Parce que Resident Evil n’a pas toujours été une série de jeux d’action
Par Wild Seven, qui poste son premier article sur
l’Editotaku
Eh oui ! Avant les (tristement pour certains) célèbres Resident Evil 4 et 5, les Biohazard (nom de la série au Japon) n’étaient pas des jeux bourrins dans le but est de dégommer le maximum d’ennemis à l’écran en leur arrachant la tête, ou en appuyant sur une combinaison de touches au bon moment, tout ceci avec une caméra statique. Non. Resident Evil, c’est avant tout le pionnier des Survival Horror sur console que nous connaissons aujourd’hui.
Le premier étant trop kitsch à mon goût - les acteurs n’ont pas étés modélisés lors des cinématiques, et en plus ils jouent mal - et n’ayant pas joué à Nemesis, je vais dans cette colonne traiter de Resident Evil 2.
Comme d’habitude avec Capcom, le scénario n’est pas trop compliqué mais terriblement immersif. On y suit les aventures de Claire et Leon qui viennent tous deux de débarquer à Raccoon City (la cité du raton laveur quoi) ; la première pour retrouver son frère Chris, issu du premier épisode, et le second pour y effectuer son premier jour en tant que policier. Il ne faut pas perdre de vue que dans Resident Evil, le monde est petit. Ainsi Chris est le héros du premier et du dernier opus en date, sa sœur est l’héroïne de Code Veronica, Leon sauve sa belle dans le 4 et Jill reprend du service au troisième épisode. C’est donc avec une certaine familiarité que l’on retrouve Leon sur PSOne et le joueur de Biohazard 4 le découvre sous un nouveau jour : plus vulnérable, moins acrobatique mais toujours aussi sûr de lui.
Alors que Leon vient d’arriver à Raccoon City, il est attaqué par une horde de zombies. Lors de sa fuite, il rencontre Claire, une jeune femme avec qui il entreprend de faire équipe. Mais le destin les sépare - ou plutôt un camion - et ils décident de rejoindre le commissariat de police de la ville. Claire et Leon devront traverser ledit commissariat pour finalement découvrir le laboratoire d’Umbrella Corporation et percer le secret d’un nouveau virus « cent fois plus puissant que le virus T », le virus G - comme le point.
La version PSOne présente deux disques à l’effigie de nos héros ; il est en effet possible de contrôler soit Claire soit Leon. Leurs aventures sont similaires mais complémentaires. En gros, les chemins empruntés seront les même mais l’ordre dans lesquels ils le seront varient d’un personnage à l’autre. Il y a cependant des chemins inédits pour chaque personnage. De plus, alors que Leon sera parfois accompagné d’une belle brune répondant au doux nom d’Ada, Claire rencontrera une petite fille se prénommant Sherry. Il est à noter que ces deux personnages secondaires sont jouables un court instant.
Mais si jouer avec Claire nous apprend comment l’hélicoptère s’est écrasé sur le toit du bâtiment, il faut reconnaitre que cela présente plusieurs incohérences. Par exemple, sur le toit justement, il faut trouver une valve qui permettrait d’effectuer une trop forte pression sur le réservoir d’eau à côté dudit hélicoptère en flammes pour éteindre le feu et ainsi débloquer un passage. Et il faut le faire aussi bien avec le policier du R.P.D. qu’avec la jeune femme. C’est-à-dire que leurs deux histoires ne peuvent pas se dérouler simultanément, mais plutôt dans une dimension parallèle. On oublie cependant rapidement ce problème que l’on retrouve tout au long de l’aventure pour se concentrer sur sa propre survie.
Techniquement, le jeu est vraiment bien fait. On dirige un personnage en 3D qui évolue dans un univers en 2D. Les angles de caméra changent tout le temps, un peu à la manière d’un Silent Hill. Le réel problème vient du temps de chargement ; à chaque fois que l’on sort de l’écran, il faut attendre un peu moins d’une seconde pour afficher l’écran suivant. Cela alourdit considérablement l’action mais une fois de plus on s’y habitue.
Les décors sont vraiment très beaux et remplis de détails. D’entrée de jeu le ton est donné et la ville semble avoir été habitée il y a peu. Les déplacements sont fluides mais nécessitent un petit temps d’adaptation. Les touches sont intuitives et restent globalement les mêmes que dans la plupart des Survival Horror.
