre pour prendre une photo. Et tout cela fait partie intégrante du gameplay. En effet, les dégâts que vous effectuez sur l'adversaire ne deviennent 'effectifs' que si vous parvenez à photographier ses effets. Autrement la barre de dégats 'en attente' remonte doucement et les coups que vous avez portés ne serviront à rien. Toute la difficulté est donc de parvenir à terminer vos combos par un remontage de jupe/projection a terre bien placée, puis finir par une petite photo - la photo est réellement montré dans le coin de l'écran, pour vous récompenser de vos efforts et humilier l'adversaire !
Un jeu où pour prendre le dessus, il faut prendre les dessous, ça relève du génie.
Il y a un mode arcade, un mode deux joueurs, enfin tout pour s'amuser en famille pendant des heures. Vous pouvez télécharger le jeu ici (touches par défauts : flèches directionnelles + [W|X|C|V]), et voir ce que ça donne en vidéo là.
# : Sexy shot
I'm too sexy for my pedobear backpack
Le jeu se présente d'abord simplement, comme n'importe quel novel game des plus classiques : vous incarnez un photographe itinérant, qui en rencontrant par hasard une jeune fille (certainement majeure, même si le fait qu'elle fasse 1m10 et posséde un cartable à tête d'ourson laisse planer un doute), décide de la stalker, de la prendre en photo puis de la prendre tout court, tout cela au nom de l'Art, certainement.
Mais alors, me souffle The Awesome Nigger Jew Of Death, est-ce enfin le jeu à branlette ultime ?
Et bien, oui et non en fait. Oui parce que le jeu ne se cache pas d'être un ero-game des plus classique avec CGs à débloquer et tout le tintouin, mais le gameplay est si particulier et addictif, qu'au final on cherche à tout débloquer rien que par défi, pour le plaisir du jeu plus que pour celui des yeux. En effet, le coeur du gameplay n'est pas de faire défiler les textes, servant simplement de mise en situation rapide et convenue, mais de prendre les meilleures photos de votre modèle durant des séances improvisées dans des conditions de plus en plus difficiles (bus qui tremble, lumière qui s'allume/s'éteint aléatoirement...). En effet, pour chacun des 'shots' que comporte la session, vous devrez effectuer le meilleur cadrage possible à l'aide d'une jauge se remplissant plus ou moins en fonction de la direction pointée par votre gros appareil, ainsi de régler le focus au moyen de la molette. Le jeu vous octroit ensuite une note sur 100 selon le respect de ces deux paramètres - oui, un peu comme Pokémon Snap, mais en plus motivant.
Tout cela serait fort facile, si votre photographe n'était pas atteint d'un stade avancée de la maladie de parkinson, et que votre batterie ne se vidaient pas comme celle d'une Game Gear : quand elle est vide, la session est terminée, ce qui vous oblige à gérer intelligemment votre temps pour chaque photo ; et si je rajoute qu'une excellente photo re-remplit légèrement la batterie, et que notre super-héros possède le pouvoir de contrôler un 'tit peu les mouvements de la caméra au prix d'une accélération de la fonte des piles, vous pouvez imaginer facilement l'intérêt que peut apporter le jeu. Evidemment, vous ne débloquez les photos dans la galerie que si vous parvenez à obtenir un perfect dessus.
Entre deux ou trois niveaux, on vous propose un petite scène interactive servant à préparer la prochaine session, comme ouvrir le trépied, trifouiller les boutons de réglage, ou retirer le cache de l'objectif, tout ça en évitant de dépasser une barre d'alerte. Rien de bien compliqué, c'est assez sympathique et ça permet de souffler 5 minutes entre deux séances.
Niveau technique rien d'exceptionnel : des images fixes pour les dialogues, les séances photos sont en 3D simpliste, mais l'angle de vue est fixé pour chaque 'shot', du coup les mauvaises langues décriront le jeu comme "prendre une photo d'une photo", personnellement je vois ça comme une simplification obligatoire du gameplay. Quand le studio nous annonce le jeu comme étant fait intégralement par une seule personne, c'est vraiment pas mal du tout.
Le jeu est intégralement traduit en anglais, tout comme la page d'aide sur le site officiel, ce qui est assez impressionnant quand on pense que certains jeux faits par de plus gros studios ne se donnent même pas cette peine. (A moins que comme pour le génial Phoenix Drive, c'est sa seule possibilité pour être rentable ?)
Vu que le jeux est vraiment vendu sur les sites spécialisés, pas de lien vers la version complète ; mais la démo est toujours là si vous voulez voir ce que donne le premier niveau.
