Bizarre, vous avez dit Bizarre?
Par Torog, qui écrit pour la première fois pour l'Editotaku
Parmi les joyeuses étrangetés du monde de la Japanime, il y en a certaines qui marquent plus particulièrement. En 1987, un certain Hirohiko Araki débute l'une des plus grandes sagas du monde shonen, grand succès au Japon, grand oubli en France.
Ouais, mais pourquoi c'est pas connu alors gars, si tu nous dit que c'est aussi célèbre? Quelques raisons simples à celà.
- Quasiment pas adapté en anime, et dieu sait qu'en France, pour qu'un shonen marche, faut qu'il y ait son adaptation à rallonge associée pour lobotomiser les foules.
- Des persos aux poses bizarres, avec des gros muscles et des bouches de poulpe. On a souvent surnommé le manga le "Ken le Survivant Gay"...
- Pas vraiment de fan-support via le net, à part sur d'obscurs sites italiens.
- Une histoire et des situations VRAIMENT étranges.
Passer d'un coup d'une histoire horrifique, à une double-page ou les héros vont faire leurs courses dans une nurserie et où l'auteur détaille les différents types de tétines existantes. Tomber sur une histoire de bataille de pâtes utilisés comme projectiles meurtriers dans un restaurant italien. Ou un duel qui se règle via une course de chars sur des chevaux zombies-géants-enragés dans des ruines antiques nichées au coeur des montagnes suisses. Ou encore une partie de dé truquée ou l'un des dés est un extraterrestre qui finit par dégueuler à force de le secouer.
Tout ça c'est Jojo's Bizarre Adventure. Et le pire, c'est que ça se tient.
Toute la série baigne ainsi dans cette atmosphère de folie douce. L'auteur prend plaisir à nous prendre ainsi par surprise, avec de nombreux rebondissements inattendus, grâce au cocasse des situations inhabituelles. Ici, point de "Je me relève pour mes amis, pour ma connasse de Déesse et pour que tout les lecteurs m'adulent, moi Duconryu". Les héros s'en sortent toujours en exploitant les failles de leur environnement, de leur adversaire, voire en se comportant comme des lâches. On va même jusqu'à poser au lecteur un QCM pour lui demander comment d'après lui, le héros va bien pouvoir se démerder. Sisi.
Pour ajouter à l'étrangeté, l'auteur à pris pour habitude de nommer des personnages, esprits et attaques d'après le nom de chanteurs ou de groupe connus. En vrac il y a donc Aerosmith, Metallica, Limp Bizkit, GreenDay, ACDC, Santana, pour ne citer qu'eux.
Et Polnareff. Jean-Pierre Polnareff.
Oui vous avez bien lu. Et oui celà vient bien de notre Michel national, ceux qui ont vu le documentaire dédié à Araki sur Nolife ont eu la confirmation de la bouche même de l'auteur. Snif. Sébastien Rucher, même qu'il a une dédicace d'Araki au mur de son bureau. Re-Snif.
Ouais, avec ça, vous avez toujours pas plus d'idée de quoi ça peut bien parler, non ?
Jojo's Bizarre Adventure narre sur plus d'un siècle l'histoire de la famille Joestar et de ses descendants. Chaque héros est ainsi surnommé Jojo, par l'association entre son nom et son prénom (Jonathan Joestar, Joseph Joestar, Jotaro Kujo, Giovana Giorno, etc). Contrairement aux autres shonens à rallonge, l'originalité de la série tient du fait que celle-ci est découpée en "saisons" suivant chacune un membre de ladite famille. A chaque saison, nouvelle intrigue, nouveaux lieux, nouveaux protagonistes, avec des caméos de personnages d'anciennes parties ce qui fait qu'on ne se lasse jamais de se replonger dans une nouvelle partie, et que l'on peut tout à fait prendre le manga en cours. Ce qui maintient la cohérence entre ces parties, c'est la construction de l'univers et de sa mythologie, ainsi que le destin extraordinaire de cette famille hors du commun. Les synopsis en accéléré :
Partie 1 - Phantom Blood - Fin du 19ème siècle. Deux frères adoptifs au coeur de l'angleterre victorienne, dans une lutte pour un héritage familial. L'introduction d'un mystérieux masque de pierre sud-américain va faire virer l'histoire sous un aspect de "je dois sauver le monde", avec une ambiance gothique à souhait.