Le jeu est disponible sur PlayStation, Nintendo 64, Dreamcast, PC et GameCube. Des rumeurs courent à propos d’un prochain remake sur Wii.
Que dire de plus sur Resident Evil 2 ? Eh bien tout d’abord que c’est probablement l’un des meilleurs jeux de sa génération. Ce jeu fait partie de l’âge d’or de la série où les héros ne sont pas encore surhumains et dont l’ambiance est propre au genre. S’il y en a qui sont fâché avec RE, cet opus leur fera probablement changer d’avis.
Ce jeu est aussi la preuve que l’on peut être un grand fan de Silent Hill et apprécier Biohazard. D’ailleurs, à propos de Silent Hill, le second épisode est l’un de mes préférés, contrairement au raton. Ce serait avec grand plaisir que j’écrirais une critique positive sur l’Editotaku si l’occasion s’y présente.
Si vous aimez les zombies, jetez-vous sur Highschool of the Dead. Ce manga rend bien hommage aux classiques du genre, croyez-moi.
Pour rester dans le thème des morts-vivants, sachez que je suis en plein dans l'élaboration de mon jeu de rôle basé sur une épidémie. Pourquoi je vous parle de ça ? Because I need you.
Enfin, faites-moi le plaisir de regarder cette vidéo, rien que pour le générique de fin.
Eh oui ! Avant les (tristement pour certains) célèbres Resident Evil 4 et 5, les Biohazard (nom de la série au Japon) n’étaient pas des jeux bourrins dans le but est de dégommer le maximum d’ennemis à l’écran en leur arrachant la tête, ou en appuyant sur une combinaison de touches au bon moment, tout ceci avec une caméra statique. Non. Resident Evil, c’est avant tout le pionnier des Survival Horror sur console que nous connaissons aujourd’hui.
Le premier étant trop kitsch à mon goût - les acteurs n’ont pas étés modélisés lors des cinématiques, et en plus ils jouent mal - et n’ayant pas joué à Nemesis, je vais dans cette colonne traiter de Resident Evil 2.
Comme d’habitude avec Capcom, le scénario n’est pas trop compliqué mais terriblement immersif. On y suit les aventures de Claire et Leon qui viennent tous deux de débarquer à Raccoon City (la cité du raton laveur quoi) ; la première pour retrouver son frère Chris, issu du premier épisode, et le second pour y effectuer son premier jour en tant que policier. Il ne faut pas perdre de vue que dans Resident Evil, le monde est petit. Ainsi Chris est le héros du premier et du dernier opus en date, sa sœur est l’héroïne de Code Veronica, Leon sauve sa belle dans le 4 et Jill reprend du service au troisième épisode. C’est donc avec une certaine familiarité que l’on retrouve Leon sur PSOne et le joueur de Biohazard 4 le découvre sous un nouveau jour : plus vulnérable, moins acrobatique mais toujours aussi sûr de lui.
Alors que Leon vient d’arriver à Raccoon City, il est attaqué par une horde de zombies. Lors de sa fuite, il rencontre Claire, une jeune femme avec qui il entreprend de faire équipe. Mais le destin les sépare - ou plutôt un camion - et ils décident de rejoindre le commissariat de police de la ville. Claire et Leon devront traverser ledit commissariat pour finalement découvrir le laboratoire d’Umbrella Corporation et percer le secret d’un nouveau virus « cent fois plus puissant que le virus T », le virus G - comme le point.
La version PSOne présente deux disques à l’effigie de nos héros ; il est en effet possible de contrôler soit Claire soit Leon. Leurs aventures sont similaires mais complémentaires. En gros, les chemins empruntés seront les même mais l’ordre dans lesquels ils le seront varient d’un personnage à l’autre. Il y a cependant des chemins inédits pour chaque personnage. De plus, alors que Leon sera parfois accompagné d’une belle brune répondant au doux nom d’Ada, Claire rencontrera une petite fille se prénommant Sherry. Il est à noter que ces deux personnages secondaires sont jouables un court instant.