# Touhou Project
La Brigade du Tir
Un ensemble d'excellents danmaku réalisés par la Team Shangai Alice, soit à l'origine ZUN, un colosse vidéo-alcoolo-ludique au chara-design d'argile. Mais tout ça, et plus encore, vous le savez si vous avez lu l'excellent billet de nyoronyolo, et vu qu'il met bien l'accent sur les qualités et les origines des softs, et des points intéressants du phénomène (le fait que ce soient les créations des fans qui font évoluer la série et fournissent le background et les détails qui manquent dans les jeux, tout ça), je ne vais pas développer le sujet plus loin que : les jeux Touhou, c'est le bien. (et non, ce n'est pas parce que son billet est très bon et que ça m'a découragé d'essayer de faire mieux.)
Nyoronyolo a tout de même omis de vous inviter sur ce site, où vous trouverez tous les jeux Touhou, leurs doujins et leurs musiques/remixes, et je vous conseille de commencer par Perfect Cherry Blossom si vous voulez vous y mettre : le meilleur compromis entre la mocheté des artworks, la qualité graphique des niveaux, l'excellence des musiques et la difficulté FUCKING HARDCORE de certains. Enjoy =]
Merci d'avoir lu ça jusqu'au bout, et amusez-vous bien ^^
Par lectorat le 20 juillet 2008, 20:23 - Jeux vidéo 14 commentaires
Übel Blatt
Résumé:
La légende raconte que pour lutter contre une terrifiante armée des ténèbres, l’empereur missionna 14 vaillants guerriers à qui il confia 14 lances sacrées. 3 d'entre eux, “les glorieux guerriers sans retour”, périrent au combat. 4 autres, surnommés “les lances de la trahison”, furent exécutés par leurs compagnons pour félonie. Les 7 derniers accomplirent leur mission et furent accueillis en héros à leur retour.
Mais 20 ans plus tard, des rebelles baptisés eux aussi “les lances de la trahison” défient de nouveau l'autorité de l'empire…
Pour tout dire, Übel Blatt partait vraiment mal.
Armé de tous les préjugés accompagnant la sortie d’une nouveauté en matière d’Heroic Fantasy, décoré d’un résumé à l’intérêt très relatif et pourvu de son bishonen de héros prépubère, c’est avec un certain dédain que je m’étais emparé du tome 1 pour y jeter un simple petit œil à la limite du vitreux, persuadé de tomber sur une énième bêtise qui ne tiendrait pas la route plus de dix pages, bourré de scènes douteuses (Puisque nous parlons bien d’un seinen avec tout ce que ça implique…) et de kilolitres de sang versés à la va-vite…
Pour les scènes chaudes et l’hémoglobine, j’ai eu mon compte… mais pour le reste, c’était sans compter sur Square Enix et Etorouji Shiono…
Ce qui commence par une bête et récurrente histoire de vengeance mené par un vagabond haut comme trois pomme avec un regard sournois dégénère en conflit quasi-mondial pour la survie de l’ordre en place, jusque là, rien de bien exceptionnel si ce n’est la manière habile dont tout ce micmac est traité.
Tout d’abord, la véritable claque survient avec le héros bishonen susnommé et répondant au doux nom de Koïnzell (A mes souhaits) qui, en plus de porter sur son petit dos maigrichon un passé plutôt chargé que le lecteur n’aura pas beaucoup de mal à deviner avant tout le monde, révèlera au cours de l’histoire une autre facette que celle du jeune aventurier aux prises avec toutes les chaudasses de la région… celle d’un warrior (Et là on part sur les termes JDR) au charisme démesuré qui ne nous donne qu’une envie : celle de le voir dézinguer, découper et dessouder tous les pauvres abrutis qui n’ont pas encore compris qu’ils allaient quoi qu’ils fassent tous crever de sa petite main surarmée de pouvoirs magiques dévastateurs.
C’est peut-être l’un des principaux points faibles d’Übel Blatt, car autant Koïnzell est le plus grand roxxor de Dark Fantasy qu’on ai vu ces dernières années, autant certains personnages secondaires paraissent parfois d’une fadeur de petit pois devant lui… l’auteur ne s’y trompant pas, car pour donner un surplus de classe à un personnage, il a dernièrement trouvé une astuce très simple… le faire ressembler à Koïnzell.
Pour ce qui est des scènes chaudes inhérentes à ce genre d’œuvres, elles sont assez courantes dans les premiers tomes pour diminuer progressivement, avec à l’aveu de l’auteur : une suppression définitive à la clé… du coup, je ne sais pas si je dois être déçu ou rassuré…
Le dessin est bon, très bon même, les combats sont pour la plupart lisibles, et c’est tant mieux au vue de leur nombre, pour le reste, Ki-oon a encore une fois fait un superbe travail d’édition et sortant le tome 1 et le tome 0, faisant office de prologue, en même temps.
