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Stan Lee a toujours écrit Spider-Man avec un tiret pour le différencier de Batman et Superman

25 juillet 2009

Impr écran Syst + Supreme Commander = ?

Par Smog ShadowSeth.

Parce qu'il n'y a pas qu'a TF2 qu'on peut faire des captures d'écran débiles, voici une petite sélection qui résume les quelques mois depuis lesquels les [Edito] jouent à Supreme Commander, sous l'impulsion du voisin (et logeur, accessoirement) Axel.

Question: mais comment peut-on faire les cons dans un jeu pareil? Maxobiwan a trouvé un moyen de le faire lorsqu'a l'occasion d'une partie, il avait été remarqué que j'avais donné un nom à un sous-commandeur que j'avais détaché pour prendre possession de l'ex-base d'un boulet qui s'était fait pèter trop tôt. Le secret de la commande Ctrl+N fut ainsi transmit, et depuis que Max s'en sert pour renommer des unités avec des noms à la con, on arrête pas de faire mumuse avec...

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Tant de haine pour Sonic

Par Maxobiwan.

Sonic the hedgehog (ou sonic next gen) est un mauvais jeu. C'est ce qu'on dit un peu partout sur le net. En tant que fan de Sonic, j'ignore toujours les mêmes excuses de "la press", la plus récurrente : la caméra. Ce problème est commun à tous les Sonic 3D et ce n'est pas ça qui m'a empêché de m'éclater à Sonic Adventure 2 Battles. Finalement j'ose sauter le pas en m'achetant le jeu tout en sachant qu'il est bourré de défauts, mais ça ne m'a pas découragé.

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24 juillet 2009

Ces petits jeux qui n’ont l’air de rien…

Par Smog ShadowSeth.

Les joueurs ne se limitent pas à une population ayant les moyens d’investir dans des composants PC a très cher ou une console au même niveau de prix ; depuis la démocratisation de l’Internet, avec un grand I pour faire snob, des tonnes de petits jeux ont commencé à apparaître sur la toile, offrant qui des remix de jeux anciens (qui n’a jamais refait un Tetris dans une fenêtre en Flash ?), qui des adaptation de hits PC ou consoles jouable dans un simple navigateur…
Et puis, au milieu de la tonne de sites de jeux gratuits qu’on peut trouver sur le net de nos jours, on trouve une catégorie un peu à part, qui nous propose autre chose que des parties ponctuelles durant tout au plus cinq minutes. Si je vous dit Ogame, vous voyez de quoi je parle, pour peu que vous ayez roulé votre bosse sur le net ces dernières années ?

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Les secrets de l'Editotaku

Par cyberpenpen

Attention, document à manier avec précaution, veuillez éviter une trop longue exposition pour vos yeux, risques de rupture d'anévrisme, ne pas avaler ni jouer au Scrabble avec.

Ne laisser ni à la portée, ni à la vue des enfants.

23 juillet 2009

DemiFail?

Par Smog ShadowSeth.

Août 2008. Gas Powered Games, la boite de développement qui a pondu Supreme Commander dont je n’ai eu cesse de vous abreuver de détails durant les précédents quartiers libres, commence, entre deux promesse de sortie d’un ultime patch pour Forged Alliance (patch toujours pas sortit à ce jour, coincé au QA chez l’éditeur, THQ, à en croire les devs larmoyants…) à sortir l’artillerie lourde pour leur prochain jeu, j’ai nommé DemiGod.

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Monsieur le pot de Nutella

Par le Vengeur Slippé. qui, pour sa première apparition dans le Quartier Libre, vous offre un article avec plein d'images pour pwner royalement les connections de roumain.



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There will be blood

 Par Mdt

Bon nombre d’entre vous s’est sûrement usé les yeux adolescents à peindre de petites figurines hors de prix vendues par Games Workshop. La célèbre entreprise de racket anglaise a, très tôt, noué des liens avec le monde de l’informatique, certains se souviennent peut-être du très bon Warhammer : dans l’ombre du rat cornu, avec cependant plus ou moins de bonheur. Parmi la pléthore de jeux de plateau produits par l’atelier des jeux, Bloodbowl est l’une des réussites majeures, rendant presque étonnant son adaptation aussi tardive sur PC. Il aura fallut qu’un développeur français, Cyanide, plagie honteusement ses principes dans le correct Chaos League, que Games Workshop l’attaque en justice et que les deux belligérants se réconcilient autour d’un projet sous licence officielle pour voir l’adaptation enfin réalisée.

