Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche


Laurie-Anne Bourdain lit ce site tous les jours

23 décembre 2007

(Team Fortress 2) : Le medic

Par Valderonce

La bannière n'a Team Fortress 2

"All heal the teammate !"
La bannière n'a Team Fortress 2
<%image(20071223-medic.gif|192|290|We are healers, we are Medics !)%>

Qu'est-ce que le Medic ?

Comme vous pouvez vous en douter, le medic est le médecin du jeu, s'occupant davantage de soigner ses alliés que de foncer sur le front avec son pistolet à seringues.
C'est un docteur en médecine venu tout droit des contrées germaniques, réputées pour ses érudits en biologie humaine dont le fameux Docteur Victor Frankenstein fait partit.
Il est doté d'un caractère belliqueux, contrairement à ses collègues, qui lui fit suivre des cours de tir et des études d'armements qui lui permirent de créer, en y mélant ses connaissances en médecine, le Medigun et le lance-seringues.
Avant chaque bataille, il se gave de médicaments en tout genre qui permet au medic de récupérer sa vie petit à petit au fil du temps.

Quels sont ses amis ?

Tout ses alliés sont ses amis, mais ses meilleurs amis sont le Pyro et le Soldier. Et il est pacsé avec le heavy weapon guy.
Mais il faut faire attention, il y a souvent de profonds enfoirés dans vos amis, alors n'hésitez pas pas à tirer sur tout le monde avant des les soigner, vos véritables amis ne diront rien, serrant les dents sous la douleur de vos injections fatales, vous pourrez alors les soigner. S'ils hurlent sous la douleur, ce sont des profonds enfoirés qui se font passer pour votre ami. Ils répondent au doux nom de Spy, et ne méritent que d'être cuit à la broche par votre meilleur ami à la voix enroué.

Récapitulatif des amis :
Le heavy : Quand le mariage homosexuel sera légal, il ne fait aucun doute que vous en profiterez... si vous êtes encore vivant. Vous êtes toujours ensemble, lui devant à canarder, vous derrière à soigner.
Le Pyro : Vous vous connaissez depuis tout petit, mais il a préféré choisir les études culinaires avec Maïté Au lieu de la fac de médecine. Vous avez eu du mal à le reconnaître sur le champ de bataille (seul son zozotement vous a permit de savoir que c'était lui), mais vous devez admettre qu'il reste un bon pote. Vous irez boire de l'alcool après la bataille, car l'alcool est un très bon désinffectant. Il vous fera goûter de sa cuisine. Il aime bien les coins sombres qu'il aime éclairer quand l'ennemi est là.
Le Medic : Vous avez cru voir en lui votre Doppëlganger, mais ce n'était pas le cas. Il a suivit des études dans une fac rivale à la votre, ce qui en résulte une rivalitée certaine sur le champ de bataille, chacun essayant de voler les amis de l'autre. Cependant, si vous laissez votre rivalité sur le côté un moment et faites équipe, tout le monde sera content. Surtout le Heavy qui a toujours révé d'un ménage à trois.
Le Scout : « Medic c'mon doc ' ! » * heal * « Thanks doc' ! » * scout disparu de votre champ de vision* Peu de contact avec lui, c'est un rapide.
Le Soldier : Il vous aime bien, mais à tendances à vous laisser en plan, surtout sur 2Fort où il vous lance une roquette sur la tête pour sauter au premier étage. Un peu sado-maso sur les bords, mais sympa. Demande à recharger son gros tube de temps en temps.
Le Spy : Fana de mode, il porte en permance sur lui une tenue classe (Costard de chez Mavarotti) qui entrave ses mouvements. Il aime beaucoup la nouvelle cagoule Diaur en soie, couleur unique. Très confortable. Malgrès que ce soit un ami, il a tendance à rester invisible à vos yeux. .
Le Demoman : Un alcoolique, à ne jamais emmener quelque part... mais très drôle. Il a besoin de vous selon les moments, souvent pour faire exploser une tourelle mal placée. Le reste du temps, il a assez d'alcool dans le sang pour la jouer solo.
Le Sniper : Adore le tir au pigeon. Ou le tir au scout sur les toits de 2Forts. Mais il n'a pas besoin de vous. Cependant, il aime bien vous montrer son talent à la danse country, surtout que vous êtes son seul spectateur .
L'Ingénieur : Mechaphile. Mecanophile. Scienfictionophile. Il aime ses machines plus que tout, et hurlera à la mort si une d'elle meurt (« Sentry down ! »). Dès qu'il vous a connu, il s'est mit en tête de vous remplacer par une machine, heureusement, son projet ne soigne pas encore très bien, et a quelques problèmes de déplacements. Il n'arrive pas à intégrer votre ingénieux principe de l'übercharge à sa machine.

Et ses pires ennemis ?

le medic deteste a peu près tout qui ne porte pas sa couleur. Tout est possible de lui faire beaucoup bobo. Mais ses pires ennemis sont le Spy et Sniper. Le premier est un profond enfoiré (voir paragraphe sur les amis ci-dessus), le second est une enflure totale qui vous loge une balle en pleine tête alors que vous faisiez que soigner un Heavy.

Récapitulatif des ennemis :

Le Spy : Surveillez votre dos, vos amis, le pont, le coin sombre, la sentry gun alliée, le dispenser, la trainée de couleur au sol, l'allié qui se fait heal par un medic ennemi, enfin tout quoi. Il est partout et nulle part, et aime planter par derrière.
Le Pyro : Vous êtes un met de choix pour cet étrange être. Il aime votre chair surchargé de medicaments divers. Et il vous aime par dessus tout calciné ! Si vous en voyez un qui vous a vu, et si votre allié ne s'en charge pas... RUN FOR YOUR LIFE !
Le Sniper : [...] et paf en pleine tête. Essayez d'être à couvert et de beaucoup bouger.
Le heavy : Avec son gros calibre, il a tôt fait de vous descendre. Il serait prudent d'utiliser la méthode du bouclier humain décrite plus bas.
Le Demoman : Normalement, vous faites attention à tout à cause du medic. Mais faites vous attention à vos pieds ? Maintenant, faites attention, les grenades qui explosent sont souvent sous vos pieds... et il est facile de les éviter. Pareil pour les stickys.
Le Scout : arrive de partout très rapidement. Ne le laisser pas s'approcher, il est plus puissant au contact, essayez de trouver une cachette rapidement, ou prévenez votre coéquipier, qui ne laissera pas un rat tuer sa réserve de vie.
L'ingénieur : Vous ne le verrez pas vraiment, mais vous verrez sa tourelle... enfin pas longtemps. Généralement, vous aurez quelqu'un avec vous quand vous en rencontrerez, donc laissez quelqu'un s'en charger.
Le Soldier : Pareil qu'avec le heavy : Bouclier humain... Ou alors évitez ses roquettes.
Le Medic: C'est partit pour un combat de coqs : Choisissez votre arme : Lance-seringues ou la scie à os. Priez pour que l'autre reste sur son medigun et foncez (ou tirez).



