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Vincent Le Parc lit ce site tous les jours

18 décembre 2008

Left 4 Dead - Quelques conseils à l'usage des petits et des grands

http://www.rchsgamingreviewers.com/left-4-dead.jpg

Par Zerh

En ce mois de décembre 2008, on peut affirmer sans risque que Left4Dead est l’un des meilleurs jeux sortis cette année : du plus pur éclatâge de zombis Romero style. Avant, j’allais sur Garry’s Mod faire spawner des zombis pour leur éclater la gueule à coup de M16 ou de grenades, tout en me disant « Ahhh un jeu où on tuerait des centaines de zombis en même temps… jouissannnnnnnce »
Et bien l’un de mes plus grands fantasmes a été comblé cette année grâce à la team de Valve (Fantasme qui se situait sur ma liste tout juste entre « savoir jouer « Still Alive » de Portal à la guitare » et « coucher avec une cosplayeuse »)

Seulement, drôle de constater comment ce qui fait TOUT l’INTERET d’un jeu multi peut également en constituer le principal défaut : « L’enfer c’est les autres » disait Sartre, et sur internet il a raison. Pour éviter de passer pour le boulet de service à votre prochaine partie, suivez le guide.
Nota : je joue principalement en mode avancé, car je ne suis ni partisan de trop de facilité ni masochiste. Quelques erreurs sont possibles dues aux variations entre les difficultés

Gangbang !

LES REGLES A RESPECTER

1/ NE VOUS AVENTUREZ JAMAIS SEUL. S’il vous faudrait techniquement plus de 2-3 secondes pour avoir un camarade en vue, c’est qu’il y a un problème : les Hunters et Smokers ne vont pas se gêner pour mettre ces secondes à profit. Et qui sait ce qu’il pourrait vous arriver tout seul dans le noir…

2/ LE FRIENDLY FIRE C’EST BIEN , MANGEZ EN.
Scène classique à Left4Dead : Un zombi infecté va me frapper de son poing et me faire perdre quelques précieux points de vie. Heureusement, Francis et son shotgun vont tout de suite le dézinguer en même temps que mes genoux. Ouf, on a eu chaud !
Bref, évitez d’ « aider » vos camarades de cette façon, vous aurez encore plein d’autres zombis à déchiqueter.

3/ STRATEGIES  ANTI-TANK
Ahhhh le tank. Moment critique de la map. Trois stratégies sont possibles pour le dézinguer :
Petit a/ Fuir. Saviez vous que le tank disparait s’il n’a frappé aucun survivant en 20 secondes ? Et ouais. Magique. Alors courez !
Petit b/ Shoot da Motha Fucka! Ou pas. 10 000 PV en mode expert, ce petit salaud. Mais si la fuite n’est pas possible (Bill blessé ou zoey qui se rhabille) alors shootez le.
Petit c/ Le remède du Docteur Molotov. Il faudra au tank 45 secondes pour mourir s’il s’enflamme QUELQUE SOIT SON NOMBRE DE PV !. Donc à éviter absolument : lui lancer un molotov si vous avez déjà choisi la deuxième solution.

Quelques Stratégies anti-witch:
a/ Si vous avez le fusil a pompe upgradé, collez vous contre elle: un coup dans la gueule à terre puis un debout dans la tête et c'est finit (mais à la moindre erreur vous êtes une crêpe)
b/ Avec le fusil à lunette, de loin ou en hauteur vous avez le temps de tirer plusieurs fois, mais pareil, pas le droit à l'erreur. En général contentez vous de passer outre, ça marche bien aussi.
En mode versus, si vous voyez un infecté spécial a coté d'une witch, posez vous la question : Ais-je envie de tomber dans son piège et de lui tirer dessus, ou pas ?
Evidemment, si c'est un smoker, fuyez ou il vous tentacle rape attireras vers la witch, et là vous êtes mal.
 

