Water Closet - la critique
Ce qu'il y a de bien quand on écrit dans cette colonne, c'est que l'auteur cherche - sans prétention - à écrire le texte définitif sur le sujet abordé. Ce qui veut dire qu'il ne reviendra pas sur le sujet... et qu'il fait en sorte que ce soit aussi le cas de son lectorat. Il ne sait pas si les choses se déroulent ainsi, et il ne sait pas non plus pourquoi il parle à la troisième personne. Une chose est sûre, aussi bien pour vous que pour moi, ceci est l'article définitif sur Water Closet.
Au moins, on apprend des choses avec ce titre: nombreux sont ceux qui disent “je vais aux WC” sans même savoir ce que ces initiales veulent dire. Non, pas “Wing Commander”. Pas “Windows est à Chier” non plus. Le jeu s'appelle bien WC, dans le sens des toilettes. Tous ceux qui aiment les jeux vidéo sont tombés sur des titres débiles (vous ne trouvez pas qu'il y a une contradiction à atteindre l'épisode 12 d'une saga nommée Final Fantasy?), mais là, on tient vraiment un lauréat. Ou alors les auteurs ont eu une révélation, dont je tente de reproduire ici le fonctionnement intime:
Programmeur A: Hey, j'ai une idée pour notre prochain jeu!
Programmeur B: Encore un truc de cul?
A: Ben ouais, voyons! Avec des filles qui se font violer!
B: Comme c'est original.
A: Hummm... Faudrait faire un fantasme pas encore trop largement exploité par le hentai. Tentacules?
B: Nan.
A: Pédophilie?
B: Déjà pris.
A: Des femmes avec des zizis?
B: Prends un ticket et fais la queue.
A: Très drôle. Heuuu... Du porno-gore avec du sang et des explosions de corps partout?
B: Beurk.
A: Rien ne te plaît, tu me bandes à la fin! Tu fais chier!
B: Bander... Chier... J'AI UNE IDEE!
Quand vous lancez le jeu, la cinématique d'intro à elle seule vous fait réaliser la santé mentale de ses auteurs. Il s'agit de photos de chiottes. Beaucoup de photos, de plein de trônes différents, avec les lettres “W.C.” qui flashent devant vos yeux.
Oui, Water Closet est exactement ce à quoi vous pensez: un jeu hentai dont toutes les scènes ont lieu dans des toilettes, la majorité étant des viols. Sortez les dragées Fucca, va y avoir du sport.
Le gameplay est ultra-classique: blablablablabla-choix-blablabla-choix-blablabla*crac*boum*hue et rideau. Là où WC innove, c'est qu'il a une replay value: terminer le jeu avec une fin précise pour chaque fille ajoute un déroulement différent pour une autre. Du coup, on doit se retaper chacun des cinq scénarios au moins trois fois! Chose étrange, vous ne jouez pas le rôle d'une fille, vos choix étant directement ceux d'une histoire: pour choisir si la fille veut faire caca ou pipi, faut le faire.
Techniquement, c'est pas scandaleux pour un jeu hentai: l'interface est un charme, les CGs et le chara design sont plus que corrects et les voix sont convaincantes (mais la voix de Shoko, la mère de famille, fait vraiment vieille peau stressée... Comme celle qui hurle “Gomenasai!” dans Fruits Basket). Sauf que c'est la première fois que j'ai vraiment pensé aux pauvres filles qui ont enregistré autant d'horreurs pour un jeu qui ne pouvait que flinguer leur carrière en plein vol; sûrement des lycéennes recrutées à la sortie de leur lycée. Vous pouvez pas savoir ce que les lycéennes nipponnes sont prêtes à faire pour un peu de cash... Bref.
Vous avez donc le choix entre cinq demoiselles dont les scénarios vont se dérouler dans un même bâtiment, d'où les rencontres qui ajoutent des fins spéciales. Au menu, vous avez la bakamusume (blonde idiote de service), l'étudiante, la traditionnaliste qui porte un kimono,la plus agée qui a des gros seins et le top-model. Tiens, je réalise que le quintette colle parfaitement à celui de SailorMoon...
