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Je l'ai fait pour les lolz

15 juillet 2007

Die Hard 4



La dernière fois que je suis entré dans une salle de cinoche avec un sac de pop-corn, c'était en 1999. J'étais en Californie et c'était pour Star Wars Episode One. Oui, je sais. Techniquement, mon prochain paquet sera dans huit ans... Ca sera quel film ?

Ils ont ressorti un coffret DVD de la Die Hard Trilogy, mais y'a pas la fin alternative de Die Hard 3 dans la liste des bonus.

En septembre 2001 devait sortir Dommage Collatéral, avec Schwarzie, et La Somme de Toutes les Peurs, sur un scénario (d'un nègre) de Tom Clancy. Ils furent mystérieusement repoussés un an plus tard - et quand ils sortirent, on sentit bien qu'ils dataient d'avant Oussama et ses potes. Les héros n'hésitaient pas, les méchants étaient identifiables, et on se posait plus de questions que les gars à l'écran. Tout cela n'existait plus. On était en train de se taper des Jack Bauer informatisés et des Sam Fisher tracassés par leurs cas de conscience. Die Hard 4 envoie chier tout ça et fait les choses à l'ancienne. Tout le perso de McLane dans le film joue là-dessus : ce XXIème siècle modelé par la paranoïa et le contrôle de l'information, vu par un gars qui a foutu le bronx à New York, refroidi une quarantaine de terros dans un building à Los Angeles et fait sauter un avion de ligne. Pour l'avion, ça n'a rien de prophétique ; c'est juste qu'à l'époque, on pouvait tout se permettre.

Au début du film, la fille de McLane rentre dans son appart' et va se coucher... Alors qu'est-ce qu'elle fout quelques heures plus tard dans un ascenseur ?

Ca fait des références aux anciens films (l'agent Johnson au début) jusque dans les cascades (la scène du monte-charge, qui emprunte aussi à Jurassic Park 2), et ça rajoute un geek à côté de Bruce Willis pour pas que les teenagers se sentent paumés ; ils vont faire pareil avec Rambo IV où de jeunes porte-flingues accompagneront le sergent Sylvestre. Le méchant est bien foireux, genre foireux à la Darth "je dis rien et j'ai aucune apparition notable avant une bonne heure dans le film" Maul. Pour le reste, c'est du totalement bourrinage détendu du gland "comme avant", avec des scènes d'action éblouissantes, du piratage informatique en vert fluo avec des jauges rigolotes à l'écran, des tas de moments avec plein de figurants que c'est même pas des images de synthèse, un budget avec plein de zéros et un Brucie qui doit être là parce que ça lui manquait de jouer les héros. Je suis toujours fan de Willis et de McLane.



Nouvelles du front :
- Elite Beat Agents est sorti en France depuis vendredi, et il a des textes traduits à l'écran !
- World In Conflict, beta ouverte : vous y êtes ? Ajoutez "Raton-Laveur" dans votre liste de potes et vous serez invité dans le clan de l'éditotaku !
- Soirée de clôture de Nolife en ce moment même où les téléspectateurs peuvent demander ce qu'ils veulent voir ; évidemment, le chan #editotaku y va de ses petits mails à la chaîne QUI VIENT DE PLANTER EN DIRECT LA CA BOUGE PLUS A L'ECRAN WOAW. Pourvu qu'on mate le soir (pour voir autre chose que de la musique et ainsi admirer Nolife telle qu'elle serait dans un monde dépourvu de quotas-CSA-gnagnagna), on a affaire à la télé de nos rêves tout mouillés, le genre de truc qu'on mérite pas tellement on est pas dignes. On disait que les gars de GameOne s'étaient plantés parce qu'ils n'avaient pas réalisé que les gamers ne matent pas la télé puisqu'ils s'en servent pour brancher leurs consoles, mais en fait, c'est pas ça : c'est juste que leur chaine était naze. La preuve, on mate Nolife.

12 juillet 2007

E3 : Plus rien n'est sacré

Mais ça, vous le saviez déjà.

Il y a eu Casimir qui entra dans le loft.

Il y a eu Mario dans les jeux de basket-ball EA Games.

Il y a eu le film Street Fighter avec Jean-Claude Van Damme.

Et maintenant, il y a ça :



Chewie qui cède au côté obscur pour une psp "Slim & Lite" (original comme nom de redesign) avec une décalcomanie de Dark Ouador. Jack Tretton, PDG de sony, ne riait même pas ; il savourait le chaos de la Force.

Voyons voyons : un pèse-personnes pour Wii, un Metal Gear Solid 4 avec des soldats qui vomissent dans leurs cagoules, Meryl Silverburgh qui se marre et Raiden-ninja qui s'empale sur Vamp avec son propre katana (lourd sous-entendu sexuel yaoi inside), une exclu console sur ps3 "durant toute l'année" pour un Unreal Tournament 3 qui sort en novembre, Gears of War à la première personne = Killzone 2, Noël avec Mass Effect, Smash Bros Brawl et Super Mario Galaxy et 2008 avec Mario Kart, Resident Evil 5 et ma petite surprise perso, inFamous sur ps3. Les gros titres attendus n'ont rien eu d'impressionnant-à-tomber-par-terre, mais on a de quoi manger pour un bout de temps. Enfin, à part sur Wii, où le planning me semble toujours peuplé de titres se comptant sur les doigts de la main...