4/ LES PRIORITÉS
Principale erreur qui coûte la vie à la plupart des joueurs. Le succès d’une équipe dépend avant tout du sens des priorités. Eviter les raisonnements du style « Ma maison est en feu ! Vite ! Appelez la poste qu’ils fassent suivre mon courrier ! » -c’est bête mais ca arrive tout le temps-
Imaginons une situation critique : Bill est dans un placard, Francis vient de se faire sauter dessus par un hunter, Louis est au sol, la Horde arrive, et il n’y a plus de papier toilette.
Les priorités à respecter sont les suivantes :
a/ Avant tout : Libérez vos amis des hunters/smokers. J’insiste : priorité ABSOLUE. Si la horde est déjà sur vous, frayez vous un chemin à coup de poings s’il le faut.
b/ Sortez Bill du placard.
c/ Maintenant seulement occupez vous de la horde.
d/ Quand tout le monde est mort, relevez les survivants mis au sol.
Voilà, c’est cet ordre qu’il faut garder à tout prix. Si vous ne respectez pas le petit a/ votre équipe y passera.


Graou !

5/ STRATEGIES VERSUS
Stratégies pour Infectés :
-Smokers : placez vous en hauteur, a un endroit ou ce sera difficile de vous tirer dessus. Votre langue est longue.
-Hunters : restez en permanence proche du groupe et attendez le petit moment ou l’un d’entre eux sera un poil trop éloigné, ou un appel de horde, ou un tank, et aidez à la confusion quand la confusion vous aide.
-Boomer : vous êtes gros et moche.
Rappel pour ces trois classes: IL N’Y A PAS QUE LES ATTAQUES SPECIALES DANS LA VIE ! les coups de griffes comptent aussi, et font bien mal. Toute façon vous allez y passer, alors autant faire quelques dégats.

Stratégies survivants :
Une seule règle: Courez
Quelque chose que les survivants ne comprennent jamais. Je vois pendant des parties des survivants qui se remettent d’une attaque d’infectés, qui prennent bien leur temps pour vérifier que leurs guns sont remplis et que tout le monde est là, résultat les infectés réattaquent au même endroit (la durée de spawn étant je le rappelle d’a peine 10 à 25 secondes). Quatre fois de suite, parfois.
Votre seule chance de survivre (ou au moins de faire un pas mauvais score) est de Courir et de ne jamais vous arrêter. JAMAIS (exception de l’aide aux camarades entravés, évidemment).

Enfin un dernier conseil, personnel celui-là : Sachez quand lâcher votre équipe. Parfois, il vaut mieux ne pas jouer les héros.

Je rend l’antenne et je vous conseille à tous de rejoindre le groupe de l’Editotaku, ya des bons serveurs et des gars qui maitrisent.

King Of The Surf Guitar

Par Nashi, la mouette qui parle encore d'un jeu musical (en plus de repomper la même intro que lors de l'article précédent)



Quand tout va mal il vous reste le groove!

 S'il y a bien une chose que se demandent ceux qui ne jouent pas aux jeux musicaux c'est bien: Quel intérêt au fond? ( ça et quelques autres questions sur le pourquoi du comment c'est ridicule de ce déhancher sur une musique abrutissante ou jouer des maracas).

En fait c'est une question tout à fait légitime vu que les jeux musicaux n'ont aucun intérêt à proprement parler (à part le fun, les bonnes soirées à plusieurs qu'ils garantissent, ect). Dans un Final Fantasy et plus généralement dans les RPG le but est de dezinguer un ou plusieur grands méchants qui veulent détruire/dominer/ le monde et au passage tuer/annihiler/lawasher/violer (rayer la mention inutile) la populasse locale et le groupe du héros. A la fin d'un RPG vous avez ce sentiment de devoir accompli, vous avez l'impression d'avoir vaguement contribué à quelque chose quelque part, en tout cas vous êtes partis d'un point donné et êtes arrivés à un point final et ça vous donne au moins l'impression de ne pas avoir perdu votre temps. Dans les jeux musicaux rien de tout ça. Même s'il y a parfois un scénario (et encore, les seuls exemples que j'ai en tête sont Elite Beat et Parappa...Donc voilà) , les jeux musicaux n'ont pas de début ni de fin, ils ont une liste de chansons et des niveaux de difficultés, s'tout. Les jeux musicaux n'offre aucun vrais repères de progression hormis les scores, les jeux musicaux n'essaye pas de vous appâter avec un scenar béton, des graphismes de folie ou autre chose, ils n'ont pour eux que leurs playlist, le gameplay et la quête du hight score...

