Deepuu Fearuuu
Je viens de me rendre compte que je vous ai parlé de Deep Fear, un jeu Saturn méconnu (comme 99% de ses frangins) sans même en raconter sur lui. Corrigeons cela...
C'est un BioHazard(Resident Evil)-like. On vous lâche dans un monde peuplé de monstres tentaculaires causés par un virus mutant, de cartes magnétiques qui ouvrent des portes et de flingues à utiliser lesdits monstres. Rien de spécial, mhhh? Mais voilà le point qui tue: l'aventure se déroule dans une base sous-marine, pas loin d'un submersible armé d'ogives nucléaires. Et voilà que vous pensez au film Abyss. Pour pimenter le tout, vous avez un gros nombre écrit en haut à droite de l'écran. Ce n'est pas votre énergie, ce n'est pas votre stock de munitions... C'est l'oxygène restant dans la salle où vous êtes, histoire de ne pas stagner. Et oui. Alors si vous n'aimez pas les monstres, vous avez Resident Evil. Si vous n'aimez pas les ambiances claustro, les problèmes de respiration et les monstres, vous avez Deep Fear.
Le jeu (2 CD) est sorti peu après RE auprès d'un public restreint: pas de diffusion US et très peu d'exemplaires EUR. Tout comme pas mal de jeux Saturn, d'ailleurs - qui a dit Panzer Dragoon Saga? La musique est signée Kenji Kawai, le même qui a fait la bande-son de Blue Seed ou Ghost In The Shell.
Deep Fear assume sans complexe son héritage BioHazardesque: les mêmes questions à la con (“voulez-vous monter à l'échelle? Oui/Non”, “Vous êtes en train de saigner comme un porc et vous allez mourir, voulez-vous prendre ce medikit? Oui/Non”...), votre capitaine se nomme Clansy (une “faute de frappe” dans certains dialogues l'appelle même Clancy!), et le gameplay se résume à “trouver clé, ouvrir porte”. Il n'empêche qu'on adhère vraiment à son histoire, ses personnages, et que les menus ajouts au système de jeu de la saga Capcom me font passer un bon moment.
C'est un BioHazard(Resident Evil)-like. On vous lâche dans un monde peuplé de monstres tentaculaires causés par un virus mutant, de cartes magnétiques qui ouvrent des portes et de flingues à utiliser lesdits monstres. Rien de spécial, mhhh? Mais voilà le point qui tue: l'aventure se déroule dans une base sous-marine, pas loin d'un submersible armé d'ogives nucléaires. Et voilà que vous pensez au film Abyss. Pour pimenter le tout, vous avez un gros nombre écrit en haut à droite de l'écran. Ce n'est pas votre énergie, ce n'est pas votre stock de munitions... C'est l'oxygène restant dans la salle où vous êtes, histoire de ne pas stagner. Et oui. Alors si vous n'aimez pas les monstres, vous avez Resident Evil. Si vous n'aimez pas les ambiances claustro, les problèmes de respiration et les monstres, vous avez Deep Fear.
Le jeu (2 CD) est sorti peu après RE auprès d'un public restreint: pas de diffusion US et très peu d'exemplaires EUR. Tout comme pas mal de jeux Saturn, d'ailleurs - qui a dit Panzer Dragoon Saga? La musique est signée Kenji Kawai, le même qui a fait la bande-son de Blue Seed ou Ghost In The Shell.
Deep Fear assume sans complexe son héritage BioHazardesque: les mêmes questions à la con (“voulez-vous monter à l'échelle? Oui/Non”, “Vous êtes en train de saigner comme un porc et vous allez mourir, voulez-vous prendre ce medikit? Oui/Non”...), votre capitaine se nomme Clansy (une “faute de frappe” dans certains dialogues l'appelle même Clancy!), et le gameplay se résume à “trouver clé, ouvrir porte”. Il n'empêche qu'on adhère vraiment à son histoire, ses personnages, et que les menus ajouts au système de jeu de la saga Capcom me font passer un bon moment.
Voilà, voilà, tel est Deep Fear le méconnu. Notez que je suis arrivé à blogger sur du Resident Evil-like sans relancer le débat “Capcom s'est fait un fric fou en vendant à des djeunz' bouffeurs de PSX une repompe éhontée d'Alone In The Dark” ou mon grand complexe “je hais tous les Resident Evil sauf Code Veronica, et je n'arrive pas à adhérer à leur gameplay foireux. Même Onimusha me fait gerber”.
Par Raton-Laveur le 10 août 2003, 23:25 - Jeux vidéo - Lien permanent
Commentaires
Et c'est quoi alors Deepuu Fearuu.....?
Dis-je à qqun qui est en train d'écrire son article à ce moment meme.