Ce qui arrive à Nintendo a quelque chose de paradoxal : pendant des décennies, le jeu vidéo a désespérément tenté de toucher le grand public (le vrai grand public, tous âges et sexes, pas le jeune mâle non-geek qui a découvert la playstation en 1995), cible ainsi considérée comme impossible à atteindre, saint Graal, tout ça. Nintendo y arrive, et réalise que contrairement aux hardcore gamers, le grand public est une audience captive qui n'a pas besoin d'un nouveau titre tous les mois et se contente d'un gadget à la con tous les six mois. Bref, une fois convaincu, il n'est pas bien difficile de le garder dans son giron, et surtout, il râle moins que ces joueurs-noyau-dur-jamais-contents. Project H.A.M.M.E.R. est repoussé à une date indéfinie pour être réorienté vers le grand public, et on porte rapidement des concepts de la DS vers la Wii comme Kawashima, Cooking Mama ou Trauma Center - ça coûte rien et on doit bien pouvoir tenir la télécommande comme un stylet.

L'autre qui essayait d'atteindre le mainstream, c'était Microsoft et ses puzzle games sur le Xbox Live Arcade. Sauf que la plate-forme de téléchargement, à l'origine inventée pour les joueurs occasionnels qui ne veulent pas raquer 60 € par jeu, est devenue la chasse gardée des passionnés. Le duo Wii60 est une réalité : faute de vrais jeux chez l'un et de trucs-pour-toute-la-famille sur l'autre, les deux machines se complémentent. Microsoft chouchoute ses fans, mais ne sait pas quoi faire pour le reste ; Viva Piñata s'est planté comme une merde, et ses titres orientés casual gamers, comme les jeux musicaux (Guitar Hero, Dance Dance Revolution, Rock Band) ou le machin de quiz avec sa manette en forme de buzzer, sont des imitations de sony. Enfin, l'initiative Games For Windows Live, qui devait réunir toutes les plate-formes possibles et imaginables, semble se limiter au PC et à la 360 ; après le plantage du Zune et le no man's land ludique des Pocket PC, on peut comprendre ce recul.

sony est détesté par pas mal de gens : les actionnaires (perd de l'argent), les joueurs (alliwantforxmasisapsp et arrogance), les journalistes (mensonges), le grand public (trop cher), les éditeurs (la 360 fait aussi bien et se vend mieux). Un redesign de la psp ? Pas trop tôt. Une baisse de prix de la ps3 ? Pas assez. Des exclus ? Limitées. sony en est réduit à faire comme à l'époque de la première playstation : tout parier sur les studios internes pour pondre de vraies killer-apps (Gran Turismo, Heavenly Sword, Killzone 2) et convaincre les éditeurs de lâcher Microsoft (qui contre GT avec PGR, Killzone avec Halo...). A part pour MGS4 qui s'accroche à son exclu et Final Fantasy XIII dont on n'a pas vu une seule image, c'est mal barré. Et voir Jack Tretton prendre sur scène la place de Kutaragi et Cie prouve combien l'entreprise a passé une année dégueulasse tant elle doit retrouver la confiance de, euh, tout le monde.

10 juillet 2007

Ouverture: Ikkitousen - Dragon Destiny

warning : article ultra otakiste et pas bon pour votre emploi



Pas besoin de parler de cet anime, ce n'est que la seconde saison d'un anime de merde. Quand on veut faire du fan service sur la baston à l'école alors qu'Oh! Great fait Tenjou Tenge, et ben, on reste couché.

J'aime bien écrire "xxx de merde". C'est tellement francais comme expression. Les non-francophones écrivent des trucs exotico-chics genre "le japanimation in merde", mais nous pouvons le faire sans que ça paraisse bizarre. Le seul truc qu'on puisse sauver de Matrix Reloaded, c'est bien le Mérovingien et ses gros mots.

Nan, c'est au sujet du générique de fin.



C'est une règle immuable des animes : un anime de merde aura de bons génériques, mais un bon anime n'aura pas forcément de bons génériques. Ce qui amène une règle propre au célèbre karaoké d'Epitanime : même si un anime est à chier, s'il a un bon générique, on en fait un karaoké.