Malgré la fadeur dont je parlais plus haut au sujet des personnages secondaires, ce sont bien eux qui apportent une grande partie du piment au scénario. En effet, tandis que Koïnzell se démène pour accomplir sa vengeance, nombre de ses ennemis s’aperçoivent de toute la noblesse de sa tâche, qui va peu à peu au-delà du simple statut de vendetta personnelle. Les doutes s’accumulent, faut-il choisir la justice ou la loyauté ? Les retournements de veste sont nombreux, et ceux qui ne se sont pas encore produits ne devraient plus tarder, au final le nombre des alliés de Koïnzell ne cesse de s’accentuer, le rapprochant toujours plus de son but.
Si ce n’est pas LE manga de ces dernières années, Übel Blatt est sans nul doute une excellente surprise, étoffé d’un surplus d’information historiques sur le contexte du récit à le fin des tomes, prenant, émouvant par moments, l’attente avant le prochain tome en devient particulièrement énervante… mais c’est le prix à payer pour cet excellent manga (Si on exclut les 7€50 de rigueur, of course…)
Par lectorat le 20 juillet 2008, 19:42 - Japanime 11 commentaires
HOMAM V: Tribes of The East.
L’actualité des jeux vidéos stratégie/gestion est on ne peu plus morne ces derniers temps ; entre un Sim City Societies foiré, un Sup Com qui ne remue plus beaucoup (snif…) et dont la sortie sur 360 ne semble pas faire des émules, un Sins of a Solar Empire sortit uniquement aux states, un Imperieum Romanum chiant au possible et un Starcraft 2 que Blizzard fait semblant de pas savoir à quelle date il sort juste pour faire flipper la concurrence (et ça marche…), paralysant du coup la production du genre, c’est pas vraiment la joie…
Il y a bien Red Alert 3 qui sort en octobre, mais je ne m’attend pas à un jeu formidable, au vu de ce qu’a été C&C3 niveau gameplay. Certes le jeu était joli (et ce Red Alert promet également côté graphismes), mais des parties en rush de 20 minutes grand maxi qui se jouaient à un tank près, ce n’est pas vraiment ce que j’appelle de la stratégie…
D’une manière générale, j’ai beaucoup de mal à comprendre la déperdition du genre (pas assez de lolis peut-être? Ou de cul suggéré pour les pervers gravement atteints?).
J’ai d’ailleurs beaucoup de mal à également saisir cette fuite de ce qu’il reste dudit genre vers un gameplay plus rapide et nerveux (saleté de Starcraft…), alors qu’il existe encore des perles qui arrivent à mêler beaux graphismes qui-attirent-le-noob et mécanismes de jeu entraînant et surtout, ne se jouant pas en deux secondes chrono.
Comme Heroes V par exemple (ou Heroes of Might and Magic V pour les puristes, et HOMAM V pour les intimes), dont les développeurs nous ont encore pondu un add-on, Tribes of the East.
Alors quoi de neuf docteur, par rapport à la version de base et au premier add-on ? On a déjà droit à un nouveau camps, les Orcs (comme c’est original…), qui viennent compléter le panel relativement pauvre en camps de la version de base (par rapport aux autres versions du jeu, le troisième opus s’étant révélé le plus riche de ce côté-là).
Basiquement, c’est un camp de bourrin. On fonce et on cogne, et surtout, on ne réfléchit pas ; voilà à quoi pourrai se résumer leur philosophie. La capacité spéciale de ce camp réside dans l’avancement des combats ; plus le combat dure, plus les unités accumulent des points de rage, qui une fois atteint un certain niveau, augmentent leur force. En tout, trois niveaux de rage sont accessibles. Il est à noter que si une unité défend, elle perd une petite partie de ses points de rage, donc pour ne pas perdre ce bonus, vous devez foncer. Ou déplacer habilement d’une case vos unité si vous tenez à rester en défense.
Les héros Orcs, à l’instar des héros Nains, ne peuvent faire usage de la magie. A la place, ils possèdent des compétences spéciales pour lui résister, et un compétence de substitution se nommant « cris de guerres ».
A part ça ? Les nécromanciens sont les plus grands perdants avec cet add-on. Leur capacité de ranimation d’unités adverses dans leur propre camp est à présent limitée par un nombre de point se renouvellant chaque semaine, et dont le total varie en fonction du niveau des héros à votre disposition et de certains bâtiments des vos cités. Il faut avouer qu’il était bien trop facile de se constituer une armée de folie sans cette limite, malgré le fait que ces ranimations ne se limitaient qu’aux unités de bas niveau (squelette et archer squelette). A présent on ne peut plus ressusciter tout ce qui traîne, mais en revanche les nécromanciens ont gagné la capacité de pouvoir ranimer des unités de niveau équivalent à celle qu’ils auront vaincues, alors qu’ils devaient se satisfaire d’archer squelettes aux mieux dans les précédentes versions.