Le medic, le slalom et le bouclier humain.

Medic'boyz bien. Mais Medic'boyz pas solide. Medic'boyz bouger beaucoup si Medic'boyz vouloir soigner Boyz.

Et oui, les medics de Team Fortress 2 ne sont pas dotés d'armures aussi grosse et solides que celles de leur homologue féminin de Starcraft, pour compenser cela, il faut donc apprendre à bouger.
En effet, rester fixe n'aide pas si une roquette arrive droit sur nous. Donc, n'hésitez pas à zigzaguer en courant, à regarder sur les côtés, derrière soi -il ne faut pas oublier que le medigun reste linké au joueur une fois enclenché, jusqu'à ce qu'on l'arrête où qu'il s'éloigne trop de nous, donc n'hésitez pas à regardez partout, ça peut prévenir d'un embrasement par un pyro qui attaquerait par derrière, d'une grenade perdue (ou pas),...-

Je parlais du Medigun qui reste "linké au joueur ciblé par lui... Et bien, le link reste, même lors d'un virage dans un couloir, dans une certaine mesure. Cela permet de rester à couvert pendant que l'autre se fait truffer de pruneau.
<%image(20071223-Medic-coinmedigun.PNG|307|245|Le truc qui fait bip est une Sentry Gun, le truc qui fait "Incoming" un Heavy.)%>

Medic'Boyz bien. Mais si Medic'Boyz vouloir rester vivant, Medic'Boyz placer Boyz devant pour pas prendre balles gros flingues.

Le but du medic est de rester Derrière son ami. S'en servant comme bouclier humain. Les heavys sont parfait pour ce rôle, cachant la totalité du medic derrière sa masse de grais... muscles. mais certaines autres classes moins, le pyro, le soldier et le demoman offre une certaine protection, mais moins que le Heavy. D'autres ne protège pas du tout, comme le scout, le sniper, un autre medic, l'ingénieur et le spy. Généralement, pas besoin de rester derrière eux, sauf cas extrème ou incompétence (si on choisit de heal un spy quand on le choix entre le heavy et le spy... à part si le spy est cassé de partout).



Je suis tout seul ! je faiiiis quoi ?

Si un medic se retrouve tout seul, pas la peine de jouer les héros et foncer sur l'ennemi, ça ne marche que rarement. Essayez de trouver un coéquipier à soigner, et au pire, essayez de retourner au spawn de votre équipe.
Cependant si vous voyez qu'un point de capture est sur le point d'être capturé par l'ennemi, et qu'il n'y a que vous dans les environs, FONCEZ ! Même si vous n'arrivez pas à protéger le point, si vous avez tué un ennemi ou stoppé la capture quelques secondes, c'est toujours ça de pris !



L'abus de drogues rend invicible.


C'est bien connu.
dans son intelligence suprême, le medic à ajouté à son medigun un petit gadget : L'übercharge, qui comme son nom l'indique rend über.
NON ! Ça ne rend pas Hubert !
Cette option se met en charge quand le medigun est activé, prèlevant une faible partie de la charge envoyé au blessé pour la stocker quelque part, une fois un certain montant de vie stocké, il peut être relaché violemment sur un allié et soi même, offrant la protection la plus efficace jamais connu à ce jour.
Le système marchant au pourcentage, la jauge d'übercharge se remplit plus rapidement si le medic fait son boulot : c'est à dire soigner des blessés.
L'übercharge accorde 10 secondes d'invincibilité au medic et à son patient, ce qui est toujours sympa, surtout lors d'un rush ou d'une défense désespéré.
Si l'übercharge est activé et venait à ne plus servir dans l'instant, il est possible de la mettre sur pause en switchant d'arme. Pour la réactiver, il suffit de revenir sur le medigun.
/!\ ON NE PEUT PAS SOIGNER AVEC L'ÜBERCHARGE EN PAUSE, c'est logique, nous sommes sur une autre arme./!\

Oh, et un petit détail : si vous n'avez pas de coéquipier dans le besoin, foncez vers les petites bulles avec une croix rouge, elle indique l'endroit où se trouve les gars qu'ont besoin d'vos talents.


Vous voilà partit pour être premier du classement de votre équipe !

Mise à jour du 24 décembre :

Suite aux commentaires, il me faut changer quelques points :
Premièrement : Avec la mise à jour du 20 décembre, plus possible de mettre en pause l'übercharge. Mince.
Secondement (yay néologisme): Quand utiliser l'übercharge ?
Faites pas le crétin, utilisez-le seulement quand il y en a besoin :
Quand vous vous faites canarder, quand votre coéquipier perd plus de vie qu'il n'en gagne grâce à vos soins. Dans une zone dangereuse (Point de capture proche du spawn ennemi, ou zone avec tourelle(s)).
Si votre coéquipier n'a pas entendu le fameux cri "I AM FULL IN CHARGE !" et ne fonce pas comme un bourrin dans les zones où l'übercharge serait utile, rappelez-le lui par message écrit ou vocal, ou changez de partenaire. Par contre, ne changez pas de copain si celui-ci fonce dans le tas, c'est très mal vu.


Voilà ! Enjoy et Joyeux noël !

Principe du (X)HTML

Article écrit par Keul


Moi qui pensais ne pas trouver d'article pour cette session quartier libre, c'est réglé, le raton peut retourner se reposer.
Surtout que :

(source svg) | (attention, 4 zones cliquables dans l'image)

(X)HTML

Je vais d'abord vous parler de l'HTML. Pour ceux qui savent ce que signifie h2{color:gray;}, passez à la suite.

Il y en a qui trouvent ça difficile, complexe, et pourtant, je pense qu'on ne peut faire plus simple. Le BBCode est une pâle copie non standardisée, et le code Wiki deviens une horreur pour des trucs avancés.
En fait, il suffit de comprendre 3 aspect:

  1. Le premier est de modifier la propriété d'un texte en l'encadrant de balises:
    Pour mettre un mot en gras par exemple, on le mettra entre les balises <strong> et </strong>, le / signifiant la fermeture de balise.
  2. Le second sers à insérer un élément, on fait de même à une différence près:
    Pour inserer une barre horizontale et un retour à la ligne, on utilisera: <hr />, <br />.
    Le / signifiant la fermeture de balise se place donc directement dans la balise d'ouverture, il n'y a donc pas de balise fermante pour ces éléments.
  3. Le troisième aspect est les attributs que l'on peut donner à une balise:
    Pour un lien, <a>cliquable</a>, on ajoutera donc l'attribut "href" qui sers à indiquer l'adresse où ira le visiteur s'il clique sur le CONTENU situé entre les balises <a>.
    <a href="http://raton-laveur.net">TOUT ce qui est mis ici, images, titres, texte, mènera donc sur le site raton-laveur.net</a> mais plus ici. Les images utiliseront l'attribut src pour indiquer où la télécharger.