Au sujet de l'Epitanime 2007 : je n'ai pas écrit d'article parce que c'était la plus mauvaise édition qu'il m'ait été donné de visiter. Une organisation qui voulait faire pro en oubliant les racines amateur de l'association tout en faisant des erreurs d'amateur, une pluie amenée par un calendrier en avance de quinze jours alors que la date habituelle est déjà une défiance aux nuages, des orgas de nuit qui n'étaient pas nourris le jour par leurs responsables et vice-versa, une communication interne et externe absolument inexistante... Ah, et c'était une idée absolument géniale que d'avoir invité DigiCraft. En une phrase, à l'instar du Comiket semestriel, je me suis cru à une Epitanime d'hiver, et j'attends le prochain Epitanime d'été. Vous venez de lire la version courte du rapport, dont la version longue dort honteusement sur le disque dur.



Si nous étions à l'Epitanime, ce générique ne passerait même pas. Ou alors uniquement sur demande et largement après minuit. Tout simplement parce qu'il pourrait être utilisé tel quel pour un anime hentai bien hardcore, comme le seul moment de répit où les héroïnes garderaient leurs fringues.



Ou pas (*).



Chérie, mets un soutif. Ces bourgeons turgescents n'apparaissent pas dans des animes non hentai, mais là, ils sont aussi proéminents que des grains de raisin sur une tarte aux pommes, ceux-là mêmes que l'on adore sucer avec délectation avant d'honorer la cuisinière. Fallait oser.



C'est quand même la "méchante" de la série, et pourtant elle squatte tout ce magnifique générique. Mon perso préféré, qu'un lecteur (dont nous protégeons l'anonymat) qualifierait volontiers de, je cite, "vaginalement motocultable".



Leçon rapide : "Comment deviner si mon anime préféré a été sous-traité chez les coréens ?" Facile. Indice numéro un : les noms coréens, connement écrits en caractères latins dans les crédits. Indice numéro deux : les yeux. Plus ronds, moins de couleurs et paupières différentes. Indice numéro trois : grosse baisse de qualité - cas d'école, Naruto qui était pondu chez les nippons pendant les deux premières saisons et envoyé en Corée par la suite pour faire des économies tout en faisant rentrer plus de fric avec les machins payants. Ben oui ; avec un anime, c'est une chaine de télé qui paie, alors que pour un jeu vidéo ou un manga, ce sont des millions de gens qui raquent... L'anime, dans la tradition des cartoons Transformers de notre enfance, n'est qu'une publicité de 26 minutes pour des produits dérivés. C'est le seul machin offert aux fans pour mieux les attirer vers les magasins, formaté pour la télé et aucun autre support - les réalisateurs à l'origine de ces trucs commandés à la chaîne doivent choper de l'urticaire en apprenant que des petits étrangers achètent ça en dévédé.



Au début de ce texte, je parlais d'Oh! Great. Coïncidence : il a bossé sur Himiko Den, un projet multimédia des années 90. Par multimédia, j'entends qu'une histoire était narrée sur plusieurs supports : anime, manga, jeu vidéo - dot Hack n'a rien inventé. Or, l'anime a tout simplement le plus beau générique de ce côté de l'animation japonaise. J'ai dû vous en parler il y a quelques années, mais c'est bon de le rappeler.



C'est toujours difficile d'avoir une image avec cul ET seins. Surtout quand on fait des captures d'écran dans des jeux hentai.



Au fur et à mesure que les animes sont devenus de plus en plus facilement accessibles (télé puis magnéto puis DVD puis divx puis streaming), une tendance chez les amateurs est passée de latente à systématique : sauter les génériques. Avance rapide sur le magnéto, chapitre suivant sur le dévédé, un clic de souris sur la barre de progression sur l'ordi. Notez que je n'ai pas écrit "otaques" ou "fans", mais "amateurs", parce que c'est une habitude parfaitement détestable. Squeezer le générique d'un Bleach, dont le seul but est de faire de la pub au dernier groupe de J-rock publié par un producteur friqué, passe encore. Mais éviter l'intro de Neon Genesis Evangelion et ses images subliminales qui changent à chaque épisode ou la joyeuse chanson chorégraphiée de Lucky Star ? Sacrilège. Mais y'a pire ailleurs : ceux qui ne matent jamais le générique, même pas au premier épisode, et les pires de tous, ceux qui jugent un anime à son générique - j'ai des noms. Quelle est cette aberration ? Un générique, ça sert à plein de choses. Citer le staff, réunir les gens devant la télé pour qu'ils pigent ce qu'ils vont mater, chauffer le public, présenter les persos et l'univers. Tout ça en 90 secondes, pondues par des équipes séparées - d'où les différences de qualité et de budget. C'est un mini-métrage qui doit tenir 13 ou 26 visionnages sans lasser l'audience. Mais ce n'est pas l'anime lui-même, scrogneugneu.

Du coup, on en arrive parfois au présent cas : la musique est classe et le générique est infiniment plus élégant et soigné que l'anime qu'il habille. On peut rester à le mater dans un silence religieux et personne ne viendra vous reprocher quoi que ce soit. C'est artistique, je vous dis.