Pour le reste, l’ensemble des camps s’est vu attribuer un second upgrade possible pour toutes leurs unités. Il ne s’agit cependant pas d’une version supérieure au premier, mais d’une version alternative. Vous avez désormais le choix entre une unité améliorée plus forte sur un plan général, et une autre un peu moins forte mais offrant des capacités spéciales intéressantes. Il vous faudra alors faire des choix en fonctions de vos tactiques et/ou préférences. Cette petite nouveauté est la bienvenue et à un impact assez important sur le gameplay. Il est en effet possible d’obtenir différentes combinaisons de ces unités sur les champs de batailles, et à chaque formation spécifique il faudra redoubler d’ingéniosité pour la défaire. Bref, cela annonce encore de beaux jours pour le jeu.
A noter que nous avons enfin droit à un éditeur de cartes, et que la communauté n’as pas attendu plus longtemps pour s’en servir, comblant par là même le manque flagrant de ces dernières en mode scénario. Manque qui était, et est d’ailleurs dans cette version, rattrapé par les campagnes, assez longues pour vous tenir en haleine quelques dizaines d’heures.
Pour finir, sachez que cet add-on est sortit depuis un petit moment et devrait donc être disponible en version budget dans vos crèmerie. Et si vous avez déjà la version de base du jeu, ne faites pas comme moi en achetant malgré la version collector qui n'apporte strictement rien de plus. En plus, Tribes of the East est un Stand alone.
Par lectorat le 20 juillet 2008, 17:59 - Jeux vidéo 2 commentaires
Angel Densetsu
Par Tetradavid
Ce manga humoristique de YAGI Norihiro n'est pas tout jeune : il a commencé en 1992 et s'est terminé en 2000, après 15 tomes. La fin de son scantrad par manga-sketchbook m'a donné l'occasion de terminer sa lecture, et la semaine quartier libre celle d'en parler.
note 1 : cet article n'est pas 56k-friendly.
note 2 : cet article aurait pu être plus long et mieux construit si je n'étais pas tombé sur osu!.
note3 : comme remarqué dans les commentaires, j'ai oublié de précisé que YAGI Norihiro est également l'auteur de Claymore :)
Par lectorat le 20 juillet 2008, 14:26 - Général 7 commentaires
Touhou: quand le fanon devient canon
Attention: cet article contient beaucoup de liens non safe for work-productivity vers des médias divers.
Quelque part dans les années 2000.
Tandis que le monde du Jeux vidéo est encore une fois victime du pouvoir de l'argent, quelque part sur une petite île isolée, un alcoolique anonyme devient célèbre auprès d'un groupe de marginaux par ses petites créations vidéoludiques amateurs, personne ne sait comment ça a commencé, . Le phénomène commence à prendre de l'ampleur dans les basses couches réseaux du Japon pour ensuite se répandre au reste du monde à travers différents virus, noms de code: youtube pour le plus virulent ainsi que ニコニコ動画 pour les aventuriers des runes perdues. Rien ne pouvait endiguer cette épidémie, le virus changeait de formes à volonté: jeux, musiques, hentai, vidéos, etc... le Japon sera le premier à tomber, qui sera la prochaine victime ? La France n'a pas encore été durement touchée, c'est pourquoi je vais tenter de remédier à ce petit détail...
J'avais déjà écrit un petit pavé difforme pour présenter un peu la série (un de mes amis l'avait déjà fait aussi, et en plus propre), m'étant beaucoup attardé sur pas mal de détails inutiles comme la difficulté de chaque jeu ainsi qu'une partie du gameplay sans vraiment introduire l'univers ni le fandom correctement, c'est pourquoi je vais essayer de rectifier le tir dans ce billet.
Au risque de faire doublon, reprenons tout depuis le début: tout commence sur PC-98, une espèce d'ordinateurs qui fut très populaires au Japon à une époque grâce notamment à une très large gamme de jeux dont beaucoup de doujins games et de dating sims mais comme parmi tous les futurs lecteurs, il ne devrait pas y'avoir plus de 3 pélos qui ont touché à un PC-98 donc on va zapper. Nous voilà maintenant en 2002, un cercle de doujin appelé Team Shanghai Alice composé d'une seule personne connue sous le pseudonyme de ZUN, très gros alcoolique dont on peut souligner les capacités en dessin assez ... discutables, nous pond Embodiment of Scarlet Devil, un danmaku ma foi fort sympathique même si l'absence d'une hitbox visible se fait beaucoup ressentir, de belles musiques malgré une qualité qui peut faire très midi, des personnages qui font partie à l'heure actuelle des plus populaires de toute la franchise, EoSD marque le début du phénomème mais qui ne sort pas beaucoup du Japon.