Mais si jouer avec Claire nous apprend comment l’hélicoptère s’est écrasé sur le toit du bâtiment, il faut reconnaitre que cela présente plusieurs incohérences. Par exemple, sur le toit justement, il faut trouver une valve qui permettrait d’effectuer une trop forte pression sur le réservoir d’eau à côté dudit hélicoptère en flammes pour éteindre le feu et ainsi débloquer un passage. Et il faut le faire aussi bien avec le policier du R.P.D. qu’avec la jeune femme. C’est-à-dire que leurs deux histoires ne peuvent pas se dérouler simultanément, mais plutôt dans une dimension parallèle. On oublie cependant rapidement ce problème que l’on retrouve tout au long de l’aventure pour se concentrer sur sa propre survie.
Techniquement, le jeu est vraiment bien fait. On dirige un personnage en 3D qui évolue dans un univers en 2D. Les angles de caméra changent tout le temps, un peu à la manière d’un Silent Hill. Le réel problème vient du temps de chargement ; à chaque fois que l’on sort de l’écran, il faut attendre un peu moins d’une seconde pour afficher l’écran suivant. Cela alourdit considérablement l’action mais une fois de plus on s’y habitue.
Les décors sont vraiment très beaux et remplis de détails. D’entrée de jeu le ton est donné et la ville semble avoir été habitée il y a peu. Les déplacements sont fluides mais nécessitent un petit temps d’adaptation. Les touches sont intuitives et restent globalement les mêmes que dans la plupart des Survival Horror.
Le jeu est disponible sur PlayStation, Nintendo 64, Dreamcast, PC et GameCube. Des rumeurs courent à propos d’un prochain remake sur Wii.
Que dire de plus sur Resident Evil 2 ? Eh bien tout d’abord que c’est probablement l’un des meilleurs jeux de sa génération. Ce jeu fait partie de l’âge d’or de la série où les héros ne sont pas encore surhumains et dont l’ambiance est propre au genre. S’il y en a qui sont fâché avec RE, cet opus leur fera probablement changer d’avis.
Ce jeu est aussi la preuve que l’on peut être un grand fan de Silent Hill et apprécier Biohazard. D’ailleurs, à propos de Silent Hill, le second épisode est l’un de mes préférés, contrairement au raton. Ce serait avec grand plaisir que j’écrirais une critique positive sur l’Editotaku si l’occasion s’y présente.
Si vous aimez les zombies, jetez-vous sur Highschool of the Dead. Ce manga rend bien hommage aux classiques du genre, croyez-moi.
Pour rester dans le thème des morts-vivants, sachez que je suis en plein dans l'élaboration de mon jeu de rôle basé sur une épidémie. Pourquoi je vous parle de ça ? Because I need you.
Enfin, faites-moi le plaisir de regarder cette vidéo, rien que pour le générique de fin.
Par lectorat le 22 juillet 2009, 13:06 - Jeux vidéo - Lien permanent
Commentaires
Tu oublies de préciser qu'en fait, si vous jouez d'abord avec Leon, vous pouveze reprendre la partie une fois la fin du jeu atteinte et jouer avec Claire "dans le scénario de Leon" (où Leon serait le héros quoi). Il est ainsi aussi possible de faire l'inverse, c'est à dire faire une nouvelle partie avec Claire en tant qu'héroine puis une fois fini, faire tout ce que vous aviez loupé du côté de Leon dans l'aventure de Claire.
Je sais pas si j'ai été très Claire (hoho) mais c'était un point qui m'avait beaucoup plu à l'époque.
Ca va plutôt léo(i)n comme article.
Le seul RE que j'ai apprécié c'était Code Veronica sur Dreamcast, rien que la scène d'intro m'a accroché jusqu'au bout du jeu.
Et je ne peux être que d'accord à propos d' "Highschool of the Dead", c'est vraiment sympa à lire alors achetez le (ouais, licencié et publié chez nous).
Article assez intéressant, même pour moi qui n'ai jamais trop accroché sur la série Resident Evil, à part peut-être un peu le premier, justement pour son intro avec de "vrais" acteurs (en live quoi, parce que bon... ^^).
Histoire de pinailler: "Les angles de caméra changent tout le temps, un peu à la manière d’un Silent Hill." Mouais, sauf que le procédé est d'abord apparu sur console avec Resident Evil, donc c'est plutôt "à la manière du premier opus de RE". Procédé lui-même inspiré du vrai premier survival-horror que vous devez connaître, j'ai nommé Alone in the dark (le vrai, celui d'inspiration lovecraftienne, pas l'infâme remake à Central Park...). Mais comme je l'ai dit, je pinaille. ;)
++
Ce n'était pas plutôt Alone in the dark le pionner des survivals horrors ?