Grand Tournoi des Maids, consignes de vote : durant la première semaine, nous avons fait un ex-aequo in extremis, sauvant les triplettes d'Hanaukyo Maids de l'élimination. Durant la deuxième semaine, nous avons qualifié Emma de justesse, elle et son délicat mais inconnu manga. Et par "nous", je pèse mes mots ; à en croire l'organisateur du concours, il y a carrément un tiers de voix en moins quand l'éditotaku ne vote pas.
Cette semaine, c'est simple : nous les avons qualifiées en mettant d'autres candidates en ballotage, nous allons à présent les faire passer à la suite des hostilités. Votez pour les Triplettes et pour Emma.

07 juillet 2007

Un nouveau membre dans l'équipe de l'éditotaku !

itemid=1337 !

Y'en a qui me disent que je fais pas de la merde. Ou qu'en tout cas, y'en a pas beaucoup sur ce site. Il fallait donc remédier à cela :



Mesdames mesdemoiselles messieurs, voici le nouveau membre, qui s'avère être un excellent fournisseur de caca. Il ne sert à strictement rien d'autre.

Il s'appelle Okami. Oui, je sais.



Autre bonne nouvelle ! Vous vous souvenez de World In Conflict, le meilleur jeu de stratégie auquel vous n'avez pas encore joué ? La beta ouverte commence mercredi ! Il suffit de s'inscrire sur le forum officiel (vous pouvez aussi passer par le formulaire dans le lien précédent) : tous les utilisateurs avec un email valide recevront leur numéro de série pour la beta. Le système de gestion des contacts/clans/amis étant très bien fait, nous jouerons ensemble. Inscrivez-vous !



Nous jouerons également ensemble dans un jeu massivement multijoueur, à la suite du précédent Tiers-Beta. La victime n'a pas encore été désignée, parce vos suggestions vont probablement citer un jeu bien obscur dont les développeurs s'imaginent déjà rouler en F355 après avoir ruiné Blizzard. A l'heure actuelle, après avoir considéré Goonzu Online, Trickster Online (*), Maple Story, Dungeon Runners, Corum Online et quelques autres, la shortlist semble arriver sur Cabal Online, Rappelz et Granado Espada - parce qu'ils sont assez sexy et voués à l'échec. Ce sera donc un des trois, sauf si vous avez une victime toute prête (en beta ouverte ou avec une période d'essai gratuite) qu'on aurait oublié.

(*) En regardant sur les stats de visites de l'éditotaku, il y a eu un étrange afflux d'arrivées via un forum thaïlandais consacré à ce jeu, et ça dure depuis quelques mois. Les voies du web sont impénétrables, mon fils.



Ce ouikende, c'est le Mondial du Gaming, dont tout le monde se fout parce qu'il y a la Japan Expo, dont je me fous. Vous me raconterez ça demain soir sur le chan IRC.







Lu dans le Libé d'aujourd'hui : on recense 300 à 500 spécimens de ratons laveurs en France, principalement dans l'Aisne. Mais, euh, c'est un animal qu'on ne trouve qu'en Amérique du Nord, non ? Des zoologues expliqueraient son introduction par des troupes américaines sur les bases militaires de l'OTAN (présentes jusqu'en 1966) qui en auraient ramené en guise de mascottes. Marrant.

04 juillet 2007

Le Tiers-Beta (de 10 minutes), épisode 7 bis : Lineage II - Interlude

Episodes précédents : Vanguard: Saga of Heroes (seconde partie), Vanguard: Saga of Heroes (première partie), Archlord, Lineage 2, Dark Age of Camelot, Saga of Ryzom, Neocron, Planetside, Shadowbane, Face of Mankind.

Lineage II avait déjà été abordé dans le Tiers-Beta, via Garric qui en avait fait un article pour le Quartier Libre de Noël dernier. Ca parlait de fan service, de nichons, de lolis, de culs et de James Bond. Forcément, il fallait que j'aille vérifier par moi-même. Oh ! Comme ça tombe bien : la nouvelle extension, Interlude, vient de sortir. Je rappelle rapidement : L2, c'est le MMORPG hardcore par excellence, avec des captures de châteaux, du PvP à tous les étages, et seulement 33 joueurs au monde qui ont atteint le niveau max (level 80 !). Le premier Lineage avait inauguré en Corée le recrutement de clodos dans les rues pour faire les farmers, le tabassage dans la vie réelle des boulays du jeu et des morts d'épuisement dans les cybercafés. Les premiers tests occidentaux (US et Europe) de Lineage II se déroulaient sur des serveurs partagés avec l'Asie (à la manière de FFXI où le monde entier, de son PC ou de sa ps2, se connecte au même univers)... et échouèrent lamentablement. Les petits anglophones étaient terrorisés, maltraités et tout simplement réduits en esclavage par les coréens. Car voyez-vous, le PVP y est complètement ouvert : tout le monde peut tuer tout le monde, sans prévenir. La seule manière de survivre, c'est de se déplacer en guilde, en meute, en familia. Les clans y observent des échelons au mérite, et s'il vous prend l'envie de jouer au con avec votre supérieur, pan sur le bec. Depuis sa commercialisation, L2 a donc des serveurs pour l'Asie, et des serveurs pour, euh, les autres.