Il faudra quand même attendre quelques années avant de pouvoir constater un vrai boom de la franchise en dehors de l'archipel nipponne, les divers remix des musiques dont ceux très populaires de IOSYS y contribueront fortement. Bien que la série était déjà populaire avant la venue de ces derniers et la popularité gcroissante de Nico Nico Douga, ces deux éléments ont été les principaux moteurs de la propagation du phénomène surtout en dehors du Japon. Certains ne le savent pas mais ils déjà du être exposé à du Touhou au moins une fois à travers certains liens youtube ou par divers flashs, le plus connu d'entre eux doit être sans conteste Marisa Stole the Precious Thing de IOSYS, d'ailleurs on va le mettre pour la route :
Ce qui fait la force de Touhou est sans aucun doute la fanbase qui non seulement est très large mais en plus très créative, il suffit de voir le nombre de cercles de doujins dédiés à Touhou inscrits pour le comiket précédent (plus de 600) ainsi que les problèmes de surpopulation au dernier Reitaisai, oui il y'a des conventions uniquement dédiées à la franchise. N'oublions pas de rappeler qu'à l'origine les jeux Touhou étaient et sont toujours d'ailleurs des doujin games et c'est ce statut particulier qui permettra aux différents fans de reprendre l'univers de Gensokyo et d'y ajouter leur petite contribution personnelle surtout au niveau des personnages qui contrairement à pas mal de shmup possède un caractère et un background bien qu'assez réduit dans les jeux. C'est à travers toutes les contributions des fans que les différents personnages gagnent en personnalité, bien que du coup leur caractère peut différer ou être présenté de façon différente par rapport aux jeux, e.g: Alice Margatroid décrite comme assez froide et distante est souvent représentée comme fragile et souvent en quête d'affection, ce sera cette version d'Alice que la grande majorité des fans retiendront, un des exemples où le fanon (fan canon) prend le pas sur le canon tandis que d'autres tels que Advent Cirno ou Cho-Marisa restent dans le cadre de la pure fantaisie.
Je ne saurais que trop vous conseiller de jeter un coup d'oeil aux doujins et aux quelques collaborations de ZUN avec divers dessinateurs, gensokyo.org en possède un bon nombre qui ont été traduits en anglais; pour les hentai vous pouvez toujours jeter à coup d'oeil par ici ou par là -voire ici pour les traductions-. Comme on peut s'y attendre, le yuri a la part belle dans ces doujins, le fait qu'il n'y ait que trois personnages masculins n'y est certainement pas étranger (le premier étant une tortue, le second un fantôme et le troisième n'est ni plus ni moins qu Rinnosuke, le seul qu'on retient en général d'ailleurs). Les différents "couples" sont le fruit de l'imagination des fans, les relations entre les différents personnages n'étant que brièvement présentées dans les jeux et les quelques mangas considérés comme "officiels" le canon reste assez flou sur pas mal de points, les membres de la communauté peuvent donc laisser libre cours à leur imagination bien que la majorité s'accorde sur le fait que certains "pairings" sont plus "canon/fanon" que d'autres.
Tandis que certains personnages se voient attribuer de doux surnoms tels que Chuugoku/China pour Hong Meiling, ⑨ pour Cirno qui devient même un synonyme de baka (idiot), Hourai NEET pour Kaguya et j'en passe... des fans iront même jusqu'à tenter d'introduire de nouveaux personnages dans le monde de Gensokyo, en voici quelques uns parmi toute la masse:
- Meimu Yakumo: Une youkai recueillie par Yukari qui, trouvant qu'elle ressemblait pas mal à Reimu, lui a donné des habits de miko noirs juste pour ennuyer notre chère miko toujours en quête de donations et lui a appris quelques sorts d'exorcisme et de contrôle des frontières.
- Ronald McDonald: le fameux clown mascotte d'une chaine de restaurants graissetronomiques a eu son moment de gloire par sa reprise d'U.N. Owen Was Her? qui a tellement marqué les esprits nippons qu'ils l'intégrèrent dans pas mal de doujins et principalement des vidéos comme celle-ci où il devient l'un des personnages les plus puissants de Gensokyo.
- Les yukkuris: à l'origine un meme sur 2ch où un utilisateur s'est foiré en tentant de faire un portrait de Reimu et Marisa avec son clavier, un autre anonyme ayant trouvé cet échec amusant en fera un dessin. Depuis les yukkuris se sont multipliés, envahissant les doujins et les vidéos tout en répétant leur devise "Yukkuri shiteitte ne!". Le phénomeme ayant pris une certaine ampleur, rien qu'à voir la page dédiée sur le wiki, certaines personnes se sont amusé à imaginer toutes leurs caractéristiques et leur mode de vie, ils deviennent du coup une espèce à part entière dans le fanon.