Bloodbowl est un jeu de, grosso modo, football américain dans l’univers medfan de Warhammer. Le foot américain a l’immense avantage de se prêter parfaitement au genre plateau : des phases de jeu clairement identifiées, des joueurs avec un rôle spécifique. De quoi se fondre dans un tour par tour et des classes de personnage. Au-delà des règles de jeu efficaces, BB se démarque par un univers délirant, violent et imprévisible, faisant de chaque partie un moment homérique parsemé de jets de dés stressant et d’actions héroïques. Ce jeu, c’est de l’or en barre. L’adaptation de Cyanide propose un mode temps réel que l’amateur ne testera même pas, mais surtout un mode tradi, réalisant un vieux fantasme, celui de s’affranchir des milliards de jets de dé et d’inviter un pote pour jouer. Désormais, le vieux joueur va au bout de sa non vie, et peut défier des gens qu’il ne connait pas sans les rencontrer, derrière son écran. On y perd les tranches de rigolade communes, les menaces, bluffs, mauvaise foi et argumentations sur d’obscurs points de règle, mais on y gagne en rapidité, accessibilité et représentation.

Comme j’en ai un peu marre d’humilier une IA très moyenne, voici donc un petit guide de jeu si le noob que vous êtes est tenté par l’aventure. Si la compréhension des règles était nécessaire pour boucler un match sur plateau, la version électronique a ce désavantage de les laisser en tâche de fond. Pas évident donc de se lancer dans une partie de BB avec la maigre notice. Notez toutefois que les règles officielles sont disponibles sur le site de Games Workshop.

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22 juillet 2009

La Rule #36 expliquée à mes enfants imaginaires

[Ce post vous est offert par Concombre, vous savez, le mec qui collectionne les épithètes élogieux (masochiste, troll, langue de pute, bel enfulé) ça ne s'invente pas]

Pour continuer dans cette lancée, j'aurais pu déclarer mon amour aux personnages de Soul Eater, vous prouver par A+B que les troisièmes Opening/Endings sont toujours les meilleurs, ou démonter K-On comme toute personne un peu cartésienne. C'est mon premier quartier libre, mon post sera un peu "portes ouvertes" et spécial, mais comme nous sommes des gens spéciaux, tout devrait aller très bien.

Vous l'avez peut être remarqué, on distingue les animes un peu recherchés et planqués du fin des sites de stnemegrahcélét tcerid (vous passerez la bande à l'envers) des animes bourrins qu'on a tous vu devant un bol de Miel Pops : la finalité du scénario. Dans la première catégorie, tout est limpide, intimiste et précis, dans les autres l'histoire, ou plus précisément le « but » du héros est indéfinissable au possible. Au mieux on peut dire que le personnage principal veut devenir « le meilleur de. »

Le meilleur dresseur, le meilleur ninja, la meilleure arme, bref un objectif bien flou prétexte à d'autres intrigues secondaires qui égaient joyeusement le truc.

Dans les jeux vidéos, on retrouve ce syndrome sous d'autres formes. Rappelez vous les vieux jeux Megadrive et consorts sans sauvegarde... l'objectif n'étant jamais réellement de terminer le jeu, mais plutôt d'aller un peu plus loin que la dernière fois sans se planter. La panne d'électricité ou le Game Over étant synonyme de nombreuses heures perdues, l'enjeu grossissait et la tension devenait un peu plus palpable quand on atteignait les derniers niveaux (sans bien sûr savoir quand le jeu allait se terminer)

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Grand Ages Rome

Par Smog ShadowSeth

L’Égypte antique, c’est cool. La Grèce de la même période, pareil. Et idem pour les Romains. Ce qui fait que ces civilisations sont surreprésentées dans les jeux de gestion où l’on vous propose de bâtir votre petit empire, ou dans les city-builder qui veulent un peu sortir des sentiers battus en mettant une touche « historique » à leur jeu, qui leur sert plus à sortir des mécanismes de jeux « originaux » qu’autre chose.

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Parce que Resident Evil n’a pas toujours été une série de jeux d’action

Par Wild Seven, qui poste son premier article sur l’Editotaku

Eh oui ! Avant les (tristement pour certains) célèbres Resident Evil 4 et 5, les Biohazard (nom de la série au Japon) n’étaient pas des jeux bourrins dans le but est de dégommer le maximum d’ennemis à l’écran en leur arrachant la tête, ou en appuyant sur une combinaison de touches au bon moment, tout ceci avec une caméra statique. Non. Resident Evil, c’est avant tout le pionnier des Survival Horror sur console que nous connaissons aujourd’hui.
Le premier étant trop kitsch à mon goût - les acteurs n’ont pas étés modélisés lors des cinématiques, et en plus ils jouent mal - et n’ayant pas joué à Nemesis, je vais dans cette colonne traiter de Resident Evil 2.