Partie 2 - Battle Tendancy - Les années 30. Un voyage barré autour du monde avec une forte inspiration d'Indiana Jones, du Kung-Fu, des nazis robotisés, des demi-Dieux, et ce genre de délires...
Partie 3 - Stardust Crusaders - Fin des années 80. La plus célèbre de toutes, celle qui a d'ailleurs été adapté en anime (13 OAV). Gros succès probablement dû au fait que le héros est un Japonais froid et très stylé (Pfff ces japs, un rien les fait bander...). Un voyage exotique tout au long de l'asie du Sud, du Japon jusqu'en Egypte, avec une progression très très shonen, du type "le prochain méchant sera encore plus fort que le suivant"
Partie 4 - Diamond is not Crash - Fin du 20ème siècle. La vie tranquille des habitants d'une petite ville Japonaise, entre histoires lycéennes, délires barrés et tueurs en série, une partie très personnelle pour l'auteur qui y représente sa vision personnelle de la ville ou il aurait aimé vivre étant gosse. Avec un super-vilain qui n' a strictement RIEN à envier au Kira de Death Note. Bien au contraire en fait.
Partie 5 - Golden Wind - Début du 21ème siècle. Guerre de gangs entre mafieux avec super-pouvoirs en Italie. Des persos tout droits sortis de l'esprit d'un Christian Dior qui aurait fumé onesaitpasquoi. L'auteur revient une fois de plus sur un pays qu'il affectionne vachement.
Partie 6 - Stone Ocean - L'évasion spectaculaire en 2011 d'une prison de haute-sécurité. J'aiPasLu.
Partie 7 - Steel Ball Run - Fin du 19ème. La légendaire course qui parcourt les USA d'Ouest en Est est sur le point de débuter. Certains participants le font à cheval, d'autres en Dromadaire, d'autres encore... à pied... Sans compter les super-pouvoirs bien sûr.
Pour le coup, déja on remarque que non seulement ça ne se passe pas dans un lycée Japonais mais qu'en plus les héros ne sont pas non plus forcément de là-bas. Dans un magazine comme le Jump où la quasi-totalité des séries sont fortement typées, c'est assez inédit.
De surcroit, débuter l'une des parties avec l'un des personnages principaux qui fait une béquille à un petit nippon en gueulant "Saletés de japonais, je les déteste!", fallait l'oser également.
Les influences qu'à eu Jojo's sont nombreuses. L'auteur de YugiOh en est fan, l'auteur de Shaman King plus encore (Le système des fantômes est une repompe des Stands de Jojo's), Hunter X Hunter et la loi d'Ueki également, pour ne citer qu'eux.
Les 2 premières parties utilisent ainsi un système d'énergie nommé "Onde" dont sera plus tard inspiré le Nen d'HxH. Une grande tradition shonenique (Cosmos, Chakra, Furyoku, Nen, Frosties, etc) qui va vite s'effacer au profit des "Stands" à partir de la 3ème partie, qui vont être la clé grâce à laquelle l'auteur va pouvoir se livrer à tout les délires voulus, celà lui permettant de justifier n'importe quel pouvoir utilisé.
Personnellement, ça fait juste un peu chier qu'il arrête pas de nous fourrer des coeurs partout dans le chara-design de ses persos ou de ses Stands. Là pour le coup ça fait vraiment gayzouter ses persos.
Sinon, c'est quand même vachement sympa à lire.
Alors voilà, si cet article à réussi à piquer votre curiosité, précipitez-vous chez votre libraire pour vous payer la 5ème partie éditée chez Tonkam, faire les brocantes ou les bibliothèques des potes pour dégotter les 47 tomes précédents chez J'aiLu, ou profiter honteusement de Déclic Images pour vous procurer le coffret collector de l'intégrale des OAV à un tout petit prix.