Parler de Touhou sans parler des musiques serait un crime, d'ailleurs un de nos compatriotes a fait un billet assez intéressant à ce sujet sur son blog -en anglais-, à lire rien que pour récuperer le mp3 du medley de 25 minutes. Pour ne pas trop répeter ce qui a été dit dans ce billet je ne peux que vous conseiller de commencer à écouter les musiques officielles des jeux pour connaitre les différents airs avant de vous attaquer aux divers doujin albums. Dans toute la constellation des cercles dédiés à la musique je rajouterais éventuellement, en plus des noms cités dans le billet linké, Alstroemeria Records, Sound Holic, Everfades, Cool&Create à qui on doit entre autre Tasukete ERINNNNNN qu'on retrouve dans le Kumikyoku, TAMusic, déjà connus pour nous avoir offert une très belle cover d'Okkusenman pour débuter. Le nombre impressionant d'albums disponibles ainsi que leur très grande diversité dans les styles conviendra à quasiment tous les goûts.
Quelques exemples des musiques en vrac:
- Phantom Ensemble le thème des soeurs Prismriver, à ce jour l'une de mes musiques préférées
- Necrofantasia le thème de Yukari Yakumo, l'un des plus populaires dans les remix dont font partie Yukarin Fantasia complètement lobotomisant ainsi que la superbe cover de Liverne. Quelques chansons de IOSYS sont aussi à écouter comme Border of Death et le plus récent et parodique Border of Extasy.
- U.N. Owen was her? le thème de Flandre Scarlet qui fait référence au livre d'Agatha Christie, aussi très populaire, le remix avec Ronald McDonald (linké plus haut) est certainement l'un des plus connu, en voilà d'ailleurs quelques autres dont une version par TAMusic ou même une version juste au piano.
- Locked Girl le thème de Patchouli qui dispose d'un bon remix dans Scarlet Weather Rhapsody ainsi que d'une cover par Cool&Create
Bien qu'il s'agisse surtout de shmups, quelques collaborations entre ZUN et Tasogare Frontier, à qui ont doit déjà l'excellent Eternal Fighter Zero et Higurashi Daybreak, doneront naissance à Immaterial and Missing Power et Scarlet Weather Rhapsody deux jeux de combats avec un gameplay qui redonne ce sentiment de danmaku des jeux dont ils sont issus.
Commençons par IaMP qui n'a jamais réellement eu beaucoup d'attention, surtout en dehors de l'archipel, et ce en grande partie à cause de sa prise en main très dure à appréhender pour le débutant ainsi que sa courbe d'apprentissage qui en découragera plus d'un, de plus un jeu avec juste des chibi lolitas c'est pas ce qui attire les vétérans des jeux de combat. Bénéficiant d'un gameplay riche et de méchaniques très solides ainsi que personnages proposant aux joueurs une grande diversité dans la façon de jouer, il reste l'un des meilleurs doujins fighters disponibles à l'heure actuelle; des tournois continuent d'être régulièrement organisés au Japon dont notamment le Tohgeki qui rien à voir avec le Tougeki (aka SBO ou Arcadia Cup) en dehors du jeu de mot sur le nom. Si ça en intéresse certains, un très bon tutorial a été fait par la communauté de Mizuumi.
Son confrère SWR, lui bénéficie d'une courbe d'apprentissage beaucoup plus beginner-friendly couplée à un netplay disponible de façon native l'ont rendu beaucoup plus populaire qu'IaMP. Par contre comparé à son prédécesseur, SWR souffre de pas mal de défauts dans son gameplay ce qui rebutera la majorité des amateurs de jeux de combats qui préféreront retourner sur IaMP. Néanmoins sa prise en main beaucoup plus aisée pour ceux qui n'ont pas l'habitude de ce genre de jeux en fait un jeu très fun à jouer entre amis pour peu qu'on ne soit pas choqué et dégouté par certains choix de gameplay questionnables.
Beaucoup d'autres doujins games dérivés de la série sont disponibles, certains d'entre eux sont bien sur des shmups, à ce propos un programme appelé Touhou Danmakufu permet de créer relativement rapidement et simplement des danmaku comme par exemple le très décent Concealed the Conclusion. Parmi tous les autres jeux on peut citer entre autre PatchCon Defend the Library! un petit jeu de stratégie mignon et d'assez bonne qualité produit par nos amis de Tasofro (encore eux!) -assez court cela dit-, les Touhou Soccer avec un gameplay réminiscent des Captain Tsubasa sur NES et SNES, des clones de Mario comme Super Marisa Land (encore une fois de Tasofro) et Super Marisa World ou de Megaman comme MegaMari (Tasofro encore et toujours) en passant par des jeux de puzzle dont Touhou Battle Gaiden un clone de Tetris pouvant se jouer à deux voire même Sengoku Gensokyo qui est basé sur le très bon Sengoku Rance d'Alicesoft ainsi que plein d'autres que je pourrais pas citer ou alors j'y serai encore la semaine prochaine. Cela dit on peut quand même parler de l'infâme poisson d'avril de cette année, un RPG basé sur le gameplay de Valkyrie Profile qui n'a pas manqué de provoquer de grands cris de désespoir à travers toute la communauté ce jour fatidique.