 Et c'est cette quête du hight score que ceux qui n'aiment pas les jeux vidéo musicaux (et une bonne autres parties des jeux vidéo tout cours en fait) ont du mal à saisir : La quête du hight score n'a pas d'explications plus logique que celle du concours de celui qui a la plus grosse. La quête du hight score c'est profondément improductif et c'est ça que certain n'aiment pas, il y a rien de moins compréhensible pour un esprit cartésien (enfin, je place ce mot!) qu'une personne qui refait 50 fois la même piste pour grappiller quelques points supplémentaires à chaque fois, alors que c'est quand même la base la plus solide du jeu vidéo... Et au final c'est quand même toujours vers ces jeux qu'on se tourne quand on a envie de se vider la tête un bon coup. Les RPG vous demandent de réfléchir, les jeux de shoot vous demandent d'être constamment en alerte... Les jeux musicaux vous demandent juste de vous amuser.

Enfin bref, de quel jeu va parler cet article? Je suis sortis en 2008, je suis disponible sur la plate-forme Steam, je suis...?
Audiosurf! Rangez les cotillons et les femmes nues, aujourd'hui ça parle d'un jeu musical pas tout à fait comme les autres.

[blabla=présentation du jeu]

Audiosurf est un jeu exclusivement PC ( XP et Vista), jouable au clavier (mauvaaaais plan), à la souris (bien plus réactif et sympa. Après si vous n'avez qu'un ordi portable est donc peut être pas de souris...Et bien là préparez-vous à une bonne séance de manucure sauvage) ou à la manette (non testé mais ça doit être comme le clavier à mon avis). Il est développé par les gentils gens de chez Invisible Handlebar et est distribué par Valve Corporation (qui a un logo moche, oui moche) par le biais de Steam (la démo du jeu est dispo ici et vous permet de tester 3 chansons). Ah! Et c'est du rythme, forcément.

[/blabla]

 J'ai déjà dit dans l'article précédent que le gros d'un jeu vidéo musical est sa playlist (oui, rock band avec du classique ça serait chiant par exemple, tout comme on ne voit pas du gros rock violent sur Samba de Amigo), une playlist qui est totalement absente chez Audiosurf (hormis l'OST Orange Box déjà dispo au début du jeu). En fait Audiosurf vous permet de jouer avec n'importe la qu'elle des musiques et chansons dispo sur votre ordinateur. Vous rêviez de pouvoir jouer sur des titres comme votre opening du moment ou le main thème de Monkey Island ? C'est possible avec ce jeu du moment que vous avez le mp3 sous la main. ( Et vous n'allez pas me faire croire que des grands comme vous ne savent pas où trouver leurs bonheurs en matière de mp3. )

Et sinon comment ça se joue? Audiosurf, comme son nom l'indique vaguement, vous permet de surfer sur votre musique. Qu'est-ce ça veut dire? Ça veut dire que la musique que vous fournissez au jeu va généré un parcours divisé en 5 (3 en normal et difficile selon le personnage que vous prenez) zones, zones où se déplace un petit vaisseau futuriste qui doit choper un maximum de bloc de couleurs tout en évitant les blocs gris ( il existe d'autre mode où les blocs gris disparaissent et laissent place à des blocs de différentes couleurs que vous devez réunir par groupes de 3 ou plus. Je trouve par contre ces modes moins fun que l'autre). Là où ce jeu est réellement intéressant c'est que le parcours qui est créé suit la musique. Ce que je veux dire c'est que par exemple si le rythme de la musique est rapide, votre vaisseau sera rapide (et accessoirement les blocs récupérés sur ce genre de passage valent plus de points), si votre musique est calme votre vaisseau sera lent. Il y a aussi des subtilité comme par exemple le nombres de bloc directement influencé par le rythme, l'inclinaison de la pente qui sera descendante pour un rythme rapide et montante pour un rythme lent ou encore des bosse qui apparaitront sur la piste à chaque percussion (Attention sur "One Winged Angel" la chanson qui abime les pacemakers).