Allez, un scénario, celui de la mannequin. Comme pour l'intro, vous savez dès le début que votre vie aura un “avant WC” et un “après WC”: nous rencontrons notre héroïne alors qu'elle démarche des passants pour un sex-shop, en distribuant des mouchoirs en papier. Elle s'appelle Reika Toi, soit dans le bon ordre et phonétiquement en japonais: “toilette ka?” ('Tu veux aller aux toilettes?'). Une dépêche atterrit sur mon bureau, je la découvre avec vous: un scénariste japonais vient d'être retrouvé mort, vraisemblablement assassiné à coups de cuillère à dessert, ce qui est une mort vraiment atroce. Des traces de Nutella ont été retrouvées sur les lieux du crime. Hé ben, on vit dans un drôle de monde.
Une fois son job terminé, elle se rend dans le fameux immeuble pour rejoindre les bureaux de son agence... une fois qu'elle aura satisfait un appel de la nature. Elle va se rendre aux WC, alors que nous sommes dans un jeu hentai qui s'appelle WC. MONUMENTALE ERREUR! D'autant plus monumentale qu'elle parle à la cuvette des chiottes avant de s'y masturber. Manque de pot, un pervers (au visage masqué par des lunettes de vision nocturne alors qu'on est en plein jour) l'a prise en photo et la fait chanter. Lors de la scène de cul qui s'ensuit, il réalise - à la couleur de sa peau - qu'elle est constipée depuis UN MOIS, et se met en tête de la guérir. C'est là que vous vous dites, sodomie. NON. Ca, ce serait dans un jeu hentai normal, et ce n'est pas le cas du présent dossier. Attention, voici la méthode WC pour soigner la constipation: 1) Enfoncer un rouleau de papier-toilette dans la boîte à caca. 2) Faire pipi dans le rouleau. 3) Pénétrer entièrement la patiente avec une brosse à chiottes. 4) Partir en courant avant que le tout ressorte. Et moi qui me demandais d'où venait ce sang sur ma cuillère!
Vous êtes encore là? Alors les éléments qui tuent:
- Le jeu n'est pas censuré, donc pas de mosaïques pour protéger vos petits yeux qui n'avaient pas besoin d'en voir tant. Et pour une fois dans sa vie, on souhaite avoir quelqu'un qui a jugé bon de vous cacher ça.
- Non seulement on a les voix, mais on a aussi les bruitages. Comment ils ont pu enregistrer des moments pareils? J'en sais rien. Ma SoundBlaster a mis fin à ses jours dans un petit nuage de fumée.
- Ce scénario de Reika Toi n'est que le premier, et aucun choix n'a été demandé durant son déroulement: tout ce qu'on avait à faire était lire des pages de texte et contempler en images la scène que je viens de vous décrire.
- Après avoir joué avec d'autres filles, le deuxième scénario de Reika est débloqué: elle rencontre un photographe (ressemblant étrangement au violeur, les lunettes de vision nocturne en moins) qui la pousse d'une façon extrêmement perverse à se chier desssus. Il photographie le tout et elle devient la star number one du scato au Japon, un but dans une vie auquel de nombreux gens aspirent.
- SomethingAwful a eu droit à un troisième scénario où elle se fait violer par un monsieur bien habillé.
Vous pensez que j'ai choisi le pire des cas? Non, c'était juste par elle que j'ai commencé. A mon goût, le plus trash est le deuxième scénario pour l'étudiante - jeune vierge innocente dans les règles de l'art - qui se fait lentement violer par le pervers aux nightvision googles avec moults détails sur la perte de son firewall. Et je ne vous ai pas parlé d'un certain professeur W.C. Nicholson, un personnage taillé comme une armoire normande et vêtu d'un treillis, présenté commme un spécialiste en toilettes. A chaque fois qu'un personnage profane la Toilette Sacrée (les majuscules sont aussi dans le jeu), il arrive pour raconter des “Le Saviez Vous?” sur les chiottes. Des informations véridiques pour briller en société, du genre “au Japon, le 10 Novembre est le jour national des toilettes”. Ou bien il rend la situation actuelle encore pire. Ou les deux.