Enfin bref, l'univers de Touhou est vaste et dispose même de ses propres memes et ses in-jokes tels que les différents Touhou M-1 qui sont de savoureux clips d'humour manzai avec nos héroines, et ce grâce en grande partie à une communauté de fans très créatifs et productifs, quelques mangas considérés comme "officiels" dont Silent Sinner in Blue sont disponibles à l'heure actuelle mis aucun anime à l'horizon. Une adaptation en anime est à la fois un sujet de discorde et le rêve absolu des fans mais ZUN lui même a avoué qu'un anime basé sur la franchise avait peu de chances de voir le jour pour plusieurs raisons, principalement à cause de la masse de travail que cela représenterait pour une personne ainsi que des complications possibles liées aux copyrights s'il faisait appel à un studio, de plus n'oublions pas qu'il est perfectionniste. Cela n'empêche pas les fans de continuer à rêver, SOUND HOLIC aura même fait une vidéo de près d'une heure tandis que d'autres ont récemment mis en ligne un clip assez court mais avec une animation d'assez bonne facture:
A l'heure actuelle, Touhou est l'une des franchises qui aura le plus fait parlé d'elle ces dernières années dans ce micro-univers dédié au Japon, Zun quant à lui continue de produire ses jeux seuls et à les vendre pour 1000 yens (300 pour les démos) tout pile lors des conventions tout en buvant des bières. Tant qu'il y'aura des jeux pour étendre le monde de Gensokyo et des fans pour approfondir ces apports, le phénomène n'est pas encore près de s'éteindre, rien qu'à voir à quel point le Reitaisai -déjà avoir sa propre convention dédié est quelque chose d'assez exceptionnel en soi- est surpeuplé et le nombre de nouveaux médias disponibles chaque jour (et ma perte en productivité niveau boulot).
Qui sait quand l'enthousiasme retombera, pour l'instant tout est bien parti pour continuer encore longtemps, Gensokyo est un monde plein de possibilités et le statut de doujin permet à toute les membres de la communauté d'apporter leur contribution, d'ailleurs une partie d'entre eux n'a jamais touché aux jeux dont tout est parti.
En gros si vous aimez :
- Le yuri
- Les shmups/danmaku
- Les DFC -même si dans pas mal de doujins les personnages peuvent sembler ... en très bonne santé-
- Les musiques
- Les vidéos et flash débiles/lobotomisants Les jeux de combat
- Les vampires, les lapins, les maids, les miko, les magiciennes, etc etc
- Lire des doujins
- Trainer sur youtube ou nicovideo
- La bière
- Les memes
- Les ... aisselles ?
Touhou est fait pour vous, plus qu'une religion, Touhou est un mode de vie.
Petit mot de la fin: je suis étonné d'avoir plusieurs Go (environ 7-8) de doujinshis Touhou sur le disque dur dédié (500 Go dont plus de la moitié est déjà rempli par des musiques) surtout que la grande majorité d'entre eux ne sont même pas hentai !
Liens utiles:
- Le wiki Touhou, tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Touhou sans jamais oser le demander.
- Le board de Pooshlmer, une imageboard très active
- Les wikis de Mizuumi pour Scarlet Weather Rhapsody et Immaterial and Missing Power, de très bonnes sources d'informations pour qui veut s'y essayer
- Walfas, blog très connu pour ses flashs
- Doujinstyle qui propose quelques trucs à télécharger
- U.N. Owen was her? un très bon blog dédié à Touhou
- Shrinemaiden.org une communauté très active
Par lectorat le 20 juillet 2008, 02:10 - Général 26 commentaires
19 juillet 2008
Ini-chiaru dit quoi!? Non Initial D!!!
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Initial D, c'est un peu comme Action Man 'ya des bagnoles, et des gonzesses. Mais la où la série se démarque c'est que les gonzesses sont moches et les bagnoles sont modélisées en CG toute droit sortie de Ridge Racer...
Initial D, c'est l'histoire de Fujiwara Takumi, jeune réveur qui livre du tofu pour son père au volant de la 86 ( dite Hachi-Roku en jap' ). Mais les livraisons c'est pas assez excitant pour un mangasse japonais ( parait que 'ya des mangasses francais maintenant... ), donc Takumi doit le faire en driftant comme un malade dans le mont Akina ...vous voyez c'est vachement plus intéressant, hein?
Un jour, il dépasse une voiture de Jacky et fache ainsi son conducteur, Keisuke Takahashi, qui demandera revanche suite à cette défaite. Takumi relèvera t-il le défi?
...Non il préfère sûrement se la couler douce au long des 4 saisons d'Initial D en fait.