Voilà, ces trois aspects représentent la base du (X)HTML, il ne vous reste plus qu'a apprendre petit à petit la liste des balises, et quelques spécificités comme les caractères spéciaux.

Si vous voulez faire plus que poster de simples articles, en changeant la décoration par des feuilles de style, que l'on appellera CSS. On pourra aussi ajouter avec modération, du JavaScript pour ajouter de l'interactivité.

Je n'irai pas plus loin dans cet article, vu que je voulais seulement vous montrer les bases, et qu'il y a des sites très bien faits sur ce sujet, même pour le PHP.

WEB 0.2

Et le web Deuxpointzéro dans tout ça?
Techniquement, ça ne veux rien dire, c'est juste du marketing 2.0, de la mode 2.0, la philosophie du big brother 1984 avec facebook 2.0, AJAX 2.0 (très efficace contre les saletées), l'intelligence collective 2.0, le spam 2.0, le Hentai 2.0, le hack 2.0, Team Fortress 2.0...
Et si vous cherchez encore la signification profonde, utilisez google, vous verrez que vous n'êtes pas le seul à chercher la connerie 2.0.

Vous pouvez maintenant reposer votre cerveau sur la table et retourner à Team Fortress 2, Featuring maxobiwan qui prends les ennemis par derrière, même en ingé!, les médics qui tapent sur les autres à la seringue, les pyros qui pensent qu'à manger, les ingés qui tournent les téléporteurs vers votre base pour que vous ailliez vaillamment l'attaquer...

22 décembre 2007

Castlevania: Portrait of Ruin

Par Nataka.

Castlevania: Portrait of Ruin (NDS)

Désolé, ce n'est pas un article sur le dernier MMO, ou sur un H-Game d'Illusion, mais un jeu sur console (portable), mais qui mérite vraiment sa place car comme vous le verrez à la lecture de l'article, c'est un jeu formidable.



Castlevania, ce nom évoque des souvenirs chez de nombreux gamers. Il s'agit une longue série de jeux éditées par Konami, qui a maintenant plus de 20 ans et comprend plus de 20 opus sur NES, SNES, Gameboy, Playstation, GBA...
Castlevania est donc une série dont la renommée n'est plus à faire. Néanmoins, je n'ai jamais réellement joué à un de ces jeux (sauf sur Gameboy, mais je ne connaissais pas tellement la série à l'époque, et je mourais dès le début du jeu...Ah tiens, faudrait que je retrouve la cartouche GB un de ces jours pour retenter l'expérience).


Mais parlons du dernier opus sorti: Castlevania: Portrait of Ruin (Gallery of Labyrinth en VO). On incarne non pas un (comme dans la tradition) mais deux personnages (que l'on pourra faire switcher quand bon nous semble en pressant juste un simple bouton): Jonathan Morris, fils d'un chasseur de vampire qui perdit la vie face à Dracula (c'est ce qu'on nous dit) et Charlotte Aulin, une jeune magicienne hors-paire. Le jeu se déroule durant la Seconde Guerre Mondiale, dans la désormais légendaire Transylvanie: le château de Dracula fait son come-back, et il y réside bien des surprises.

Les tableaux qui font office de stages

En ce qui concerne le gameplay, il s'agit toujours d'un jeu 2D (de la bonne 2D!) mêlant habilement un peu de plate-forme, un soupçon de réflexion, beaucoup d'action. On pénètre dès le début du jeu dans le château du vampire que l'on doit explorer, mais il y a une nouveauté: les tableaux. En fait, on doit entrer des ces tableaux disséminés ça-et-là dans la demeure, pour pouvoir affaiblir celui qui s'est installé au château, Brauner, accessoirement vampire et peintre (c'est lui qui a peint ces tableaux). On alterne alors en exploration du château en lui-même et exploration des "dongeons" que représente chaque tableau. Cette idée de mini-mondes à explorer est une réussite: elle permet de changer radicalement d'environnements (désert, ville européenne, temple mystérieux dans la forêt, cirque...) et de changer le level-design, ce qui est une bonne chose. Le principe est un peu similaire à celui des Metroid dans la mesure où l'on apprend de nouvelles capacités au fur et à mesure du jeu, ce qui permet d'aller dans des lieux auparavant inaccessibles. On prend un véritable plaisir à se balader dans les niveaux; les points de sauvegarde et de warp sont plutôt bien positionnés en général, bien qu'il faut (faille?) d'abord les trouver sans mourir avant...). De rares énigmes nous demanderont d'utiliser les 2 personnages pour avancer (pousser un truc à 2, sauter sur un truc puis switcher de personnage...), ce qui n'est pas pour déplaire. Chose que j'ai failli oublier, il y a des quêtes annexes à réaliser en allant voir un mec, consistant à ramener un objet, faire une technique spéciale ou revenir voir le mec avec un statut anormal, ou avoir 777 à la fin de la somme d'argent...cela permet d'avoir des objets bonus, des capacités...Parfois très ardues (je reste bloqué à pleins de quêtes), ces missions annexes sont un bon moyen de rallonger la durée de vie déjà consistante et de nous motiver à explorer les zones à la recherche d'items.

Au départ, on est surpris par la simplicité du gameplay (donner un coup, sauter, glisser), mais avec la progression, on acquiert petit à petit de nouvelles armes, de nouvelles capacités (armes secondaires ou sorts) et on devient super puissant. A cela s'ajoutent les techniques spéciales que l'on utilise avec les 2 personnages: celles-ci bouffent plein de magie, mais sont évidemment très puissantes. Les attaques sont d'ailleurs assez bien variées et nécessite de se demander quelle attaque convient à quel type d'ennemis.

Les ennemis sont variés, parfois très impressionnants. On retrouve un peu de tout: squelettes, zombies, vers géants, yeux qui volent, soldats en armure, maids avec des aspirateurs (wtf!?), magiciens...Les boss, variés eux aussi, sont plutôt coriaces et on meurt souvent plusieurs fois avant d'avoir trouver le truc pour les tuer.

Venons-en à la réalisation. Respectant la tradition, le jeu est vraiment bien réussi. Au niveau des graphismes, le jeu montre des décors très réussis, détaillés, et donc très plaisants à traverser. On retiendra quelques effets d'arrière-plan 3D, comme dans le premier tableau: détail, mais véritablement impressionnant. Les animations des personnages sont soignées, mais le déplacement de Jonathan peut paraître légèrement bizarre ...enfin, je chipote peut-être un peu là. On peut en outre se taper une pose en appuyant sur le bouton Haut de la croix directionnelle...un régal! Mais il faut noter quand même que les environnements se répètent plus tard dans le jeu: le thème est identique, seul quelques détails changent (couleurs, arrière-plans, musiques), ce qui est un peu regrettable, mais les décors sont néanmoins toujours réussis.