Qu'est-ce qui peut éviter un pétage de durite sur ce CD? Un fichier HTML ajouté par l'équipe ricaine de traduction, qui se présente comme des notes de lecture. On y lit des infos sur la société nipponne qui permettent aux non-otakus de comprendre les jeux de mots, les détails de traduction et j'en passe. Il faut avoir la présence d'esprit de regarder le contenu du disque pour trouver ça, et c'est un peu dommage. L'avertissement au début du Setup vaut aussi son pesant de (caca)houètes (...“ce jeu ne démontre pas toujours la sensibilité ou l'intimité nécessaires à une vraie relation interpersonnelle...”). Mais il ne faut pas se faire d'illusions: le sous-titre de Water Closet est “The Forbidden Room”, et c'est on ne peut plus vrai. J'ai mal à la tête.
Au moins, on apprend des choses avec ce titre: nombreux sont ceux qui disent “je vais aux WC” sans même savoir ce que ces initiales veulent dire. Non, pas “Wing Commander”. Pas “Windows est à Chier” non plus. Le jeu s'appelle bien WC, dans le sens des toilettes. Tous ceux qui aiment les jeux vidéo sont tombés sur des titres débiles (vous ne trouvez pas qu'il y a une contradiction à atteindre l'épisode 12 d'une saga nommée Final Fantasy?), mais là, on tient vraiment un lauréat. Ou alors les auteurs ont eu une révélation, dont je tente de reproduire ici le fonctionnement intime:
Programmeur A: Hey, j'ai une idée pour notre prochain jeu!
Programmeur B: Encore un truc de cul?
A: Ben ouais, voyons! Avec des filles qui se font violer!
B: Comme c'est original.
A: Hummm... Faudrait faire un fantasme pas encore trop largement exploité par le hentai. Tentacules?
B: Nan.
A: Pédophilie?
B: Déjà pris.
A: Des femmes avec des zizis?
B: Prends un ticket et fais la queue.
A: Très drôle. Heuuu... Du porno-gore avec du sang et des explosions de corps partout?
B: Beurk.
A: Rien ne te plaît, tu me bandes à la fin! Tu fais chier!
B: Bander... Chier... J'AI UNE IDEE!
Quand vous lancez le jeu, la cinématique d'intro à elle seule vous fait réaliser la santé mentale de ses auteurs. Il s'agit de photos de chiottes. Beaucoup de photos, de plein de trônes différents, avec les lettres “W.C.” qui flashent devant vos yeux.
Oui, Water Closet est exactement ce à quoi vous pensez: un jeu hentai dont toutes les scènes ont lieu dans des toilettes, la majorité étant des viols. Sortez les dragées Fucca, va y avoir du sport.
Le gameplay est ultra-classique: blablablablabla-choix-blablabla-choix-blablabla*crac*boum*hue et rideau. Là où WC innove, c'est qu'il a une replay value: terminer le jeu avec une fin précise pour chaque fille ajoute un déroulement différent pour une autre. Du coup, on doit se retaper chacun des cinq scénarios au moins trois fois! Chose étrange, vous ne jouez pas le rôle d'une fille, vos choix étant directement ceux d'une histoire: pour choisir si la fille veut faire caca ou pipi, faut le faire.
Techniquement, c'est pas scandaleux pour un jeu hentai: l'interface est un charme, les CGs et le chara design sont plus que corrects et les voix sont convaincantes (mais la voix de Shoko, la mère de famille, fait vraiment vieille peau stressée... Comme celle qui hurle “Gomenasai!” dans Fruits Basket). Sauf que c'est la première fois que j'ai vraiment pensé aux pauvres filles qui ont enregistré autant d'horreurs pour un jeu qui ne pouvait que flinguer leur carrière en plein vol; sûrement des lycéennes recrutées à la sortie de leur lycée. Vous pouvez pas savoir ce que les lycéennes nipponnes sont prêtes à faire pour un peu de cash... Bref.