Allez hop, on prend sa période d'essai, on télécharge le client (6 Go une fois installé) et roulez jeunesse, allons mater des petites culottes d'elfettes. Ou pas.

S'il y a un truc que je hais sur le net, c'est le "Ou pas". C'est le DEGRE ZERO de la chute humoristique. Ce n'est pas drôle, ça marche sur n'importe quelle phrase, c'est prévisible à mort, et c'est caractéristique du gars dénué du moindre sens critique pour ses propres écrits. Ca me met en boule, comme ces journalistes du jeu vidéo qui disent que voyez-vous ma bonne dame, c'est de l'art, on doit être pris au sérieux, on doit avoir des subventions de l'Etat et des facilités à l'embauche, c'est pas qu'un loisir pour ados attardés car nous ne sommes pas des ados attardés, et qui NE PEUVENT PAS S'EMPECHER d'écrire sur Assassin's Creed sans caser une photo de la productrice, trahis par leur immaturité hormonale qu'ils sont. Putain que ça m'énerve.

Bref. Joie ! Le nouveau chapitre a été traduit, adapté et vérifié par l'éditeur PlayNC pour le vieux continent ! La preuve, nous sommes si contents de notre boulot que nous vous proposons de l'essayer gratuitement ! Bon, d'accord, c'est toujours en anglais, mais promis juré, on a fait patienter les joueurs pour de bonnes raisons ! Allez, rejoignez les autres, tapez votre login !



Hééééé ouais. Vous pouvez appuyer sur n'importe quelle touche du clavier, il ne se passe rien. Enfin, pas complètement : 30 secondes plus tard (!), un "a" apparaît. Il est tout simplement impossible de se connecter. Il n'affecte que les utilisateurs européens, et la seule manière de le contourner est de faire passer l'exécutable du programme (et non du launcher) en "mode de compatibilité Windows 2000". ah, et il faut le refaire à chaque fois que vous lancez le jeu, puisque le programme anti-triche supprime cette modification après chaque partie. Ou alors, passer son clavier en QWERTY, la joie quand vous êtes en train de parler dans le jeu... Le bug est apparu dans le passé avec les deux précédents chapitres, et revient à chaque patch important. Un bug connu et récurrent qui ne touche que les européens ? Sans aucun doute la meilleure chose à laisser quand on fait une période d'essai sur un produit à 30 € + 13 €/mois ! Que font les testeurs européens de PlayNC ? Ils doivent jouer à Guild Wars, sans doute.



Allez, on va tenter de faire un truc en commun ! Vous participez ou vous avez votre propre site web/blog qui parle de jeux vidéo ? Faisons le prochain Tiers-Beta ensemble ! On choisira un jeu, de préférence obscur et/ou voué à l'échec ; on y fera un clan et on jouera dans la bonne humeur ! Puis, dans un esprit bien webdeupoinzéro, chacun écrira sa critique sur son coin de web et on fera des liens dans tous les sens vers les autres. Ecrivez-moi, ou laissez un commentaire !

02 juillet 2007

Quartier Libre des cinq ans, résumé

Yay ! Ainsi donc s'achève la semaine où tout un chacun pouvait poster ses propres articles pour le cinquième anniversaire de l'édito. Comme toujours, c'était freestyle, sans filtrage avant lecture et sans censure : vous aviez un login public pour publier l'article et boum, il était en ligne. Après les quatre éditions pour Noël 2003 à 2006, voici la liste des articles que vous avez pondus pendant qu'Akihabara était en état de siège.

Pour les jeux vidéo, nous avons une critique du daubesque Phantasy Star Universe par Maxobiwan et une présentation de Supreme Commander par Smog ShadowSeth (un vétéran du Quartier Libre qui écrit chaque année sur des jeux de stratégie !), ainsi qu'un article de Shikaze sur une curiosité, Gore Screaming Show.

Pour les animes, c'est fleuri : dans les textes longs et réfléchis, mdt a posté une analyse sur le pourquoi des otakettes, et Nix a écrit sur le comportement élitiste des otaques (mâles), article qui a déclenché une réponse du susnommé mdt ; les trois textes ont amené une flopée de commentaires pas piqués des hannetons. On parlait des otakettes ? Kaede nous parle de ses mangas josei préférés, tous signés Yuki Yoshihara ! Et TetraDavid présente Shin Shinobuden, un anime bien taré comme on les aime, QCTX y va de sa liste d'animes en cours de matage, et Garric, qui en plus de nous parler d'Emma, nous ramène (d'un endroit très froid) des photos de son dernier ramasse-poussière - c'est comme ça que j'appelle les figurines, ces machins de plastique qui ne sont bons qu'à une seule chose.