(Ah oui, désolé, j'ai pas joué aux jeux vidéos adapté de la série. Mais y'en a eu, hein)
Parmi les joyeuses étrangetés du monde de la Japanime, il y en a certaines qui marquent plus particulièrement. En 1987, un certain Hirohiko Araki débute l'une des plus grandes sagas du monde shonen, grand succès au Japon, grand oubli en France.
Ouais, mais pourquoi c'est pas connu alors gars, si tu nous dit que c'est aussi célèbre? Quelques raisons simples à celà.
- Quasiment pas adapté en anime, et dieu sait qu'en France, pour qu'un shonen marche, faut qu'il y ait son adaptation à rallonge associée pour lobotomiser les foules.
- Des persos aux poses bizarres, avec des gros muscles et des bouches de poulpe. On a souvent surnommé le manga le "Ken le Survivant Gay"...
- Pas vraiment de fan-support via le net, à part sur d'obscurs sites italiens.
- Une histoire et des situations VRAIMENT étranges.
Passer d'un coup d'une histoire horrifique, à une double-page ou les héros vont faire leurs courses dans une nurserie et où l'auteur détaille les différents types de tétines existantes. Tomber sur une histoire de bataille de pâtes utilisés comme projectiles meurtriers dans un restaurant italien. Ou un duel qui se règle via une course de chars sur des chevaux zombies-géants-enragés dans des ruines antiques nichées au coeur des montagnes suisses. Ou encore une partie de dé truquée ou l'un des dés est un extraterrestre qui finit par dégueuler à force de le secouer.
Tout ça c'est Jojo's Bizarre Adventure. Et le pire, c'est que ça se tient.
Toute la série baigne ainsi dans cette atmosphère de folie douce. L'auteur prend plaisir à nous prendre ainsi par surprise, avec de nombreux rebondissements inattendus, grâce au cocasse des situations inhabituelles. Ici, point de "Je me relève pour mes amis, pour ma connasse de Déesse et pour que tout les lecteurs m'adulent, moi Duconryu". Les héros s'en sortent toujours en exploitant les failles de leur environnement, de leur adversaire, voire en se comportant comme des lâches. On va même jusqu'à poser au lecteur un QCM pour lui demander comment d'après lui, le héros va bien pouvoir se démerder. Sisi.
Pour ajouter à l'étrangeté, l'auteur à pris pour habitude de nommer des personnages, esprits et attaques d'après le nom de chanteurs ou de groupe connus. En vrac il y a donc Aerosmith, Metallica, Limp Bizkit, GreenDay, ACDC, Santana, pour ne citer qu'eux.
Et Polnareff. Jean-Pierre Polnareff.
Du Polnareff sur l'Editotaku, c'est pas courant.
Oui vous avez bien lu. Et oui celà vient bien de notre Michel national, ceux qui ont vu le documentaire dédié à Araki sur Nolife ont eu la confirmation de la bouche même de l'auteur. Snif. Sébastien Rucher, même qu'il a une dédicace d'Araki au mur de son bureau. Re-Snif.
Ouais, avec ça, vous avez toujours pas plus d'idée de quoi ça peut bien parler, non ?
Jojo's Bizarre Adventure narre sur plus d'un siècle l'histoire de la famille Joestar et de ses descendants. Chaque héros est ainsi surnommé Jojo, par l'association entre son nom et son prénom (Jonathan Joestar, Joseph Joestar, Jotaro Kujo, Giovana Giorno, etc). Contrairement aux autres shonens à rallonge, l'originalité de la série tient du fait que celle-ci est découpée en "saisons" suivant chacune un membre de ladite famille. A chaque saison, nouvelle intrigue, nouveaux lieux, nouveaux protagonistes, avec des caméos de personnages d'anciennes parties ce qui fait qu'on ne se lasse jamais de se replonger dans une nouvelle partie, et que l'on peut tout à fait prendre le manga en cours. Ce qui maintient la cohérence entre ces parties, c'est la construction de l'univers et de sa mythologie, ainsi que le destin extraordinaire de cette famille hors du commun. Les synopsis en accéléré :
Partie 1 - Phantom Blood - Fin du 19ème siècle. Deux frères adoptifs au coeur de l'angleterre victorienne, dans une lutte pour un héritage familial. L'introduction d'un mystérieux masque de pierre sud-américain va faire virer l'histoire sous un aspect de "je dois sauver le monde", avec une ambiance gothique à souhait.
