That's all folks
Mince, je pensais que je pourrais poster ça avant minuit. Tant pis.
Fini Max Payne 2. J'ai dû franchement me forcer à boucler le jeu; encore une fois, ça n'aurait pas été pour savoir la fin de l'histoire, il se serait mangé une désinstallation dans la tête depuis longtemps.
Au final: le gameplay est toujours aussi pourri. Reprendre 50 fois sa sauvegarde pour passer une salle est toujours une réalité dans ce deuxième épisode, dévorer plus de médicaments que Michael Jackson aussi. On a toujours les portes qui s'ouvrent par magie, l'intelligence artificielle qui triche, les ennemis aux munitions illimitées...
Ce qui m'amène à parler du boss final. Les deux derniers niveaux en soi sont pimpants d'action bien comme il faut, mais le boss, nom de Dieu, le boss... Vous vous souvenez du premier Max Payne? Pour ceux qui n'ont pas connu: il n'y avait pas de combat. Tout ce qu'il fallait faire, c'était résoudre un “puzzle”; et un puzzle, dans les Max Payne, ça consiste à trouver où tirer. Si vous êtes dans une impasse, cherchez juste où il faut shooter, ça marche tout le temps. Donc, à la fin du premier jeu, il fallait tirer sur quatre câbles qui tenaient une antenne. Cette dernière s'effondrait sur l'hélico de la vilaine-méchante, générique, fin. Pas de combat plein de bullet time, pas d'action, rien.
Dans Max Payne 2, vous avez le vilain-méchant qui se planque sur une plate-forme au sommet d'une verrière: il vous balance (infiniment) des bombes, vous ne pouvez même pas le voir car il est trop haut. Le voilà, ce combat final: rester planté dix mètres sous un mec que vous ne voyez pas et qui vous balance des explosifs comme des bonbons le jour de la Saint Nicolas.
Solution: tirer sur les câbles qui retiennent sa cabine. Wow, super original les mecs, c'est sûrement pour ça que le dernier niveau s'appelle “Un Sentiment Familier”. Ah tiens, il est pas mort. Il reste à dégommer les supports qui retiennent une antenne au-dessus de sa tête, la faisant tomber sur le vilain méchant, générique, fin.
Il s'agit tout simplement du pire combat de boss final que j'ai jamais connu. Du réchauffé anti-paroxysmique minable, voilà tout. Est-ce Max Payne 2 est un bon jeu? Non, absolument non. Vous pouvez avoir le même rush d'adrénaline avec le premier épisode qu'on peut trouver pour 10€. Si vous avez aimé le premier, devriez-vous prendre le second? Non.
Notez que si vous finissez le jeu en niveau de difficulté maximal, vous avez droit à une fin alternative. Dans tous les cas, à l'instar du premier épisode, le générique de fin annonce qu'une suite est prévue... Hey les mecs, le coup des sequels juste pour faire du fric et qui n'ajoutent rien, Lara Croft l'a fait avant vous et ça a fini par se voir.
Autre chose de trouvé dans les crédits: dans les noms des testeurs, on trouve les noms de George Broussard, Allen Blum et Scott Miller, tous trois gros pontes de 3D Realms (qui a participé à la préproduction des Payne). George Broussard en alpha-testeur de Max Payne 2?! Voilà un élément de réponse s vous vous demandez encore ce qui est arrivé à Duke Nukem Forever...
(en parlant de ça, un easter egg est reporté: à un moment du jeu, on peut entendre deux flics en train de discuter. L'un deux se nomme Broussard, et son collègue lui dit qu'il doit se dépêcher de finir ce qu'il a commencé s'il tient à garder sa réputation!)
Fini Max Payne 2. J'ai dû franchement me forcer à boucler le jeu; encore une fois, ça n'aurait pas été pour savoir la fin de l'histoire, il se serait mangé une désinstallation dans la tête depuis longtemps.
Au final: le gameplay est toujours aussi pourri. Reprendre 50 fois sa sauvegarde pour passer une salle est toujours une réalité dans ce deuxième épisode, dévorer plus de médicaments que Michael Jackson aussi. On a toujours les portes qui s'ouvrent par magie, l'intelligence artificielle qui triche, les ennemis aux munitions illimitées...
Ce qui m'amène à parler du boss final. Les deux derniers niveaux en soi sont pimpants d'action bien comme il faut, mais le boss, nom de Dieu, le boss... Vous vous souvenez du premier Max Payne? Pour ceux qui n'ont pas connu: il n'y avait pas de combat. Tout ce qu'il fallait faire, c'était résoudre un “puzzle”; et un puzzle, dans les Max Payne, ça consiste à trouver où tirer. Si vous êtes dans une impasse, cherchez juste où il faut shooter, ça marche tout le temps. Donc, à la fin du premier jeu, il fallait tirer sur quatre câbles qui tenaient une antenne. Cette dernière s'effondrait sur l'hélico de la vilaine-méchante, générique, fin. Pas de combat plein de bullet time, pas d'action, rien.
Dans Max Payne 2, vous avez le vilain-méchant qui se planque sur une plate-forme au sommet d'une verrière: il vous balance (infiniment) des bombes, vous ne pouvez même pas le voir car il est trop haut. Le voilà, ce combat final: rester planté dix mètres sous un mec que vous ne voyez pas et qui vous balance des explosifs comme des bonbons le jour de la Saint Nicolas.
Solution: tirer sur les câbles qui retiennent sa cabine. Wow, super original les mecs, c'est sûrement pour ça que le dernier niveau s'appelle “Un Sentiment Familier”. Ah tiens, il est pas mort. Il reste à dégommer les supports qui retiennent une antenne au-dessus de sa tête, la faisant tomber sur le vilain méchant, générique, fin.
Il s'agit tout simplement du pire combat de boss final que j'ai jamais connu. Du réchauffé anti-paroxysmique minable, voilà tout. Est-ce Max Payne 2 est un bon jeu? Non, absolument non. Vous pouvez avoir le même rush d'adrénaline avec le premier épisode qu'on peut trouver pour 10€. Si vous avez aimé le premier, devriez-vous prendre le second? Non.
Notez que si vous finissez le jeu en niveau de difficulté maximal, vous avez droit à une fin alternative. Dans tous les cas, à l'instar du premier épisode, le générique de fin annonce qu'une suite est prévue... Hey les mecs, le coup des sequels juste pour faire du fric et qui n'ajoutent rien, Lara Croft l'a fait avant vous et ça a fini par se voir.
Autre chose de trouvé dans les crédits: dans les noms des testeurs, on trouve les noms de George Broussard, Allen Blum et Scott Miller, tous trois gros pontes de 3D Realms (qui a participé à la préproduction des Payne). George Broussard en alpha-testeur de Max Payne 2?! Voilà un élément de réponse s vous vous demandez encore ce qui est arrivé à Duke Nukem Forever...
(en parlant de ça, un easter egg est reporté: à un moment du jeu, on peut entendre deux flics en train de discuter. L'un deux se nomme Broussard, et son collègue lui dit qu'il doit se dépêcher de finir ce qu'il a commencé s'il tient à garder sa réputation!)
Par Raton-Laveur le 25 octobre 2003, 00:41 - Jeux vidéo - Lien permanent
Commentaires
remets ce que tu viens de noter sur un autre site et c'est ta tête qui servira de boss au dernier niveau, pauvre cloche
quand on a pas les couilles pour être objectif, on se met du scotch sur la bouche et ON SE TAIT BORDEL