<%image(20071222-capods017.jpg|300|450|Des décors soignés)%>

Et le son dans tout ça ? Toujours dans la lignée des Castlevania, la musique prend une palce importante dans le jeu. Composées par Michiru Yamane (qui a déjà travaillé sur les précédents opus), les musiques sont un délice pour les oreilles. Ca me rappelle l'époque de la Nintendo avec les musiques de Megaman (2 et 3), où l'on refaisait les stages juste pour la musique... On a même droit à la collaboration de Koshiro Yuzo, pour quelques musiques (dont celles des boss), qui sont parmi les meilleures du jeu (Dance of Sadness, Invitation of a Crazed Moon, Iron Blue Intention...). [Petite parenthèse-même-si-c'est-des-crochets: Koshiro Yuzo a fait l'excellente musique du jingle de Nolife, celle qui m'a fait basculer (malheureusement?) dans le monde dans le monde otaku]. Le jeu présente des voix numérisées, pour les attaques, les sauts (comme dans Zelda), et quelques ennemis (comme les maids), ce qui fort sympathique. Je l'ai déjà dit mais je le répète: les musiques du jeu sont EPIC.

Bon, on peut parler de quoi maintenant? Ah oui, je sais. A l'heure où j'écris ces lignes au CDI de mon lycée, je n'ai pas fini le jeu, j'en suis à 10 heures de jeu mais je pense que j'en verrai le bout dans pas longtemps J'ai fini le jeu en 11 heures environ; on peut ensuite recommencer en difficile avec les objets. Il y a, à part le mode principal, un mode "Assaut du Boss" que je n'ai pas essayé mais je pense qu'il faut buter les boss en temps limite ou un truc comme ça; "Coopération" que je n'ai également pas essayé, mais ça a l'air intéressant; un mode "Achats" est aussi au menu mais je ne sais pas trop comment ça se passe, vu que je n'y ai pas touché.


En conclusion, ce jeu est une véritable réussite, sur le plan du gameplay avec la présence des 2 personnages jouables, sur le plan de la réalisation avec des décors réussis pour la plupart et des musiques sublimes, le scénario nous réserve quant à lui quelques surprises, mais ne bouleversera pas votre esprit tel un Code Geass ou un Haruhi Suzumiya (il fallait que je case Haruhi quelque part!!!). Ce jeu m'a véritablement fait découvrir Castlevania, ce qui va me pousser à me taper les anciens pour rattraper mon retard (Dawn of Sorrow sur NDS par exemple). Un jeu que je vous conseille donc vivement!

[Vivement la saison 2 de Haruhi Suzumiya!]
[Ceci est mon premier article, alors n'hésitez pas à déposer critique, avis, message de toute sorte; ça me ferait plaisir. :)]

Nataka, fervent Haruhiiste.

[Team Fortress 2] Le Pyro

Par Jashugan.

Disclaimer : Pour mieux savourer cet article, le chef vous conseille de déguster au préalable un petit apéritif de Maïté, pour imprégner ses papilles auditives d'un léger accent du sud qui conviendra parfaitement avec le plat du jour, présenté dans les mêmes tons fleuris de thym et de romarin.
Bon appétit (bien sûr).


Bonjour, bonjour, gastronomes de tous les horizons, bienvenue dans notre émission culinaire hebdomadaire.
Alors aujourd'hui Micheline, je vais vous gâter, car je vais vous parler de la fameuse technique de cuisson que tous les grands chefs nous envient, je veux bien entendu parler de la Cuisson à la Flamme ! Fameuse car elle permet de faire ressortir toute la saveur des aliments, à partir de quelques gestes simples à retenir.
Et pour cela, quoi de mieux qu'un bon exemple Micheline ? Plusieurs bons exemples, vous avez tout à fait raison. Et c'est pourquoi je vous ai concocté quelques petites recettes idéales pour apprendre les bases de cette méthode révolutionnaire.
Présentation, c'est parti.


Le secret de la Cuisson à la Flamme repose sur une constatation très simple : plus l'aliment est frais, plus délectable il sera. C'est pour cela que les plus grands préparateurs ont inventé une technique toute particulière, qui consiste à allier la chasse et la cuisson. On ne peut pas faire cuire aliment plus frais que celui qui s'enfuit lorsque vous l'approchez de la casserole !

Comme il est plus simple dans ce cas d'approcher la casserole de l'aliment, ces astucieux cuisiniers ont inventé la rôtissoire portable :

Lance-flammes


Et suite aux divers problèmes de combustion de toques et pertes de sourcils, ils ont aussi pensé à la tenue adaptée :

Pyro


Pratique et confortable, elle offre une protection contre les retours de flamme sans pareille, et protège aussi des rayons UV nocifs pour les peaux délicates. Il y a même des petits rangements à l'avant pour les épices et les aromates, comme c'est bien fait ! Le seul problème, c'est le masque déclaré obligatoire par l'Association de Règlementation de la Chasse à la Flamme, qui n'est pas très coquet et étouffe la voix, comme si on portait une cagoule trop serrée. Mais à Rome, fais comme les Romains, n'est-ce pas Micheline ?

Maintenant que vous êtes bien équipés, il va vous falloir obtenir les précieux éléments de base de nos petits plats. Je m'en vais vous donner les secrets d'une approche réussie pour remplir votre panier le plus vite possible et sans bobo.


Le braconnage

Il y a pas mal de gibier convenable pour une bonne chasse à la flamme : chevreuil, sanglier, mouton, bœuf, éléphant, tortue ... Mais la viande la plus adaptée à ce traitement reste encore la viande de Joueur. Le joueur est un animal bipède et omnivore, qui se déplace généralement en troupeau hétéroclite de plusieurs familles différentes. Les joueurs sont farouches, territoriaux, et n'hésitent pas à attaquer quiconque s'approcherait de leur abri. Ils passent leur temps à roder autour de ce dernier, ce qui confère à leur chair l'élasticité idéale pour le traitement que nous allons leur faire subir.

Ils sont vraiment intéressants à étudier ces Joueurs, Micheline, et en plus ils brulent très bien. Mais ce qu'il y a de plus surprenant voyez-vous, c'est qu'il en existe deux espèces principales, Caeruleus Fatuus à la robe azurée, et Puniceus Hebes aux reflets pourpres, qu'ils se détestent cordialement, et qu'ils passent leur temps libre à gamer s'attaquer sans raison particulière.
En bons chasseurs, nous allons en profiter pour nous infiltrer dans leurs nids, là où ils élèvent leurs petits, les journeaux. Et les journeaux, ça s'enflamme sans effort !


Ouhhh, des côtes de porc !