Partie 2 - Battle Tendancy - Les années 30. Un voyage barré autour du monde avec une forte inspiration d'Indiana Jones, du Kung-Fu, des nazis robotisés, des demi-Dieux, et ce genre de délires...
Partie 3 - Stardust Crusaders - Fin des années 80. La plus célèbre de toutes, celle qui a d'ailleurs été adapté en anime (13 OAV). Gros succès probablement dû au fait que le héros est un Japonais froid et très stylé (Pfff ces japs, un rien les fait bander...). Un voyage exotique tout au long de l'asie du Sud, du Japon jusqu'en Egypte, avec une progression très très shonen, du type "le prochain méchant sera encore plus fort que le suivant"
Partie 4 - Diamond is not Crash - Fin du 20ème siècle. La vie tranquille des habitants d'une petite ville Japonaise, entre histoires lycéennes, délires barrés et tueurs en série, une partie très personnelle pour l'auteur qui y représente sa vision personnelle de la ville ou il aurait aimé vivre étant gosse. Avec un super-vilain qui n' a strictement RIEN à envier au Kira de Death Note. Bien au contraire en fait.
Partie 5 - Golden Wind - Début du 21ème siècle. Guerre de gangs entre mafieux avec super-pouvoirs en Italie. Des persos tout droits sortis de l'esprit d'un Christian Dior qui aurait fumé onesaitpasquoi. L'auteur revient une fois de plus sur un pays qu'il affectionne vachement.
Partie 6 - Stone Ocean - L'évasion spectaculaire en 2011 d'une prison de haute-sécurité. J'aiPasLu.
Partie 7 - Steel Ball Run - Fin du 19ème. La légendaire course qui parcourt les USA d'Ouest en Est est sur le point de débuter. Certains participants le font à cheval, d'autres en Dromadaire, d'autres encore... à pied... Sans compter les super-pouvoirs bien sûr.
Star Platinum, Crazy Diamond, Gold Experience, Stone Free. Rien que ça
Pour le coup, déja on remarque que non seulement ça ne se passe pas dans un lycée Japonais mais qu'en plus les héros ne sont pas non plus forcément de là-bas. Dans un magazine comme le Jump où la quasi-totalité des séries sont fortement typées, c'est assez inédit.
De surcroit, débuter l'une des parties avec l'un des personnages principaux qui fait une béquille à un petit nippon en gueulant "Saletés de japonais, je les déteste!", fallait l'oser également.
Les influences qu'à eu Jojo's sont nombreuses. L'auteur de YugiOh en est fan, l'auteur de Shaman King plus encore (Le système des fantômes est une repompe des Stands de Jojo's), Hunter X Hunter et la loi d'Ueki également, pour ne citer qu'eux.
Les 2 premières parties utilisent ainsi un système d'énergie nommé "Onde" dont sera plus tard inspiré le Nen d'HxH. Une grande tradition shonenique (Cosmos, Chakra, Furyoku, Nen, Frosties, etc) qui va vite s'effacer au profit des "Stands" à partir de la 3ème partie, qui vont être la clé grâce à laquelle l'auteur va pouvoir se livrer à tout les délires voulus, celà lui permettant de justifier n'importe quel pouvoir utilisé.
Personnellement, ça fait juste un peu chier qu'il arrête pas de nous fourrer des coeurs partout dans le chara-design de ses persos ou de ses Stands. Là pour le coup ça fait vraiment gayzouter ses persos.
Sinon, c'est quand même vachement sympa à lire.
Alors voilà, si cet article à réussi à piquer votre curiosité, précipitez-vous chez votre libraire pour vous payer la 5ème partie éditée chez Tonkam, faire les brocantes ou les bibliothèques des potes pour dégotter les 47 tomes précédents chez J'aiLu, ou profiter honteusement de Déclic Images pour vous procurer le coffret collector de l'intégrale des OAV à un tout petit prix.