Enfin, il y a les textes inclassables... qu'on peut malgré tout classer en deux catégories. D'abord, les "A NE SURTOUT PAS LIRE" : Keul qui râle contre un monde digital et injuste, Rataime (qui est là depuis le tout premier Quartier Libre) qui nous spoile la gueule sur Death Note, et le "SURTOUT" dans "A NE SURTOUT PAS LIRE", la présentation de l'anime-hentai-qui-ne-peut-être-nommé par un garçon même pas majeur. Et comme si ça ne suffisait pas, il a ajouté des images dans son article. Encore une chance qu'il n'ait pas mis le nom de l'anime dans le titre de l'article, parce que l'affluence des moteurs de recherche aurait pu causer la fin du monde.
Et l'autre catégorie des articles inclassables, c'est tout simplement ceux qui peuvent être lus. EINArez qui ressort le courrier des traducteurs à la petite semaine adressé aux éditions Kana quand ces dernières leur font remarquer que leurs scans sont illégaux (on avait parlé de tout ça ici), et Légion qui fait preuve d'une grande attention avec une petite bédé très marrante.

Voilà, c'est tout pour ce Quartier Libre ; prochaine édition à Noël. Merci encore à tous ceux qui ont sorti leur plume et à vous tous qui lisez ce site depuis si longtemps !

Emma

Courte critique postée en retard par Garric

J'avoue, avant le tournoi des Maids d'Axel Terizaki, je ne connaissais pas du tout ce titre. l'événement a aiguisé ma curiosité et j'ai eu envie de donner une chance au manga en achetant les deux premiers volumes.

Le scénario se passe pendant Angleterre Victorienne, à la fin du 19ème siècle (Il n'y a pas de date précise). Le pays est en pleine révolution industrielle, période de grands bouleversements. Mais les tradition sont encore très ancrés dans les mentalités.

William Jones, issue d'une riche famille rend visite à l'ancienne gouvernante de la famille, Madame Stowner. Là il fait la rencontre d'Emma la femme de chambre de Stowner. Il s'éprend d'Emma très vite, et après la visite, oublie volontairement ses gants pour la revoir.
L'histoire se déroule donc avec une relation entre personnes de classe totalement opposé dans un société de castes où presque tout est interdit, ou au mieux, mal vu. De nombreux obstacles vont tenter de briser cette relation.

Le manga joue énormément sur l'ambiance. Graphiquement, les personnages sont dessinés de façon "ronde" qui donne un style plutot ancien à l'oeuvre. c'est ce point fort qui permet de le faire sortir du classique Shojô, même si au début, cela peut sembler un peu commun, avec Emma qui se fait courtiser par de nombreux jeunes nobles et bourgeois. Mais cela s'améliore par la suite. Bien qu'assez réservé, elle Montrera parfois une force de caractère. Ayant presque toujours vécu en tant que femme de chambre, elle a du mal à se voir autrement qu'avec son statut social de bonne célibataire à vie.

L'environnement est également bien décrit. Bien que l'on ne sache pas précisément à quelle année l'histoire se situe, on sent, au fur et à mesure que l'histoire se déroule, les paradoxes d'une société où l'on meurt encore jeune mais où les progrès techniques commencent à être visible, où une société extrêmement inégalitaire commence à faire place au progrès social (l'école obligatoire pour tous).

Après avoir lu les deux premiers volumes, j'avais eu peur sur le début : un scénario un peu trop commun, avec un histoire d'amour qui risquait d'être répétitive. Mais l'histoire progresse bien, et l'arrivée de certains personnages secondaire donnent des scènes intéressantes.

Si le coté "histoire d'amour impossible" ne rebute pas, alors Emma charmera sûrement pour son univers et son ambiance.

Ha, j'oubliais. La semaine prochaine, pensez votez Emma.

01 juillet 2007

watch list !

Par QCTX


Depuis le début de la semaine, c'est le boxon par ici. El Grande Raton, dans sa profonde mansuétude a bien voulu tester un quartier libre en plein été, au moment où les esprits comme la nature se réchauffent. Et depuis, c'est la guerre entre les otakus "pseudo-intello" persuadé que ce qu'il regardent à du sens et s'approche de l'Art et les "je-m'enfoutistent-profonds" qui ne pensent qu'à s'amuser et ne regardent les anime que pour s'éclater pas pour réfléchir. Je pensais justement à eux en écrivant cet article puisqu'ils vont pouvoir regarder à loisir quelques séries du moment que d'autres pourront intellectualiser à souhait. Ou pas.