L'infiltration

Méfiants par nature, les joueurs ne sont pas faciles à approcher. Tout d'abord, il va falloir vous déguiser vous-même en joueur. Une fois choisie votre couleur, prenez l'instrument adéquat : les bleus ne marchent que sur les rouges, et inversement. Je ne sais pas trop comment tout cet attirail fonctionne, mais c'est bien pratique pour ne pas éveiller les soupçons de ces animaux chafouins et agressifs, qui n'hésiteraient pas à vous attaquer dans le dos.

Il va ensuite falloir s'infiltrer dans le nid sans être vu. Vous me demandez pourquoi ? Eh bien, c'est très facile : depuis le temps qu'on les cuit à la broche directement chez eux, les pauvres, ils ont pris la sale habitude de s'équiper de moyens de défense. Et comme ils ne font pas dans la demi-mesure, c'est au lance-roquette qu'ils nous accueillent ! Ahh, ça mérite bien un passage au four, vous ne trouvez pas ?

L'essentiel, donc, est de ne pas emprunter les sentiers les plus foulés, mais de contourner, de prendre à revers, d'utiliser toutes ses ruses de trappeur pour qu'ils ne s'aperçoivent qu'ils sont cuits (ho ho) que lorsque l'inévitable se produit. Et si vous avez tout suivi, vous aurez compris que le meilleur moment pour la cueillette, c'est lorsqu'ils jouent avec leurs petits amis d'en face. Occupés à ses crêper le chignon, vous les ferez suzette en moins de temps qu'il n'en faut pour préparer la grand-veneur.
Et si, sur le coup, toutes ces belles gazelles cèdent à la panique et déguerpissent à toutes jambes, n'hésitez pas à les assaisonner de quelques pruneaux, pour une dégustation future.


La traque

Il arrive parfois que l'on croise des spécimens sur le chemin, qu'ils nous remarquent dans notre pourtant très discrète tenue de pizzaïolo en caoutchouc, et se mettent en tête de ne pas se laisser tranquillement servir pour le diner. Là, plusieurs choses sont à savoir en fonction de votre proie, car elles ne se valent pas toutes.
Il y a les gros patauds, les balourds de la place, qui se déplacent tels des gastéropodes valiumisés, et qui se sentent le besoin de compenser avec un gros calibre. Ceux là, ma chère, il faut les fuir le plus possible. Si vous n'avez pas l'occasion de prendre votre allume-gaz à votre cou, utilisez la technique du tourne-broche : faites dorer uniformément de tous les cotés en tournant autour alors que l'information de votre présence est encore bloquée entre leur œil torve et leur -délicieuse en pâté- cervelle de moineau péruvien. Les spécialistes du milieu, dans leur jargon professionnel, appellent ça le circle-strafe, ce qui signifie en anglais, si je me souviens bien, éléphant tournant au feu de bois

Choisissez bien votre prochain repas. Certains sont plus durs à piéger que d'autres car ils sont fourbes. D'autres au contraire, comme les nains geigneurs, sont bien plus faciles, mais peuvent être accompagnés de leurs chiens de garde. Attention à ne pas vous faire mordre, ces cabots n'ont pas les crocs très propres. Notez bien la place de leurs niches, au cas où un petit malin voudrait vous y mener en se sauvant. Eh oui, y'a pas écrit bécasse ici !

Et il y a le fameux, le met le plus délicat, la rolls des buffets, mais nous en reparlerons tout de suite après une page de publicité. Je vous en ai ramené un déjà prêt, sentez-moi ce fumet Micheline !

Ah, un dernier point avant la pause : si vous rencontrez un concurrent, n'hésitez pas, et faites-lui sentir qu'ici c'est vous le maître. Un combat d'usure se lance en général entre les deux opposants, et l'expérience dans le tourne-broche fera alors toute la différence.


Rôtissoire 2000, le meilleur pour les soirées vraiment hot !


Bien, nous revoilà après ces quelques réclames.
Je vais maintenant vous révéler deux recettes de ma composition, spécialement étudiées pour mettre en valeurs les particularités étonnantes de notre ingrédient du jour. Mais ne je ne vais pas vous faire languir plus longtemps, place à la première recette :


L'espionnade flambée

Je vous l'avais promis, voici que revient le sujet sur le joueur le plus apprécié par les vrais gastronomes : le cameléspion. Les membres de cette famille sont dotés d'une capacité étonnante, celle de changer leur apparence en fonction de leur environnement. S'ils ne peuvent pas gober les mouches à la vitesse de l'éclair, ils peuvent en revanche se faire passer pour un représentant du nid adverse, ou carrément disparaitre à la vue de tous. Et tout ça pour échapper au chasseur de joueur, friand de viande de cameléspion, la meilleure de par le monde.
Mais comme tout animal doté d'une intelligence assez limitée, il ne peut lutter face à l'instinct, et nous allons utiliser tous ces atavismes pour lui préparer quelques petites surprises.

Les joueurs, bien que beaucoup pensent le contraire, sont des animaux très sociaux, qui vivent en meute. De même le cameléspion, quand il se déguise, tend naturellement à se diriger vers ses nouveaux semblables. On le retrouve donc souvent dans le mauvais nid, tentant de copuler avec tout son entourage proche. Mais comment faire pour débusquer cet fieffé animal parmi ses congénères ? Souvenez-vous, je vous en ai parlé au début de l'émission. Eh oui, comme je vous l'avais précisé plus tôt, l'outil que vous tenez dans vos mains ne brule que les joueurs de la couleur opposée !
Passez donc sans hésiter tous vos homologues au chalumeau géant, et l'un d'eux prendra peut-être feu, marquant le début des festivités.

Le cameléspion a une deuxième lubie. Il semblerait qu'un dérèglement hormonal héréditaire soit la cause d'une irrémédiable pulsion zoophile qui se déclenche à chaque fois qu'un membre de cette espèce croise un des chiens de garde des nains geigneurs. Il devient alors capable de tout, et tente par tous les moyens possibles de satisfaire ses instincts primordiaux.
Il vous suffira alors, si vous êtes plutôt pêche que chasse, de vous poster près d'un de ces points chauds, et attendre que le bouchon plonge. Un petit coup de napalm au passage lors de vos pérégrinations est aussi un bon moyen de vous assurer de la pérennité de l'espèce, et participe à la protection contre la maltraitance des animaux.


Le potes au feu

Cette recette, bien que succulente, n'est pas à mettre entre toutes les mains. Elle est assez difficile à réaliser, et peut être dangereuse. Veillez à bien respecter les consignes avant de vous lancer tête baissée dans cette tâche.
Les joueurs sont très territoriaux, on ne le répètera jamais assez. Ils défendent jalousement leurs possessions, et sont obsédés par la conquête. Une de leurs techniques préférées pour marquer un territoire est de se placer en bande sur un point d'eau. Indispensables à la survie de l'espèce, ils sont très prisés, et concentrent une population importante lors des prises. Ces évènements sont généralement festifs, et l'attention se relâche à mesure que les joueurs se détendent.
C'est là que vous intervenez.