Les problèmes de transitions d'écrans n'existent pas sur Gamecube (haha !). Et si on termine le jeu vite et bien, on peut avoir un scenario avec de nouveaux personnages
wtf is this shit ?
Article sympa mais ca manque de screens :)
Faudrait peut-être aussiu aborder un peu plus le gameplay (l'inventaire limité, les malles, les énigmes, les aller-retour incessants, les rubans-encreurs, etc ...).
"Des rumeurs courent à propos d’un prochain remake sur Wii." : SOURCE PLS !
Tu confonds peut-être avec Darkside Chronicles qui cuisine RE2 et Code Veronica (les 2 meilleurs de la saga imo) à la sauce rail shooter.
Sinon en parlant de rumeur il y avait celle d'une suite à RE2 avec Sherry comme héroïne. Peut-être le futur épisode sur PSP (qui ne devrait PAS être un remake) annoncé pendant le dernier E3 ?
Le premier survival horror, c'est Alone in the Dark.
Resident Evil a popularisé le genre mais n'en est pas le créateur.
Merde, j'aurai mieux fait de lire les com' avant d'écrire. Désolé...
Article sympathique dans le fond, bien qu'un peu léger niveau contenu comme dit plus haut. On aurait pu parler, par exemple, du fameux RE 1.5, la première version de RE2...
RE2, aka l'épisode le plus réussi dans la série dans la catégorie " Ancienne formule". Le scénario était sympathique à suivre malgré une mise en scène assez plate et un doublage US pas très bon. Mais l'ambiance avait un je-ne-sais-quoi de vraiment prenant, le côté survival était bien poussé pour une fois, et les angles de caméra, même si pénible à force, renforçaient terriblement bien le côté horreur (Ah, la première salle de sauvegarde, avec le Licker qui passe brièvement par la fenêtre !).
Par contre après, ce fût la débandade pour ma part. A l'occasion de la sortie de RE5, je m'étais refait la saga principale (exit les daubes "Rail shooter" et compagnie) en dehors du RE0 que je n'avais pas sous la main, et à partir du 3, j'ai sentis un sacré essoufflement de la série.
Le premier a très mal vieilli, mais garde une certaine efficacité. Il instaure les bases quoi.
Le 2... Cf plus haut.
Le 3 commence à marquer un changement: exit la peur, et place à l'action pure et dure. Pleins de munitions (le principe de la poudre pour créer ses munitions est sympa, mais il donnait trop de balles à chaque fois, on était très rarement à court), pleins de zombies, pleins de retournement de situation pour relancer l'action (le Nemesis, et " l'ancêtre du QTE" dans la série)...
RE3 c'était le RE4 avant l'heure, aka le TPS dans un décors 2D. Sympathique, mais on sentait que le concept trouvait ses limites (rah, les changements de zone par une porte toutes les 10 secondes !). Mais il réservait quelques scènes cultes (le passage dans l'hôpital *bave*) donc ça passe.
Après, sans doute le pire pour moi, RECV. Je n'ai pas réussi à accrocher à celui là. Ce qui m'a choqué, c'est la régression niveau gameplay vis à vis du 3, avec les mouvements qui disparaissaient, comme si les dev' avaient dénigrés le 3, pour faire une véritable suite du 2. Le problème, c'est que la formule commençait vraiment à tourner en rond... La rigidité extrême du personnage ou les nouveaux monstres qui rendaient particulièrement pénible la progression (Ah, les monstres avec leurs bras élastiques, j'en garderais un souvenir... désagréable), ça m'a gavé.
Puis ce scénario, déjà bien nanardisant depuis le premier, sombrait dans le n'importe quoi, avec un Wesker tout droit sortie de Matrix. Quand je repense au critique du scénario de RE5 et que je repense aux anciens, je me marre...
Enfin j'ai pas pu le finir, je l'ai mis de côté, tant il devenait pénible. Un jour peut être.
Et le 4, forcément, marque le virage total de la série et lui fait finalement beaucoup de bien ! Finit les angles de caméra moisi, il assumait enfin son scénario pourrave et renouvelé son gameplay de fort bien manière, sans pour autant sombrer dans le shoot bas de gamme. Bon, sur la longueur, le jeu n'est pas aussi bon qu'au début, mais globalement, c'est très bon (les QTE bien placés, le village, l'ambiance du château...).