Premier en vue : Dennou Coil
Je vais passer rapidement sur le scénar, d'autres font ça mieux que moi et si vous êtes un habitué de Blog-chan, ça devrait vous passer largement au-dessus. On y trouve des jeunes filles pas forcement adorable ni exaspérantes, juste "naturelles". Et c'est rare, je le faisait déjà remarquer en 2006. on trouve aussi une grand-mère geek et ça, ça vaut son pesant de cacahouètes. Sans oublier une magical-girl retorse, encore plus rare. Bon après, y'a aussi des nerds de 10 ans et des cyberpets (dont on se demande toujours comment on peut les transporter), mais ils sont secondaires (il n'empêche que j'adore les Mojos - ça doit être mon côté miyazakiesque).
En fait, si ce titre est si intéressant, c'est plus pour son ambiance qu'autre chose. Il règne dans cette ville un mélange de futur et de tradition qui se heurtent et se frôle sans cesse. Par exemple certains robots ne peuvent franchir l'enceinte d'un temple ou un simple Torii. Alors que le train n'est même pas à suspension sur rail magnétique. Les élèves portent des lunettes leur permettant de voir tout les éléments cyber invisibles à l'oeil nu, mais leur prof leur donne cours avec un tableau et une craie. Bref, c'est vraiment un mélange permanent et ça rejoint bien ce que l'on connaît (ou prétends connaître) du Japon aujourd'hui.

Pour les fans de méchas maintenant, parlons un peu de Gurren Lagann :
Ca y est, on nous l'avais promis, la GAINAX se remet à faire des méchas. Sans abandonner leur style déjanté de FLCL. Le scénar est résumable en trois lignes, mais ce n'est pas le plus important. Cet anime est fait pour les fan de méchas uniquement (ou presque), par conséquent les scènes de combat sont héroïques et brisent toutes les règles connues de la physique mécanique : génération spontanée, voire régénération spontanée, dimensions aléatoires, rotations aériennes sans support, explosions démesurées inoffensives pour les survivants, déformations et robots qui parlent avec la voix de leur maître, et j'en passe et des meilleurs. Toutes les attaques sont hurlées du plus fort possible (parait que ça améliore la puissance de feu) et les méchants attaquent tous bien sagement les uns après les autres, les amis sont tous là quand on a besoin d'eux.
Seul (énorme) surprise (à mon sens), le fait que la fin du premier arc soit marqué par un sacrifice incongru. Je ne vais pas spoiler plus, mais ça reste quand même une première dans ce genre d'anime.

Passons maintenant à un titre discret mais sympathique : Sola
Comme pour le reste, je ne parlerai pas ici du scénario. Sachez juste que le héro principal est fan du ciel au point d'en prendre régulièrement des photos (d'où le titre). A part lui, il y en a pour tous les goûts : une ayanémique maternelle (chevelure bleue et pouvoir latents compris), une brunette en béret trop parfaite pour être humaine, la copine d'enfance énergique, et sa petite soeur qui parle d'elle-même à la troisième personne. Et s'il reste des personnes non comblée dans l'assistance, vous ne serez pas déçu non plus. Dessu, dessu, exactement, y'en a aussi.
L'univers fleurte gentiment entre de la romance, une ancienne malédiction et des pouvoirs supernaturels. On a même droit à un clin d'oeil à "The Paper" pour le plus grand plaisir du maître des lieux. L'ambiance est calme et reposante, scène de combats sont courtes mais intenses et si Meido-Rando fait partie de vos bookmarks vous ne serez pas déçu. Mon seul regret ? Seulement 13 épisodes.

J'aimerais maintenant revenir sur un titre de 2006 : Utawareru mono
Attention, si les furrys (ou similaires) vous font peur, laissez tomber. Ce titre est l'adaptation (plutôt réussie à mon goût) d'un jeu-vidéo à mi-chemin entre la nouvelle graphique et le tactical RPG. On y retrouve donc un héro et son harem (et il n'en profite même pas le bougre) qui vont évoluer de la petite rébellion de village à une prise de pouvoir de plus en plus importante, avec gestions des conflits frontaliers et des tactiques de plus en plus étendus. Le jeu en lui-même incluant des des scènes hentaï complètement hors de propos, elles ont été supprimés pour l'adaptation, mais le graphisme kawaï est resté sans être poussé à outrance. Enfin, ça vous fera chavirer si vous appréciez les kemonomimi. Au point que certaines phrases peuvent choquer ...ou pas ("il est malséant de toucher la queue d'une jeune fille en public" !). Le héro en lui-même ne porte pas la beaugossitude en lui, mais reste vraiment imperturbable quelque soit le problème. Ca le rendrait presque inhumain tellement on s'attend parfois à le voir s'emporter. Même quand on lui propose du bois bandé pour le dérider un peu.
Bref, là aussi, un anime pour l'ambiance et les persos féminins plutôt qu'autre chose.
Le studio qui à réalisé cet oeuvre est un illustre inconnu, et l'intégration d'images de synthèse est parfois voyante lors des scènes de foule. Et c'est bien dommage. Pour les reste, vous observerez aussi la beauté des paysage et le nombre incalculable de détails des vêtements. Pour un petit studio, c'est un bon gros travail.