C'est donc la vie découpée entre les journées ou il travaille à la station service et les soirée a faire le Jacky dans la descente d'Akina que l'on va suivre dans l'anime. Oui, vous l'avez deviné, Takumi ne connait rien aux voitures.
"Bref, si vous aimez les voitures, les courses sauvages et autres défis à moteur, cette série est pour vous." Animeka
Mon dieu que c'est bien résumé. :D
Initial D est une série qui est entrée dans le folklore Japonais avec différentes références dans School Rumble, Lucky Star ou même FLCL. Oui, les japonais aiment Initial D. La question est pourquoi? Moi personnellement j'ai ma réponse à la question.
Tout d'abord, on est forcé de constater que chara-design est moche. Tres moche. Mais au combien attachant de surcroit. Oh oui, je compte même plus le nombre de fois où j'ai voulu embrasser Itsuki ( le prétendu pote à Takumi ) a cause des tronches qu'il tire... Oui c'est adorable. Bizzarrement le chara-design au fil des saisons est de plus en plus moche, le trait est de moins en moins arrondi et de plus en plus net. Normalement vous me direz que ces genre d'évolution est méliorative mais là on parle du design d'Initial D. Les persos ont des sales gueules, si en plus leurs cernes sont plus grosses, leurs visages plus carrés, leurs couleurs moins chaleureuses, ou encore si ils doivent changer de couleurs ( les persos ne se changent pas dans les mangasses c'est connu ) ... Non ça ne les rendra certainement plus pas adorables. J'aime bien les mimiques des persos, moi.
Oui Takumi a un t-shirt blanc et un jean bleu, ça relève presque du fan service pourtant ils ont osé changer d'habits à Takumi dans le Fourth Stage...
Puis 'ya l'opening, du bon hip-hop yéyé... non pitié dites moi que je rêve :( . Oui, en fait ce n'est qu'une facade! L'OST c'est du bon gros Eurobeat.
Euro- quoi o____O !?
Bon je vous explique: Prenez du rap, rajoutez de la techno et mettez le tout sous fond de J-Pop... Alléchant hein?
Les musiques de l'animé sont mémorables c'est clair, c'est vraiment ce qui fait l'ambiance des courses d'Initial D. Elle collent extrêmement bien a l'action.
* Night of fireeeee *
Oh! Parlons des courses [ risque des spoils, vous êtes prévenus ].
Ces courses de fous furieux sont réellement intenses, les voitures ont vachement plus de charisme que les persos ( d'ailleurs remarquez dans les fansites d'Initial D que les voitures sont vachement plus présentées en detail que les persos... ) et en fait c'est un peu un combat de celui qui a la plus grosse... cylindrée.
Mais evidemment un shônen ne serait rien sans ces super-tricks-de-la-mort-qui-tue, de ce fait la 86 est capable de sauter des ramparts, ou d'être boostée par un caniveau. Vive les mangasses.
Le tout est est servi par un scénar' beton. C'est simple, chaque adversaire va défier la 86 ( notez bien qu'il défient la 86 et pas Takumi ) à la station service parce que la 86 ( et pas Takumi ) elle over roxxe du boudin. Takumi aura la flemme de relever ces défis mais sauf qu'il est forcé d'obéir à la loi du nekketsu parce que Initial D c'est trop la perrav' comme Shônen. Entre deux courses Takumi, enfin la 86 est invitée par Natsuki Mogi à sortir avec elle ( Faut dire qu'elle aime les grosses cylindrées... la cochonne ). Ouais parce que les gars ( enfin les voitures ) sont virils dans Initial D.
La première fois que je suis tombé sur Initial D ils diffusaient l'avant dernier épisode de la saison, me suis dit qu'il se passe plein de truc dans cet animé. Sauf qu'en fait dans l'épisode en question, ils résument toute la saison.
Mais non, je ne critique pas la série, dont je suis d'ailleurs fan. Maintenant prenez le chara-design, l'Eurobeat, les caniveaux, un scenar' archi bateau et une CG a faire pâlir Adibou: Ca y est vous êtes devant Initial D! C'est simple on peut pas résister à ce cocktail, c'est nanar à un point qu'on est instantanément absorbé dans la série. En fait le manga est nul, mais l'adaptation en animé en géniale. Ceci dit je n'ai encore maté le Fourth Stage, déja parce que Kaze ne l'a pas encore édité, puis parce que mon dernier achat de manga date de Mai. Lachez vos pièces en passant.
Initial D est un bijou de nanardise, tellement nanar que l'on ne peut même pas le critiquer objectivement. Moi aussi j'ai l'air d'un de ces cons en coin de virage devant Initial D du coup. Les Japonais aussi doivent être pareils, je ne vois pas d'autre explication, parce que le manga il est nul. Mais qu'il est bien l'animé.
Par lectorat le 19 juillet 2008, 20:59 - Japanime 21 commentaires
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