Finalement, quitte à faire des remakes des anciens (RE2 bordel de merde, je le veux celui là, un dépoussiérage graphique serait bandant), j'aimerais bien qu'ils réadaptent ça avec le gameplay du 5... Pas de Coop, juste un jeu plus dynamique, des QTE bien placé, plus d'angle de caméra foireux et une technique qui arrache. Mais là, je crois que je peux prier encore longtemps...
Je n'ai jamais compris l'engouement pour les vieux biohazard. Mauvais gameplay, mauvais scénario, mal écrit, pas d'ambiance, peur primaire "BOUH !"... il n'y a rien, de vieux jeux de merde dont la seule qualité est d'avoir su taper dans le public des 12 ans qui avait là une première expérience du gore vidéoludique.
Comme le dis Pso, ce qui m'a marqué dans les RE c'est les perso avec un manche à balai là ou je pense. Je sais que de savoir que son perso a du mal à se déplacer ajoute de la peur mais ce n'est pas réaliste pour un sous.
Encore comme Pso, les monstres aux bras élastiques, conjugué à la maniabilité d'un semi-remorque du perso, mon fait lacher code veronica.
En somme je trouve ca bien que la série change sur le principe, parce que entendre un zombi à l'autre bout de la pièce et ne pas le voir à cause de l'angle de camera alors qu'il est 5 mètre devant nous ca va bien 5 minutes.
Mais comme de toute facon le 5 est une daube...
J'ai bien apprécié le 5 personnellement, dans la ligné du 4 (normal, c'est la même chose, en plus poussé, comme RE2 par rapport à RE1), avec une bonne mise en scène, un scénario encore plus pourri (mais ça passe, on se marre bien devant les acrobaties stylisées de Wesker), mais à une condition: y jouer en Coop avec un ami à côté de soit.
Là, la coopération (merci l'écran splitté) prend tout son sens, où on se sauvera les miches à chaque instant ou à élaborer des plans pour venir à bout de certains ennemis (Ah, les insectes quasi invincibles qu'on devra quand même buter avec un chargeur de pistolet et 2 grenades !). Dans le genre coop, c'est vraiment terrible, j'ai passé un très bon moment.
Après, le problème c'est que quand on y joue seul, l'intérêt tombe à l'eau, surtout avec l'IA de Sheeva, complètement foireuse. Donc ouais, là, RE5 pue un peu.
Mais si on a aimé RE4, on ne peut que aimer RE5, qui est identique en tout point, avec un Coop de bonne qualité. Après, faut aussi accepter que les RE actuels ne ressembleront plus jamais au anciens. Mais dans un sens, tant mieux.
J'ai CV pour PS2, et c'est juste supra chiant. Je l'ai même jamais fini, la 2nd moitié de la base arctique m'a tu"er".
Par contre j'ai une très forte érection à chaque fois que je ressors Alone 1 (et un peu le 2 même s'il y a trop de combats). Un vrai scénario quoi.
Putain, vous appelez ça les "vieux Resident Evil" alors que j'y ai joué (au moins pour le 3) dès leur sortie. JE SUIS VIEUX BORDEL.
Non moi, à part leur jouabilité suspecte (pas pu jouer à RE1 a cause de ça, marre de contrôler un soldat, mais dans Rebirth qui avait à peu près le même principe, ça allait mieux, allait savoir pourquoi), pas trop de problème avec les anciens RE. J'avoue même surkiffer pas mal le 3. :x
@Pso : "Le premier a très mal vieilli, mais garde une certaine efficacité. Il instaure les bases quoi." Le remake Rebirth, c'est pas fait pour les chiens ^^ Et je trouve excellent le 1, et surtout son remake.
"comme si les dev' avaient dénigrés le 3, pour faire une véritable suite du 2." Bah, c'était au départ la suite prévue du 2, mais comme il tardait à venir, ils se sont dit "on va faire un 3 sur PS en attendant".
"un scénario encore plus pourri (mais ça passe, on se marre bien devant les acrobaties stylisées de Wesker" > J'ai envie de dire : LOL. C'est déjà LARGEMENT supérieur à celui du 4 et franchement, y a des moments épiques, et si t'es fan, t'es aux anges tout simplement.