Vous avez donc le choix entre cinq demoiselles dont les scénarios vont se dérouler dans un même bâtiment, d'où les rencontres qui ajoutent des fins spéciales. Au menu, vous avez la bakamusume (blonde idiote de service), l'étudiante, la traditionnaliste qui porte un kimono,la plus agée qui a des gros seins et le top-model. Tiens, je réalise que le quintette colle parfaitement à celui de SailorMoon...
Allez, un scénario, celui de la mannequin. Comme pour l'intro, vous savez dès le début que votre vie aura un “avant WC” et un “après WC”: nous rencontrons notre héroïne alors qu'elle démarche des passants pour un sex-shop, en distribuant des mouchoirs en papier. Elle s'appelle Reika Toi, soit dans le bon ordre et phonétiquement en japonais: “toilette ka?” ('Tu veux aller aux toilettes?'). Une dépêche atterrit sur mon bureau, je la découvre avec vous: un scénariste japonais vient d'être retrouvé mort, vraisemblablement assassiné à coups de cuillère à dessert, ce qui est une mort vraiment atroce. Des traces de Nutella ont été retrouvées sur les lieux du crime. Hé ben, on vit dans un drôle de monde.
Une fois son job terminé, elle se rend dans le fameux immeuble pour rejoindre les bureaux de son agence... une fois qu'elle aura satisfait un appel de la nature. Elle va se rendre aux WC, alors que nous sommes dans un jeu hentai qui s'appelle WC. MONUMENTALE ERREUR! D'autant plus monumentale qu'elle parle à la cuvette des chiottes avant de s'y masturber. Manque de pot, un pervers (au visage masqué par des lunettes de vision nocturne alors qu'on est en plein jour) l'a prise en photo et la fait chanter. Lors de la scène de cul qui s'ensuit, il réalise - à la couleur de sa peau - qu'elle est constipée depuis UN MOIS, et se met en tête de la guérir. C'est là que vous vous dites, sodomie. NON. Ca, ce serait dans un jeu hentai normal, et ce n'est pas le cas du présent dossier. Attention, voici la méthode WC pour soigner la constipation: 1) Enfoncer un rouleau de papier-toilette dans la boîte à caca. 2) Faire pipi dans le rouleau. 3) Pénétrer entièrement la patiente avec une brosse à chiottes. 4) Partir en courant avant que le tout ressorte. Et moi qui me demandais d'où venait ce sang sur ma cuillère!
Vous êtes encore là? Alors les éléments qui tuent:
- Le jeu n'est pas censuré, donc pas de mosaïques pour protéger vos petits yeux qui n'avaient pas besoin d'en voir tant. Et pour une fois dans sa vie, on souhaite avoir quelqu'un qui a jugé bon de vous cacher ça.
- Non seulement on a les voix, mais on a aussi les bruitages. Comment ils ont pu enregistrer des moments pareils? J'en sais rien. Ma SoundBlaster a mis fin à ses jours dans un petit nuage de fumée.
- Ce scénario de Reika Toi n'est que le premier, et aucun choix n'a été demandé durant son déroulement: tout ce qu'on avait à faire était lire des pages de texte et contempler en images la scène que je viens de vous décrire.
- Après avoir joué avec d'autres filles, le deuxième scénario de Reika est débloqué: elle rencontre un photographe (ressemblant étrangement au violeur, les lunettes de vision nocturne en moins) qui la pousse d'une façon extrêmement perverse à se chier desssus. Il photographie le tout et elle devient la star number one du scato au Japon, un but dans une vie auquel de nombreux gens aspirent.
- SomethingAwful a eu droit à un troisième scénario où elle se fait violer par un monsieur bien habillé.