Soigneusement caché dans les fourrés, à l'abri des regards, il va falloir s'approcher sans se faire remarquer, doucement, face au vent, jusqu'à pouvoir sentir l'haleine des fauves. Se déroule alors la phase la plus subtile : déboulez sur le point, tel un chien dans un jeu de quilles, et pratiquez la technique suprême des tourne-brocheurs : le méchoui pour quinze. Si l'effet de surprise est bien calculé, vous devriez pouvoir festoyer d'une bonne demi-douzaine de spécimens différents, à remuer dans une grande marmite pendant quelques longues secondes. Rien de tel qu'un bon potes au feu pour se redonner des forces.


Voilà, notre émission culinaire touche à sa fin. Pour finir, je ne saurais que vous conseiller ces quelques sources d'informations pratiques pour qui veut se lancer dans la Cuisson à la Flamme :

- Un bon reportage sur un chasseur débutant, lors de sa première sortie en conditions réelles : Ignis Solus
- Un documentaire sur un expert cette fois, qui vous apprendra tous les tenants et aboutissants d'une bonne chasse : How to play the Pyro
- Un manuel très pratique pour apprendre sans se fatiguer : Pyro
- Et une attention particulière à Gérard, napalmoculteur de son état, qui m'a envoyé une photo exclusive de la 3ème convention mondiale de la Passion de la Grillade, un tel élan d'enthousiasme, c'est assez émouvant : photo

Merci à tous de nous avoir suivis, et à la semaine prochaine.



C'est prêt ! (un scout, ça l'est toujours)
Bon appétit !

Jinkô Shojo 3 (Artificial Girl 3) for dummies

Par Luz

Pour ma première participation au quartier libre, je vais faire dans le mais bien dans l'esprit des lieux, tous du moins pour ce qui est du sujet. J'ai nommé, Jinkô Shojo 3 aussi connu sous le nom d'Artificial Girl 3, suite attendue du 2 sorti le 26 novembre 2004. Pour ce qui est du 1, pas la peine de chercher, pour ce que j'en sais, ce ne fut qu'une démo technique.

Lire la suite...

21 décembre 2007

Guess the anime! powered by MS paint

par Sonocle Ujedex

Réalisé avec honte à l'aide de Google image et de MS paint, et ce dans le but de vous reposer après tant de texte long mais intéressant, "Guess the anime" est le grand rébus de l'anime rien que pou vous, inspiré par le "Guess the meme" (lien NSFW) de 4chan.
La règle est simple : trouvez, à partir des images pourries présentées, un titre d'anime bien connu.

Assez insulté votre intelligence. Laissons votre sens du déchiffrage picturale (je crois que ce terme est une contradiction) faire le reste. Mais attention! Parmis ces titres , il ya un piège, et il est bien tordu, je vous l'assure.

Ready? Go!

Lire la suite...

20 décembre 2007

(Malheureusement) un favoris (qui existe) réservé au Anglophone

Par Caze_N / Psychômann

Je voudrai attirer l'attention sur un site que je fréquente depuis des années, découvert par l'intermédiaire d'un ami tombant sur un guide et cité à l'occasion par raton.

Il en parle à l'occasion sans vraiment avoir fait le point sur se site qui mérite une place dans nos favoris.

Si vous avez assez de volonté et/ou un minimum de connaissance en anglais, toutes une pléiade de critique et d’information vous sont offertes quotidiennement par le site http://www.somethingawful.com/ - Traduire littéralement par « www point quelque chose d’atroce point com»

Quelque soit les questions les plus insondables que votre esprit n'a jamais osé vous confronter tel que comment :
- battre les adversaires que l'on peut rencontrer sur une borne DDR ?
- survivre dans n'importe quel RPG ?
- se protéger soi-même de la pornographie ?
- survivre à la guerre en Irak ?
- Battre des Monstres Surnaturels ?
- Pêcher ?
- Trouver un appartement ?
- Survivre à un ouragan ?
- Faire un Animé ou un Film de S.F. ?
Et beaucoup d'autres et plus encore ... à travers ses nombreux guides.

Si vous avez aussi besoin de suivre l'actualité « complète » sans censure sur :
- Les jeux vidéo (particulièrement ceux hentaï avec un supplément de tentacule selon la marée)
- Les sites les plus calamiteux qui soit (pour webmestre complexé)
- Les expressions à la mode à lancer après "Kikoo" dans votre Instant Messenger du moment.
- d'autres évènements du net (ou pas) qui peuvent faire plus que douter sur la loi de Darwin appliqué à l'homme. Heureusement les Darwin Awards sont décerné chaque année avec le plus grand sérieux.

Si vous avez du temps à exploiter intelligemment faite une pause, Untitled-Document vous attend.

The Internet Makes You Stupid.

19 décembre 2007

Claymore

Par Smog ShadowSeth

Tiens, pour une fois je vais parler d'autre chose que de jeux auxquels personne ne joue dans un quartier libre. Pas facile aussi de trouver ce de quoi on ne parle pas sur ce site. Enfin bref.

Claymore, donc. Anime de son état, adapté du manga éponyme de Yagi Norihiro, se déroulant dans un monde médiéval pas franchement joyeux. Les humains vivent dans la peur constante d'agressions de créatures démoniaques appelées Yoma, ressemblant un peu à des loups garou dans leur mode de fonctionnement. Il préfèrent opérer la nuit et dévorent les entrailles de leurs victimes, avant de reprendre apparence humaine. Dans ce monde, seul une force armée parvient à les contrer efficacement: les guerrières que l'on nomme Claymores; créatures mi-humaines mi-yoma, capable de sentir la présence de ces derniers et d'utiliser leur force issue de leur condition d'hybrides et utilisant de larges épées à deux mains à qui elles doivent leur nom.

L'histoire commence alors que Claire, Claymore de son état, arrive dans un village ayant fait appel au service de l'organisation gérant les guerrières pour se débarrasser d'un yoma ayant déjà dévoré plusieurs villageois. Elle y fait la rencontre d'un jeune garçon qui contrairement au reste du village n'est pas terrorisé par sa présence. Car les sorcières au yeux d'argent, comme elles sont parfois nommées, ne sont pas vraiment bien vues des humains normaux, chez qui circulent suspicion, méfiance et crainte envers ces femmes à moitié monstre. Une attitude qui semble laisser de marbre Claire et les autres Claymores.
Chacun semble vivre dans son coin en surveillant l'autre, jusqu'au jour où Claire croise le jeune Raki, qui manifeste un vif intérêt pour elle.

