Keio Flying Squadron 2
Par Garric
Pour l'article de cette année, j'avais envie de parler de ce jeu que j'ai reçu il y a un petit moment.
Dispo pas longtemps après la sortie de la Saturn, ce jeu est la suite d'un shoot sortit sur MegaCD. On pouvait le trouver dans le CD demo de la Console, et c'est comme ça que je l'ai connu.
L'univers est particulièrement délirant, on va commencer par le scénar, vous allez comprendre : Le méchant du premier épisode, un Raton laveur (ca tombe bien) nommé Docteur Pon trouve un manuscrit d'un trésor avec une orbe magique, s'il trouve les cinq autres, il sera riche. Séquence cinématique d'intro, le perso principal Rami se fait piquer son orbe pendant l'heure de la bouffe par un certaine Himiko. Notre héroïne (la plus cinglée d'entre toutes dixit le dos de la boite) tente de récupérer son bien. Transformation façon magical girl en bunny girl (après une tentative foiré du grand père), ne me demandez pas pourquoi : j'en sais rien. Remarque au passage, elle est complètement plate, 68 cm Selon le manuel. Pon intervient pour s'emparer à son tour de l'orbe, mais se fait exploser son vaisseau. Il parvient a s'enfuir avec les deux orbes (la premiere trouvé avec le plan et celle piqué à Rami, merci pour les deux qui suivent), mais laisse tomber le manuscrit. Ce dernier récupèré par l'héroïne lui permet de contrecarrer les plans du Raton (ha ha).
Bon, le jeu. Graphiquement, c'est très correct (surtout pour l’epoque, en 1996). Les décors, colorés et de qualité vont bien avec l'ambiance : kawaï et délirante (surtout les boss, qui sont certainement parmi les plus idiots que je n’ai jamais vu dans un jeu). Les sprites en revanche sont un poil pixellisés, mais bon, encore une fois, pour l'époque ça reste largement acceptable, et même après plus de 9 ans, ça ne choque pas.
Coté gameplay, cette fois, c'est un jeu de plate forme, mais avec des phases de shoot. Très simple, on saute sur les Sbires de Pon pour les éliminer, ou plutôt les faire passer a travers le décors, classique, ou encore en leur balançant des objets (qui servent aussi pour avancer dans le jeu, comme une main énorme pour appuyer un bouton afin d’ouvrir une porte). On récupère aussi des lapins dorés, 100 = une vie, classique aussi. Mais on peut également récupérer des armes, telle que le marteau, ou encore un parapluie, ils serviront aussi pour se protéger, à la manière d'un Sonic avec ses anneaux.
Par contre, on a droit a des scores assez bizarres, la première fois, j'ai eu un peu de mal a comprendre le principe, on peu en gagner comme en perdre, et si vous jouez comme un pied, vous passez à un niveau de la température de Pluton en plein hiver (je n'ai pas atteint la limite). Ils serviront pour débloquer des scènes.
Les séquences shmup sont vraiment cool et me font penser à la série des Parodius, la musique y est vraiment très proche d'ailleurs.
Le seul petit point noir du jeu est la maniabilité, Rami glisse et parfois c'est dur a contrôler, déjà que le jeu est plutôt difficile (les continues aident beaucoup) ce qui est parfois énervant.
Un bon jeu donc, bien délirant (surtout si vous avez envie de casser du raton laveur :p), même si il peut être un peu frustrant certains moments.
Pour l'article de cette année, j'avais envie de parler de ce jeu que j'ai reçu il y a un petit moment.
Dispo pas longtemps après la sortie de la Saturn, ce jeu est la suite d'un shoot sortit sur MegaCD. On pouvait le trouver dans le CD demo de la Console, et c'est comme ça que je l'ai connu.
L'univers est particulièrement délirant, on va commencer par le scénar, vous allez comprendre : Le méchant du premier épisode, un Raton laveur (ca tombe bien) nommé Docteur Pon trouve un manuscrit d'un trésor avec une orbe magique, s'il trouve les cinq autres, il sera riche. Séquence cinématique d'intro, le perso principal Rami se fait piquer son orbe pendant l'heure de la bouffe par un certaine Himiko. Notre héroïne (la plus cinglée d'entre toutes dixit le dos de la boite) tente de récupérer son bien. Transformation façon magical girl en bunny girl (après une tentative foiré du grand père), ne me demandez pas pourquoi : j'en sais rien. Remarque au passage, elle est complètement plate, 68 cm Selon le manuel. Pon intervient pour s'emparer à son tour de l'orbe, mais se fait exploser son vaisseau. Il parvient a s'enfuir avec les deux orbes (la premiere trouvé avec le plan et celle piqué à Rami, merci pour les deux qui suivent), mais laisse tomber le manuscrit. Ce dernier récupèré par l'héroïne lui permet de contrecarrer les plans du Raton (ha ha).
Bon, le jeu. Graphiquement, c'est très correct (surtout pour l’epoque, en 1996). Les décors, colorés et de qualité vont bien avec l'ambiance : kawaï et délirante (surtout les boss, qui sont certainement parmi les plus idiots que je n’ai jamais vu dans un jeu). Les sprites en revanche sont un poil pixellisés, mais bon, encore une fois, pour l'époque ça reste largement acceptable, et même après plus de 9 ans, ça ne choque pas.
Coté gameplay, cette fois, c'est un jeu de plate forme, mais avec des phases de shoot. Très simple, on saute sur les Sbires de Pon pour les éliminer, ou plutôt les faire passer a travers le décors, classique, ou encore en leur balançant des objets (qui servent aussi pour avancer dans le jeu, comme une main énorme pour appuyer un bouton afin d’ouvrir une porte). On récupère aussi des lapins dorés, 100 = une vie, classique aussi. Mais on peut également récupérer des armes, telle que le marteau, ou encore un parapluie, ils serviront aussi pour se protéger, à la manière d'un Sonic avec ses anneaux.
Par contre, on a droit a des scores assez bizarres, la première fois, j'ai eu un peu de mal a comprendre le principe, on peu en gagner comme en perdre, et si vous jouez comme un pied, vous passez à un niveau de la température de Pluton en plein hiver (je n'ai pas atteint la limite). Ils serviront pour débloquer des scènes.
Les séquences shmup sont vraiment cool et me font penser à la série des Parodius, la musique y est vraiment très proche d'ailleurs.
Le seul petit point noir du jeu est la maniabilité, Rami glisse et parfois c'est dur a contrôler, déjà que le jeu est plutôt difficile (les continues aident beaucoup) ce qui est parfois énervant.
Un bon jeu donc, bien délirant (surtout si vous avez envie de casser du raton laveur :p), même si il peut être un peu frustrant certains moments.
Par lectorat le 18 décembre 2005, 02:01 - Jeux vidéo - Lien permanent
Commentaires
Il fait partie des jeux que je recherche dans les foirs aux puces avec panzer dragoon & d'autre chmup.
La chasse au raton laveur surdoué est moins rythmé, et la reprise trais pour trais de l'univers manque d'originalité. Bouh!