Voilà, c'était ma petite sélection de la semaine. J'espère que ça vous a donné des idées.
Pour ceux qui n'ont pas apprécié (mais pourquoi êtes-vous là ?) je vous propose de la lecture. Attention, c'est du pavé bien lourd que je vous propose.
Vous connaissez tous les blagues du Donjon de N. popularisé par PenOfChaos ? Bien, saviez-vous qu'il y a des textes qui l'ont inspiré ? Et bien voilà, c'est le travail d'un certain ASP Explorer de son petit nom et dont vous pouvez trouver les écrits par là. De plus, il tient un glob, un bogol, un golbo... bobol... bref... dans lequel on peut suivre certaines de ses aventures non disponibles sur le site (La Catin de Baëntcher, pour ceux qui connaissent).
Et les mises à jours sont régulières en plus ! Yay !

Mojo ! Mojo !

Tiens, je vais me prendre une bière.

Par Garric

Allez hop, le freezer.




OH SHi-

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2x2=Shinobuden - The Nonsense Kunoichi Fiction

Par TetraDavid

Pour ceux qui ne le savent pas, j'adore tous les trucs complètements débiles/décalés (petite sélection au hasard (attention, un lien par caractère :p)) et accessoirement inconnus. Certains aiment, d'autre détestent. Moi j'adore.
Le générique prévient quand même. complètement loufoque, avec un 'the nonsense kunoichi fiction' sous le titre. Il se paie même le luxe de faire croire à des ennemis (et donc à un scénario, mais j'y reviens après).

Voici l'histoire : Shinobu, apprentie ninja, doit accomplir les missions données par son Maitre pour parfaire ses techniques. Sauf que le maitre en question est assez pervers. La mission qui lui a été donnée est de subtiliser des petites culottes (s'entrainer aux techniques de dissimulations, vous voyez ?). Étant particulièrement cruche, elle suit les consignes du Maitre : après avoir lancer un "ninpou : kakuremi no jutsu" (qui n'a eu évidemment aucun effet), elle entre chez Kaede. Kaede est probablement le seul personnage ayant des réactions normales (mais c'est "logique", c'est la seule à ne pas être (apprenti-)ninja).

arrivée de Shinobu
Les techniques ninjas, ça ne fonctionne pas tout le temps...

Elles vont finalement se lier d'amitié. Kaede va alors découvrir la vie de Shinobu.
Pour les autres personnages, ajouter Onsokumaru, un truc rond, jaune, pervers (c'est comme Superman : avec barbe postiche, c'est le Maitre. Kaede voit l'artifice du premier coup... Pour éviter les ennuis avec elle, il ne mettra plus la barbe) ainsi qu'une tonne de ninjas génériques, répondant tous au nom de Sasuke. Avec ça, vous avec la quasi totalité des personnages principaux (en ajoutant quelques ninjettes vous les avez tous).

la fine équipe
Je vous présente Sasuke, Sasuke, Sasuke, Sasuke, ...

Avec un résumé comme celui-la, j'ai du perdre la moitié des lecteurs initiaux. Avec une histoire pareille, faire une merde de plus aurait été très facile. Seulement voilà : l'anime s'assume et le n'importe quoi s'accumule, pour notre (mon en tout cas) plus grand bonheur. Les épisodes sont découpés en deux parties, et il n'y a aucune transition logique entre les épisodes, ni même entre les parties. Il y a juste à chaque fois une situation plus improbable que les autres (un crocodile dans la marre, mort d'Onsokumaru, ...)

[SPOIL]

Si bien que lorsque dans l'épisode 6, Onsokumaru introduit un début de scénario, je me suis vraiment posé des questions.

un scénar ?
une intrigue ?! Impossible !

Heureusement, ça n'a duré que très peu de temps, retour à la "normale" juste après... jusqu'au dernier épisode. On voit alors un groupe de Sasuke se rappeler qu'une certaine bestiole jaune a eu la riche idée de lancer une intrigue, et qu'il ne reste qu'un seul épisode. Ils vont alors tenter une réécriture du scénario, bien plus hilarante qu'efficace. Heureusement, un élément "logique" arrive, permettant de résoudre le problème : il parlait de L'EXAMEN FINAL (ajouter le tonnerre en fond sonore), pour entrer dans une école de ninjas en Angleterre. Une fois arrivé à l'examen, on a droit à une fin on ne peut plus générique, se terminant par un FIN. L'équipe des Sasuke, devant la télé, trouve cette fin nulle et décide de la refaire. Et de la refaire encore une fois. C'est le SEUL anime à ma connaissance (ou alors j'en ai oublié) à aller jusqu'à refaire la fin jusqu'à en avoir une "potable" (elle est approuvée par l'équipe de Sasuke après le générique fin).

[/SPOIL]

Au final, j'ai passé un excellent moment. Un anime faisant autant de n'importe quoi avait tout pour me plaire. Si vous aussi vous êtes fan, foncez ^_^ (les DVD sortiront un jour en France, quand Dybex sera décidé)

PS : oui, c'est du fansub français. Quand j'ai découvert cette série, j'étais encore à la vostf (depuis, j'ai goûté à la vosta et je suis devenu accro :D). Je ne suis pas professeur de français, mais j'ai trouvé le sous-titrage fait par la team de bonne qualité.

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