@Alioth : "Mais comme de toute facon le 5 est une daube..." T'as pas aimé le 4 toi ?
Le 2 commence déjà à verser dans le bourrinisme comparé au 1. Suffit de comparer le nombre d'armes et leur accessibilité.
Pour CV, j'en suis au moment où il faut buter un monstre qui nage avec Chris et par flemme (et aussi parce que les RE me filent des sueurs froides, j'ai été traumatisé par les zombies dans ma folle jeunesse et c'est le genre de phobie qui ne vous quitte jamais définitivement même si j'adore les films de zombie), j'ai laissé tomber. Faudrait que je le boucle quand même.
@Manic
1) En fait, j'ai préféré me faire le premier sur PS1 car je voulais revoir un peu l'évolution depuis le début, me remettre au point sur la série. Evidemment, j'avais déjà fait celui ci à l'époque, et son remake plusieurs fois. Excellent remake d'ailleurs, j'aimerais en voir plus souvent des comme ça, qui ne se contente pas que d'un vulgaire copié/collé HQ.
2) C'est vraiment ce qu'il s'est passé ? J'ai jamais fait attention à ça, ça expliquerait pas mal de chose...
3) Disons que le scénario reste dans la lignée des précédents en "plus poussé" grâce à une bien meilleure mise en scène digne d'un gros film d'action et la sauce prend assez bien (Wesker a beau littéralement sombrer dans un trip matrix, faut reconnaitre que ses scènes sont très bien foutu). Mais dans le fond, ça reste assez superficiel et trop expéditif... (enfin, c'est comme ça que je vois le truc, cf le passage avec Spencer, ou les retrouvailles avec Jill).
Dans tous les cas, je m'en plains pas, et j'ai pris plaisir à suivre l'aventure !
@PSo : "cf le passage avec Spencer" ouais, peut-être le truc vraiment mal foutu. Mais bon, quel choc pour Wesker à ce moment-là quand même, il les as eu mauvaises.
Sinon, pour Resident Evil, je ne peux conseiller que ces sites pour en savoir plus : http://www.survivhor.com/ http://www.the-last-escape.com/
Houla tu coupe un peu trop l'aventure: le second scénario (comme dit précédemment) où l'on pouvait voir le résultats des actions du premier personnage, les armes a munition multiples (pour Claire) ou "upgradable" (pour Léon: Le magnum au maximum c'était un dézingueur incroyable)
Il y avait des bonus cachés bien sympa dans RE2: des vêtements cachés, un flingue pour Claire (mais inutile car trop peu puissant), une photo bonus... , et en finissant le jeux dans un minimum de temps on avait le droit a: Un bazooka avec munitions illimités, une aventure inédites où on incarne un soldat de Umbrella chargé de ramener un exemplaire du virus G et cette même aventure avec un...TOFU armé seulement d'un couteau!
Effectivement, la remarque d'Axel Terizaki est très juste ; je n'ai cependant pas fini le jeu quatre fois donc je n'étais pas trop au courant.
Pour ce qui est d'Alone in the Dark, je suis d'accord avec vous, mais il me semble qu'il n'a debarqué dans un premier lieu que sur PC. C'est pour cela que j'ai précisé "sur console".
Enfin, j'ai fait beaucoup d'omissions et je m'en excuse. J'étais dans un cyber-café lors de l'envoi de l'article, et comme je suis un peu tête en l'air, j'ai oublié de parler de la durée de vie un peu trop courte selon-moi même si l'on peut refaire l'aventure plusieurs fois et, bien-sûr, du système de coffre qui me fait bien marrer car fonctionnant en réseau. Enfin, pour les screens, le seul logiciel graphique était Paint, donc pour redimmensionner les images et obtenir un bon résultat... Et je vous jure que j'ai bel et bien passé une heure à poster cet article !
Merci pour vos commentaires ; promis, je ferais mieux la prochaine fois.
T'inquiète, on est tous passé par la ~~.
"Pour ce qui est d'Alone in the Dark, je suis d'accord avec vous, mais il me semble qu'il n'a débarqué dans un premier lieu que sur PC. C'est pour cela que j'ai précisé "sur console"."
Si on considère que la 3DO est une console alors non, c'est bien Alone in the dark.