Par The Awesome Nigger Jew Of Death.

Nazisme et pédophilie sont les deux mamelles de l'internet. Ici, on parle pas vraiment de ça, on parle de Rule of Rose, un jeu ps2 plutôt sympa. Sauf que tu vas voir, intrinsèquement, cet article concerne beaucoup l'un et un peu l'autre (comme ça, cadeau). Alors toi, jeune lecteur fou, tu cliques là et tu lis ma super critique qui va te bouleverser au plus profond de ton être.

Du temps de grand papy, les jeunes avaient la vie belle. Ils branlaient rien de la journée et passaient leur temps libre à la guerre contre les boches. Aujourd'hui, on se fait chier, on bosse pour réussir et on pense à la planète avant sa gueule. Nous devenons japonais, et tout comme eux, nous compensons notre existence misérable par une vie sexuelle débridé. Etsilihin garde toujours Rapelay dans un recoin du DD (n'ayant rien à se prouver, nous avons su remplacer ces individu socialement gênant que sont les filles par un ordi et une forte souplesse dorsale), moi, je préfère taper dans le jeu jap bien weird. Ouais, comme Rule of Rose.


Meuh non, le monde n'est pas sur le point d'exploser. Ce n'est qu'une baleine volante.

Rule of Rose, on me l'a vendu simulateur de viol et torture sur fillette de 5 ans. Concept absolument génial s'il en est. Mais, et c'est une vérité très importante, il ne faut jamais faire confiance aux gens de droite ! Rule of Rose n'est pas le jeu à branlette ultime, c'est un survival-horror. Un survival-horror, c'est un jeu dont la qualité du gameplay se mesure par le nombre de défauts compris dans celui-ci. Plus c'est merdique, plus les fans trouveront ça génial. Et Rule of Rose, c'est un peu LE survival-horror. Comme dans tout bon jeu du genre, tu passes ton temps à faire des aller retour tout en esquivant les monstres car ceux-ci sont vraiment trop chiant à combattre. Sauf qu'ici, c'est poussé à son paroxysme, tu finis par en chialer tellement tu stresses parce tu sais que le moindre petit streum va t'en faire baver et qu'ils sont super nombreux ces bâtards.


Tant d'espoir qui s'envole. Bernard Depierre, j'espère que tu seras pendu pour ça.

Mais les monstres, ça va, dans la plupart des cas, tu fuis et c'est bon. Sauf qu'il y'a les boss, et dans Rule of rose, les boss, c'est quelque chose d'absolument magnifique. Toi, t'es la petite fille toute timide et faiblarde passant sa vie à se faire persécuter par ses copines (dieu sait que le gameplay rend bien ça). Pour te battre, tu as récupérer une FOURCHETTE, et comme tu supporte pas trop la vue du sang, TU TE CACHES LES YEUX TOUT EN DÉTOURNANT LA TÈTE A CHAQUE COUP PORTE qui, forcement, rates une fois sur deux (oui c'est merveilleux). En face, t'as un gros vilain rapide, fort, ultra résistant qui arrive à te toucher même quand t'es dans son dos, ce qui est un peu dommage vu que c'est à peu près le seul endroit atteignable étant donné sa porté. Techniquement, ce n'est pas si dur, les affreux ne demande pas de méga techniques de folie ultra complexe à maitriser, il suffit d'un peu de rigueur pour les terrasser, mais c'est long, looooong, et terriblement chiant.


Ne rêve pas gentil papillon. Ce flingue, tu ne l'aura qu'après avoir vaincu le dernier boss... et avec une seule balle.

Rule of Rose, c'est le jeu qui veut pas que tu l'aime même s'il est bien. Raton disait ça de Killer 7, mais Raton est une tapette. Killer 7, c'est du easy gaming, le gameplay est quasiment fun et les graphismes claquent peut être la rétine, mais au moins t'y distingue quelque chose. Parce que voilà, Rule of Rose est beau, mais faut bien se concentrer pour le voir. Choisir sa palette de couleur tout en nuance de marron, c'est cool quand c'est next gen, que la résolution te permet de voir que c'est censé représenter quelque chose. Dans rule of rose, c'est juste marron, alors tu te ballade dans des couloirs marrons, puis t'entre dans des salles tout aussi marron, peut être un peu plus foncé, mais pas beaucoup, parce que t'y vois rien dans tout les cas vu que rule of rose a pété les plonds sur la luminosité. Alors, tu montes la luminosité a fond, et t'y vois un peu. Tu monte aussi celle de la télé, et là ça y'est, t'y vois, mais c'est devenu moche tellement les couleurs sont fade. Pour finir, tu rebaisses la luminosité, t'y vois rien, mais au moins, les rares lumières sont belles.
Scénaristiquement, pareil. C'est du bon, mais la narration déstructuré et l'absence de mise en scène ne motive pas des masses à avancer. Le jeu dure 8 heures -6 pour les mytho qui cherche a se la péter, 10-12 pour les looser honnêtes- et j'ai mis une année à le finir. Dur !


Diana. Dans le monde idéal, toutes les filles ont 13 ans et te ressemble.

Certes, j'y crache dessus, mais rule of rose peut te plaire lecteur. Déjà, si t'es un débile aimant les survivals, c'est direct un peu ton Saint Graal. Et même si comme moi, t'es un joueur sain d'esprit et de corps, tu peux aimer. Pour savoir, mates ce trailer. Ça te fait bander ? Et en plus, t'es sasuke-kun version geek, un guerrier ninja du vidéo-ludique ? Bah trouve le et tu vas kiffer ta vibes. Ce jeu, c'est un bad trip : le cauchemars pendant, mais une fois fini, t'es super content et t'as créer un max de souvenirs qui égayeront les soirées de tes petits enfants. Ouais, comme papy avec Auschwitz.