(Ah oui, désolé, j'ai pas joué aux jeux vidéos adapté de la série. Mais y'en a eu, hein)
Par lectorat le 19 juillet 2008, 14:59 - Japanime - Lien permanent
Commentaires
L'un des plus sous-évalué aussi. Pourquoi des shonen médiocres comme naruto ont 36 team de scantrad dans chaque pays, mais qu'on a un nouveau chapitre de Stone Ocean ou Steel ball run tous les 6 mois ? (ceci est une question rhétorique.)
Sinon l'OAV est assez inégale, que ce soit en qualité d'adaptation ou d'animation (les 7 chronologiquement premiers épisodes ont été réalisés plusieurs années après les 6 derniers), ça ne vaut pas le manga (on a l'habitude de dire ça pour beaucoup de séries, mais dans ce cas c'est très vrai.) Malgré ça, le dernier épisode est totalement epic à tout point de vue (surtout pour quelque chose fait au début des années 90), y'a du MUDAMUDAMUDA vs ORAORAORA, du ZA WARUDO et rien que pour cet épisode ça vaut le coup de voir ces OAV. Et le prix de l'édition collector VOSTFR est tellement bas que c'en est indécent de passer à côté.
Sinon y'a aussi eu un film l'année dernière qui adaptait Phantom of blood.
Niveau shonen pour moi y a pas mieux avec Hokuto no Ken, et aujourd'hui y a rien pour prendre la relève de ces deux mangas (naruto ?, bleach ?, de la pur m$rd$ pour moi, enfin y a ptete Gantz qui ce détache du lot apres quelque tomes passsé).
Les personnages, les combats, l'ambiance, le dessin, c'est top, exagérer, mais toujours ultra stylé dans jojo.
Bref, en parlan des OAV (excellents), j'ajoute une mention spéciale pour l'episode avec D'Arby : MYTHIQUE, du pur jojo, avec aussi un DIO completement dingue, qui le place au rang des personnages ABSOLUMENT vilain de manga bien en haut du podium.
Donc a voir, a lire.
Pourtant, Ken le survivant aussi est gay.
Jojo's ou la fine fleur du shonen action de ces dernières années, de même que le concept des stands est surement l'une des meilleures idées introduite dans ce genre de mangas.
Et fuck yeah le passage avec d'Arby, un "combat" d'anthologie dans l'univers des shonen, comme quoi savoir jouer ses cartes finement est plus important que les cartes elles-même.
Ca donne une idée de comment les combats sont aux antipodes d'un calcul de power level qui tourne à la surenchère mais de savoureuses confrontations où chaque participant utilise ses capacités à bon escient.
http://dossiers.cyna.fr/joj...
Bon, il y a quand même un forum dédié et assez animé que j'ai trouvé : http://jojobizarreadventure...
Mais rien de comparable au fan-support dont bénéficient la plupart des autres shonens.
Le dossier sur Cyna a de nombreuses similitudes avec le livret de Déclic Images tout simplement parce que... c'est le même auteur qui est aux commandes : moua. Le dossier "Jojo" sur Cyna n'est qu'une version réduite, de vugarisation, taillée dans le dossier originellement rédigé pour Déclic Images il y a de cela bien des années. D'où les passages en communs. A l'époque où j'écrivais encore pour Cyna, j'avais très souvent mis à la disposition des internautes des versions "alternatives" (ou réduites) des dossiers que j'avais pu écrire pour des éditeurs ou magazines.
Mais euh, comment pouvait-on le savoir aussi ? ^^
Un élément qui n'est pas abordé dans ce dossier su Jojo est que justement la tactique devient de plus en plus importante à partir de la troisième partie. Dans la troisième partie, les stands ont des pouvoirs "directs" (j'te frappe bien fort, j'envoie du feu, j'ai une épée, etc.). Dès la quatrième partie, les pouvoirs des stands prennent tout leur essor en fonction des conséquences et c'est une voie que Araki ne quittera plus, dans la cinquième et sixième partie, les stands ne sont (quasiment) plus utilisés de façon directe, il y a toujours une grande part de stratégie et de calcul préalable à l'utilisation d'un pouvoir.
(je l'avais dl mais je l'ai malencontreusement perdu...)
Je viens de terminer la Partie 4 de jojo bizarre adventure , uniquement
en scans anglais , vu la difficulté
de se procurer l ' edition " j ' ai lu " , du moins à un prix raisonnable .