Claymore n'est pas un anime comme on en voit (trop) souvent, avec des héros sauveurs et désintéressés ou encore autant un objectif noble à atteindre coûte que coûte. Ici, le monde est à l'image de sa condition: gris et ne laissant que peu de place à l'espoir, les jours pour sa survie se suivant et se ressemblants jusqu'a ce qu'on tombe sur de plus gros problèmes, soulevant enfin un début de quête concret. Tout, dans l'histoire, tend dans ce sens. Les claymores sont toutes des êtres formatées mentalement et physiquement, ayant toutes la même tête de dépressive je m'enfoutiste, qu'on distingue à peine les unes des autres par leur coiffure. Rares sont celles qui ont une personnalité bien propre, ou un objectif dans la vie différent que de massacrer un maximum de Yoma avant d'en devenir soi-même un une fois qu'elles ne pourront plus contenir leur part de bestialité au fond d'elle.

Ce n'est pas la joie, mais il faut tirer partit de la moindre petite lueur que l'on voit, quitte a y laisser des cadavres dans la foulée. Voilà à quoi pourrai se résumer le credo de Claymore. Certain ont dit qu'en cela il se rapprochait de Berserk; mais je ne m'avancerais pas là dessus n'ayant jamais lu le manga sus-cité. Ce que je peux en dire, c'est que la recette a été diablement prenante en ce qui me concerne. L'héroïne ne joue pas aux miraculées systématiques que l'on présente dans bon nombre de shonen; entendez par là qu'elle y laisse souvent des plumes en cours de route. Même si sa progression suit néanmoins la logique de montée en puissance des mangas du genre; si ce n'est que la progression est parsemée de pertes, de désillusions et de danger permanent pouvant venir à tout moment de n'importe où; des alliés comme des ennemis. On est, sur certains points du moins, loin des stéréotypes du genre. On n’échappe pas cependant à la méchante société corporatiste sans scrupules; n'hésitant pas à monnayer les services des guerrières qu'ils créent en injectant du sang et de la chair de démon dans les corps d'orphelines "recrutées" de force par des hommes en noir. Ou encore a envoyer au casse-pipe ses guerrières trop désobéissantes ou ayant vécu trop longtemps à leur goût.
On a aussi droit à quelques personnalités typique des personnages féminins de japanime. Mais pour ce dernier point, le paradoxe a été pour moi que celles qui étaient dotée de cette particularité apportaient un souffle d'air à l'histoire plus qu'elle ne la rendait stéréotypée. Car voir une boute-en-train au milieu de toute ces filles d'apparence dépressive, ou une Tsundere extrême répandre des insultes à chaque réplique et tranchant nettement avec "le reste", contribue grandement à nous rappeler que malgré toute la merde qu'il y a dans ce monde, il existe d'autres voies que de laisser faire. Et que les arpenter au milieu de tout ce gris sombre est ce qui fait l'intérêt de cette histoire.

L'anime se termine en 26 épisodes sur une fin ouverte, légèrement différente de ce qu'il se passe dans le manga au même niveau. Néanmoins l'histoire ne fait que commencer dans le manga, dont déjà 11 tomes sont paru au japon et 6 en France, chez Glénat. Le manga est en prépublication mensuelle sur le Shonen Jump.
Coté réalisation, l'anime a été pris en charge par le studio MadHouse, à qui l'on doit notamment la série des X de Clamp (ainsi que le film et les OAV de ce dernier)
Pas encore de licenciement en France, la série étant récente (lancée au milieu de l’année) ; mais elle fait partie désormais de la liste de vœux personnels, et j’espère sincèrement la voir arriver en France un jour ou l’autre.

Chô Aniki

Un jeu très joyeux.
Attention aux pertes de SAN, cet article est rédigé par Shikaze.

Lire la suite...

possibilité d'achat pour noel

by Ninjigen

Noel approche ... ou pas, quand je vois dans ma rue une centaine de guirlandes présentes depuis le 11 NOVEMBRE, je me dis qu'en tant que fête mercantile, elle a déjà commencé et n'est pas prêt de finir. ( Oui, je HAIS Noel ), cependant le raton a déjà fait quelques recommandations, et les offres de manga distribution sont toujours de vigueur. Pour ma part, je suis allé faire un tour du côté du Toulouse Game Show, sur lequel je vais dire un petit mot avant de continuer mon article, et j'y ai acheté quelques séries complètes, dont une par réaction purement fanboyesque. Plus particulièrement deux dont je n'avais jamais entendu parler, et qui visiblement ne sont pas extrêmement connues non plus: Muryoh ( plus connu sous le nom de Shingu ) et une autre dont j'ai la flemme de faire deux pas pour retrouver le nom complet à rallonge et dont je vais vous faire l'insulte de vous mettre un lien animeka, ( oui, bouuuuh ! ) d'ailleurs il faudrait toujours que je la regarde. Ces deux séries ont donc été achetées neuves pour 10€ après avoir vérifié qu'elles n'étaient pas issues d'un label HK.

Parlons maintenant du Toulouse Game Show, convention attendue impatiemment par un certain tas de lettre qui n'a pas pu venir et où j'ai loupé quelques autres personnes de ma religion. Convention qui m'a pas mal décue au final, peut-être parce qu'à cause de mes achats je n'avais plus les moyens d'y rester la seconde journée, ptètre parce que de toutes façon, je ne suis jamais content. Qu'on soit clair, j'ai déjà été à une expo bien pire, je n'ai jamais été à la tanime, bien que certains m'y aient fortement encouragé, qui a le malheur de mal tomber durant l'année ( à savoir pendant la période du bac, puis des concours ), et je vais à la japan constater des scènes affligeantes, et je vais à l'édition du Game in Paris où il n'y a ni le Naheulband, ni les surplus de DVD distribués "gratuitement" après avoir payé l'entrée. L'exposition n'est pas trop mercantile justement, pas comme la Japan Expo où les stands les plus intéressants sont délaissés au profit de fouteurs de gueule. Cependant l'exposition manque de place ne serait-ce que parce que les Wii devaient être placées en dehors du salon, devant la sandwitcherie, et obligeant les joueurs à tourner le dos aux projections d'AMV ( oui il s'agit bien ici de propagande religieuse ). Des blind tests mal huilés où l'on voyait les titres à l'écran sans que l'animateur ne s'en aperçoive et des milliers de fans ( dont pas mal de chals ) qui chantaient le générique FRANCAIS de Dragon Ball Z pendant que je retenais mes envies de dissection en 17  mouceaux. Cependant, tout n'était pas si noir, il y avait une bonne ambiance, et la scène était quand même l'attraction principale. Je suis impatient de voir ce que ça donnera l'année prochaine. En attendant ils n'avaient toujours pas mon scroll épuisé depuis deux mois à Konci et je ne sais toujours pas pourquoi les seuls scrolls potables de Fate/Stay Night viennent tous de Fate hollow/Ataraxia.