Comme d’habitude avec Capcom, le scénario n’est pas trop compliqué mais terriblement immersif. On y suit les aventures de Claire et Leon qui viennent tous deux de débarquer à Raccoon City (la cité du raton laveur quoi) ; la première pour retrouver son frère Chris, issu du premier épisode, et le second pour y effectuer son premier jour en tant que policier. Il ne faut pas perdre de vue que dans Resident Evil, le monde est petit. Ainsi Chris est le héros du premier et du dernier opus en date, sa sœur est l’héroïne de Code Veronica, Leon sauve sa belle dans le 4 et Jill reprend du service au troisième épisode. C’est donc avec une certaine familiarité que l’on retrouve Leon sur PSOne et le joueur de Biohazard 4 le découvre sous un nouveau jour : plus vulnérable, moins acrobatique mais toujours aussi sûr de lui.
Alors que Leon vient d’arriver à Raccoon City, il est attaqué par une horde de zombies. Lors de sa fuite, il rencontre Claire, une jeune femme avec qui il entreprend de faire équipe. Mais le destin les sépare - ou plutôt un camion - et ils décident de rejoindre le commissariat de police de la ville. Claire et Leon devront traverser ledit commissariat pour finalement découvrir le laboratoire d’Umbrella Corporation et percer le secret d’un nouveau virus « cent fois plus puissant que le virus T », le virus G - comme le point.

La version PSOne présente deux disques à l’effigie de nos héros ; il est en effet possible de contrôler soit Claire soit Leon. Leurs aventures sont similaires mais complémentaires. En gros, les chemins empruntés seront les même mais l’ordre dans lesquels ils le seront varient d’un personnage à l’autre. Il y a cependant des chemins inédits pour chaque personnage. De plus, alors que Leon sera parfois accompagné d’une belle brune répondant au doux nom d’Ada, Claire rencontrera une petite fille se prénommant Sherry. Il est à noter que ces deux personnages secondaires sont jouables un court instant.
Mais si jouer avec Claire nous apprend comment l’hélicoptère s’est écrasé sur le toit du bâtiment, il faut reconnaitre que cela présente plusieurs incohérences. Par exemple, sur le toit justement, il faut trouver une valve qui permettrait d’effectuer une trop forte pression sur le réservoir d’eau à côté dudit hélicoptère en flammes pour éteindre le feu et ainsi débloquer un passage. Et il faut le faire aussi bien avec le policier du R.P.D. qu’avec la jeune femme. C’est-à-dire que leurs deux histoires ne peuvent pas se dérouler simultanément, mais plutôt dans une dimension parallèle. On oublie cependant rapidement ce problème que l’on retrouve tout au long de l’aventure pour se concentrer sur sa propre survie.

Techniquement, le jeu est vraiment bien fait. On dirige un personnage en 3D qui évolue dans un univers en 2D. Les angles de caméra changent tout le temps, un peu à la manière d’un Silent Hill. Le réel problème vient du temps de chargement ; à chaque fois que l’on sort de l’écran, il faut attendre un peu moins d’une seconde pour afficher l’écran suivant. Cela alourdit considérablement l’action mais une fois de plus on s’y habitue.
Les décors sont vraiment très beaux et remplis de détails. D’entrée de jeu le ton est donné et la ville semble avoir été habitée il y a peu. Les déplacements sont fluides mais nécessitent un petit temps d’adaptation. Les touches sont intuitives et restent globalement les mêmes que dans la plupart des Survival Horror.

Le jeu est disponible sur PlayStation, Nintendo 64, Dreamcast, PC et GameCube. Des rumeurs courent à propos d’un prochain remake sur Wii.

Que dire de plus sur Resident Evil 2 ? Eh bien tout d’abord que c’est probablement l’un des meilleurs jeux de sa génération. Ce jeu fait partie de l’âge d’or de la série où les héros ne sont pas encore surhumains et dont l’ambiance est propre au genre. S’il y en a qui sont fâché avec RE, cet opus leur fera probablement changer d’avis.
Ce jeu est aussi la preuve que l’on peut être un grand fan de Silent Hill et apprécier Biohazard. D’ailleurs, à propos de Silent Hill, le second épisode est l’un de mes préférés, contrairement au raton. Ce serait avec grand plaisir que j’écrirais une critique positive sur l’Editotaku si l’occasion s’y présente.

Si vous aimez les zombies, jetez-vous sur Highschool of the Dead. Ce manga rend bien hommage aux classiques du genre, croyez-moi.
Pour rester dans le thème des morts-vivants, sachez que je suis en plein dans l'élaboration de mon jeu de rôle basé sur une épidémie. Pourquoi je vous parle de ça ? Because I need you.
Enfin, faites-moi le plaisir de regarder cette vidéo, rien que pour le générique de fin.

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