D ' ailleurs si quelqu 'un sait ou se les procurer , qu 'il m ' envoit un email. Ma partie préférée reste en tout cas la 3 , trés rythmée et avec
des paysages exotiques , et l ' introduction des fameux stands .
Quand à Jotaro oui il est trés classe .
C ' est quand même incompréhensible
que cette serie n ' ai pas marché en France . Si il y avait eu un anime diffusé dans le club do , je suis sur
que ce manga aurait été un carton .
les OAV sont de qualité correcte
mais on as du mal à retrouver le chara design d ' Araki ...Jotaro as parfois l ' air d ' avoir 30 ans alors qu 'il en 17 .
Pour les coeurs je crois que le mangaka est gay , ceci explique cela , Dio avec un coeur c ' est assez bizarre , c 'est le cas de le dire .
Il y ' as un film phantom blood
qui est sorti l ' année derniére
mais toujours pas sorti en DVD .
pareil pour l ' edition Kanzenban de la premiére partie .
Tout ce qui est Jojo est rare à trouver c ' est dommage .
Le Hokuto no Ken gay? Je pense pas, mais l'auteur joue de cette idée à la fin du combat contre White Album.
C'est vrai que les coeurs y en a partout à partir de la saison 4 et que ça fait vachement tarlouze mais heureusement l'originalité est là et c'est ça la force de Jojo. Et je me demande toujours pourquoi Jojo n'a pas le succès qu'il mérite car tant de mangaka s'en inspire et dans Heroes même si je déteste Hiro.
Bonjour à tous!
Je suis totalement d'accord avec tout le monde...^^ ( Et non je ne fais pas de politique)
J'aime beaucoup l'expression "Gayzouter" qui correspond totalement à l'ambiance de la Série ( par contre je suis pas d'accord; si on enleve les Coeurs et les Coccinelles ca ressemblerait beaucoup trop à Ken le Survivant.)
Pour finir c'est l'ensemble (situations bizarres, personnages grotesques humour barré- voire blagues scatos qui rendent cette série interessante)
Et pis j'en ai marre des mangas ou des p'tits jeunes sauvent le monde en donnant des coups de boules à des extraterrestres stéroidés...
AAAAAAAA punaise que j'suis content de voir ke je sui pas le seul...quand on lit JBA on s'di "M...mais...c'est q...q...comment sa ce fait que personne connait je...j T-T" fin voila quoi c super frustrant pck c'est vraiment un chef d'oeuvre avec plin de références cinématographique comme dans la 3éme partie avec le stand voiture ou une scéne fait référence au film de spielberg "DUEL" ou encore avec le mec qui rajeunit les gens quand poolnareff se cache dans une piece et que le méchant péte la porte a coup de hache et passe sa tête dans le trou, la c'est en rapport avec "Shinning" de Kubrick!!!! Pour moi c'est LE shonen LA référence dans le genre et ce ki m'a le plus plu quand même c'est (sa a déja été dit mé je le répéte) l'absnce de dialogue tel que:"HAHAAAAA sacripan je t'est térassé avec ma super technique ultra secrete aprise par mon sen...hein mais...u n'ai pas mort?! OH NOOOOOOO!!
Grace a la force de l'amitié je survivré je doit proteger mais amis c'est mon devoiiiiiiiir! je me reléverai toujours pour mes amiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!" fin voila quoi vous voyez le genre!
(PS: ma partie préféré c'est la 2eme(jadore ossi lé otre))
Pour l'arc don la sexualité de jojo est douteuse est le 2ème "Battle Tendancy" avec Joseph Joestar, sinon l'histoire les autres histoires sont extras
Juste un up pour dire que Jojo a eu les parties 1-5 en anime, et le reste vont probablement venir. Faudrait que ce soit dit après tout!
Eh oui! Ça fait bizarre de relire ça après tant d'années, vu que maintenant y a un anime fidèle et qu'un paquet de gens connait enfin Jojo comme il se doit xD
Et que le Manga, 12 ans après, n'est toujours pas fini. Faut que je me remette à Jojolion moi d'ailleurs, j'ai quelques tomes de retard...