Vous pensez que j'ai choisi le pire des cas? Non, c'était juste par elle que j'ai commencé. A mon goût, le plus trash est le deuxième scénario pour l'étudiante - jeune vierge innocente dans les règles de l'art - qui se fait lentement violer par le pervers aux nightvision googles avec moults détails sur la perte de son firewall. Et je ne vous ai pas parlé d'un certain professeur W.C. Nicholson, un personnage taillé comme une armoire normande et vêtu d'un treillis, présenté commme un spécialiste en toilettes. A chaque fois qu'un personnage profane la Toilette Sacrée (les majuscules sont aussi dans le jeu), il arrive pour raconter des “Le Saviez Vous?” sur les chiottes. Des informations véridiques pour briller en société, du genre “au Japon, le 10 Novembre est le jour national des toilettes”. Ou bien il rend la situation actuelle encore pire. Ou les deux.
Qu'est-ce qui peut éviter un pétage de durite sur ce CD? Un fichier HTML ajouté par l'équipe ricaine de traduction, qui se présente comme des notes de lecture. On y lit des infos sur la société nipponne qui permettent aux non-otakus de comprendre les jeux de mots, les détails de traduction et j'en passe. Il faut avoir la présence d'esprit de regarder le contenu du disque pour trouver ça, et c'est un peu dommage. L'avertissement au début du Setup vaut aussi son pesant de (caca)houètes (...“ce jeu ne démontre pas toujours la sensibilité ou l'intimité nécessaires à une vraie relation interpersonnelle...”). Mais il ne faut pas se faire d'illusions: le sous-titre de Water Closet est “The Forbidden Room”, et c'est on ne peut plus vrai. J'ai mal à la tête.
Par Raton-Laveur le 29 janvier 2004, 22:30 - Jeux vidéo - Lien permanent
Commentaires
Le plus flippant c'est quand même que quelqu'un ait pu se dire : “tiens, sympa ce jeu, ça mériterait qu'on le traduise et qu'on le sorte aux States!” alors que dans le même temps il a fallu poireauter des mois pour avoir droit à Brave Soul en anglais... (sans compter qu'il doit quand même bien y avoir des dizaines de BONS jeux de ce genre à traduire autres que ce... truc...>_<)
...
Le Diable existe...
...
Le japon c'est un peu l'enfer et le paradis à la fois, ça me fait penser à Yamatsuka Eye, le chanteur fou, qui ferait passer Manson pour un psychothérapeutre duement diplomé, témoignage d'une personne revenue vivante d'un de ses concerts :
“Ten minutes after the show begins the room is full of broken glass. The fence set up to protect the audience was the first thing to BC destroyed, and they are throwing pieces of the fence around. The audiences arc huddled like refugees in the corners of the hall. A broken pipe spewed water into the room. A gas burner was flaming. So much metal and glass and concrete was being thrown against the walls that I got cut just watching. The fire extinguishers were smashed. There was no applause, or indeed any sound from the audience. The fire alarm went off. The room was getting too smoky to see. There were little bits of dead dry meat stuck to the walls and ceiling from the animal cutting. Yamatsuka is clearly insane and I never want to see anything like this again.”
Tu as été courageux Raton ...
merci pour ton devouement à la voix du peuple ... merci.
C'est un un pure H games sans plus....
Mhhhhh :D
Pourquoi jouai a ce jeu debile (vu le nom j'ai meme pas eu envie d'y jouait !) quand ont peu jouait a un kana imouto (triste quand meme!) ou a lets meow meow (super rigolo lui en revanche!)
(La version originale étant tout de meme sympathique a jouer, sans bugs. ---> Viper Lanjerie)
J'ai tellement ri en lisant ton article que j'ai failli me ch*** dessus.
Et non, moi j'ai même pas pensé "sodomie"...
Yuki , en jeu hentai français y'a aussi RINGOUT (- de 3mo) :b
putin tu fais un super article et tu nous explique méme pas comment l'avoir avec un crack ^^
je déconne bien sur je vais pas le telecharger (je vais l'achetez)
Excellent article pour les zygomatiques :D