Sans transition, parlons de Muryoh, mon achat récent. J'aime pas mal deux genres d'animes, les animes contemplatifs ( tranche de vie pour la plupart ) et les animes de mechas. Mais je n'ai jamais pensé que l'on pouvait concilier correctement les ceux ( après tout, ça donne un résultat soporifique quand on essaye de concilier contemplatif et héroic fantasy ). C'est pourtant ce qu'ont fait les créateurs de Muryoh.

Synopsis :

Hajime Murata est un lycéen au japon en 2070, période phare connue pour l'apparition dans le ciel de Tokyo d'un immense objet d'origine supposée extra-terrestre. Cependant ce jeune insouciant est plus intéressé par l'apparition d'un être marginal dans son petit lycée de campagne. Appelé Subaru Muryoh, ce personnage aux allures insouciantes dans un uniforme typique à une époque qui a aboli de telles coutumes fétichistes au grand dépit de certains. En plus d'attiser la curiosité d'Hajime, il semble être pas mal remarqué par le conseil des élèves. Cependant en sa qualité de pigeon délégué de classe, Hajime doit faire avec l'originalité du nouveau. Cependant un des membres éminents du conseil, réputé comme étant un sportif hors pair défie Muryoh sur le toit. De cette scène classique nait une autre scène classique où_le_pauvre_innocent_qui_n'avait_rien_à_voir_dans_le_bazar_se_retrouve_impliqué_dans_un_combat_d'êtres_paranormaux.




Que vaut donc cet anime ? A première vue le générique est tout ce qu'il y a de plus calme et ... soporifique. Ca m'en rappelle un autre au passage. Ensuite est dépeinte une ville tranquille de campagne, un lycée tout ce qu'il y a de plus normal, en résumé, tout part comme un anime contemplatif. Non que ça manque spécialement de son ( mis à part la musique de fond qui se fait oublier ) simplement que l'on entend tout ce qui se passe de la bouche de Murata, qui en profite parfois pour briser la barrière de l'écran pour s'addresser directement au spectateur. Même s'il le fait moins bien que Ruri Ruri. On passe donc de considérations en considérations qui se terminent souvent par un très sain : de toute façon ça m'inporte peu. ( ne te préoccupe pas des détails inutiles ) . On est donc balloté de considérations désintériorisées ( oui j'aime les néologismes ) en combats de "méchas" relativement mous. Parlons-en des mechas, entre le mécha au centre de l'histoire, shingu, qui ressemble plus à un shikigami selon la tradition shintoiste des espèces d'insectes, et un pauvre gamin qui les poutre sans aucun problèmes à mains nues. On l'aura compris, les combats de méchas virils et intenses où l'on s'envoie des galaxies à la tronche ( spoil ) , c'est pas le genre de la maison. Quoique, quand même, pour un truc fait de papier et de flotte, ils arrivent quand même à l'envoyer dans l'espace sans qu'il gèle, et ils gagnent.



Le scénario,  bien que raconté d'un point de vue particulier, et dans une ambiance  particulière, reste bateau : des extra-terrestres attaquent la terre, et il faut s'en défendre. Les moyens conventionels ne marchent pas, et il faut faire appel à des forces surnaturelles.
Bien sûr les extra-terrestres ne sont pas aussi idiots et simples qu'ils en ont l'air.



Passons donc aux personnages, l'auteur y a passé plus de temps que le reste et j'aurais aimé dire que c'est réussi, seulement ... ( attention, spoils éventuels dans les liens suivants )
La tsundere a des twintail, théorie prouvée.
Le héros est un délégué de classe, il a donc des lunettes, théorie prouvée.
La silent moe est celle qui se bat le mieux, théorie prouvée.
Avoir une coupe Afro rend invincible, théorie prouvée.
Les clubs de sport japonais sont dirigés par des abrutis, théorie prouvée.
Etre je-m'en-foutiste sauve la vie, théorie prouvée.
Les forces spéciales doivent avoir une tenue ridicule, théorie prouvée.
Un mécha peut être piloté par des personnes de n'importe quel sexe avec un opening du même niveau de bourrinitude.

Au fait, c'est quoi le masculin de tsundere ?



A première vue on a affaire à un concentré de clichés qui contrastent avec l'originalité de l'approche, cependant ce sont des clichés qui sont ce qui font que les fans de méchas dépensent des milliers pour monter eux-même leurs plamos, en dépit du danger ambiant. Et que certains studios en profitent depuis des années, et que la moitié de Konci est destinée à Eva, alors que les deux tiers de sa clientèle sont des narutardés qui viennet claquer 14€ dans un bandeau. ( et d'autres qui viennent acheter un anneau hagaren qui leur glisse du doigt ajouterai-je perfidement ). Ce sont ces clichés donc qui donnent une bonne impression à la série, la même impression que l'on a quand on regarde un shonen classique, ou quand on mange une bonne tartine de nutella ( je remercie au passage le raton de m'avoir fourni un test pour mon algorithme de compression ), c'est "sympa", ça "fait passer le temps" et on ne ne regrette pas le visionnage. Cependant on regrette un potentiel raté. ici l'impression est moins forte, parce qu'on en ressort avec une pression frisant les zéro, pire que dans un anime sur des chats.



Enfin, que dire graphiquement ? C'est sympa, c'est, en plus du prix ce qui avait attiré mon oeil : le chara-design ressemble à celui de Kenichi. les décors ne sont pas vraiment fouillés, mais au moins ne font pas tache derrière.  Les mechas sont hideux, je l'ai déjà dit, mais je trouve aisément pire et je vais me faire trucider pour plus d'une raison. Les scènes d'action sont molles et très courtes, donc ne nécessitent pas d'effort spécial, plus précisément, la musique et l'atmosphère ne s'y prète pas, car mis à part une musique répétitive mais prenante quelques accords réutilisés, la bande son ne vaut pas vraiment le détour.



En conclusion, il y a pas mal d'autres séries à acheter pour 10€ qui pourraient vous satisfaire, et quelques chef d'oeuvres, mention spéciale à l'anime qui a commencé ce que nanoha a fini. Mention spéciale à l'anime qu'on_dirait_pas_mais_qu'il_est_gore. Pour 20 € mention spéciale à l'anime que j'ai revu le plus de trente fois en en loupant un épisode décisif. Mais si vous les possédez déjà, pourquoi ne pas vous décider pour cet alien ?



Sans transition, il est temps pour quelques lignes de pub :

Pub pour une fanfic interactive d'un lecteur de l'éditotaku qui n'assume pas son âge.
Pub pour une radio déjà promue par QCTX.
Propagande pour une base de données sacrée.
Pub pour un forum, pour les amateurs de Rôleplay.
Pub pour un site qui n'est pas assez mis à jour

Et un appel, parce que je cherche quelqu'un capable de faire le design d'un site ou d'en dessiner la mascotte, sûrement une miko.

- page 24 de 159 -