 Du coup non seulement vous faites vous-même votre liste de pistes, mais en plus indirectement vous choisissez comment sera vos pistes...Après, je dois dire qu'avec quelques heures de jeu au compteurs et plusieurs musiques passé au crible: Les musiques lentes sont chiantes à jouer (c'est long, pas très intéressant, quel intérêt d'un truc long et chiant dans un jeu de rythme?), les rapides peuvent être très rapidement casse-coui...Pieds ( Oki tu fais du 300 Km/s sur du bon gros rock agressif...Mais par contre tu fais que ça et il te faut plus de 60 essais pour réussir à finir la piste sans te prendre un bloc gris parce que ça va trop vite pour que t'arrive à le différencier des autres...Pas de bol, avec les couleurs pétante du soft tu seras au sol en train de convulser tout en bavant partout sur la moquette avant d'en être vraiment capable). Les meilleures pistes sont donc celles qui descendent mais pas trop (évités à fond les pentes bien raides, surtout au début), idéalement avec quelques petits passages un peu calme pour reposer, évitez aussi tout ce qui commence bien rapidement (mention spéciale au OST de jeu pour le coup), sans même vous en rendre compte le vaisseau aura déjà loupé 3,4 blocs avant même que vous soyez vraiment prêt.

Sinon pour ce qui est du choix de la musique je conseille surtout tout ce qui est rock ("Higtway to hell" passe bien "Money for nothing" aussi), instrumental pourquoi pas (L'opening de Baccano! est vraiment sympa à jouer), voire même OST ( y en a qui aime Touhou dans le coin, non? Y a aussi pas mal des battle thème de vos RPG favoris qui pourraient valoir le coup d'être testés ).

 Pour accorder le premier bloc et le second de cet article, n'oublions pas que le jeu propose un classement mondial, par pays et par liste d'amis pour chaque chansons ( vous pouvez aussi, pour être sûr de bien jouer à la même chanson que les autres joueurs, utiliser le moteur de recherche des chansons les plus jouées). Un concours de taille à l'échelle du monde et sur un jeu musical qui plus est, ça vous tente?
Dernier point, le jeu ne vaut que 10$ ce qui n'est pas franchement cher, offrez-vous ça pour les fêtes, c'est plus sympa qu'écouter mamie qui parle de ses problèmes de dos ou du bon vieux temps.

Otaku frustré en plein désarroi

Par Trit’


Note : cet article est garanti SFW, sans hentai !

N’avez-vous jamais eu la désagréable sensation d’être arrivé(e) trop tard pour quelque chose ? Vous pensiez avoir tout le temps que vous vouliez avant, mais une fois décidé(e), on vous a fait comprendre que non, c’est fini, et rien ne permet de penser que ça reviendra un jour...

Frustrant, hein ?

Je sais : je vis la même chose. C’est même la raison pour laquelle je me suis mis à écrire tout ce qui va suivre.

Je commencerai ainsi cet article par une petite histoire, absolument véridique (et j’ai un témoin qui pourra le prouver !). Le sous-titre pourrait d’ailleurs en être « Acheter les DVD ? Encore faut-il pouvoir les trouver ! ».

Profitant d’un élan de PASSION d’une baisse d’intensité de flemmingite otakienne, je me décide à affronter la bise hivernale pour me rendre dans une enseigne très connue, à la recherche du temple perdu des volumes n°3 et 6 d’un certain anime, licencié en France par un certain éditeur (chez qui j’ai jadis acquis le sublime Kimi ga Nozomu Eien/Rumbling Hearts). Pour info, ce n’est jamais que la quatrième ou cinquième fois au moins que je fais ça depuis près de deux mois... Oui, je suis quelqu’un de patient, de très patient même !

(En fait, il n’y a qu’avec les boulets que je ne le suis pas, ce qui m’a conduit à en devenir, pour ainsi dire allergique... Fin de la parenthèse !)

Une fois arrivé sur place, go direction le recoin paumé où est censé se trouver le précieux trésor. Rapide examen visuel des titres disponibles (tiens, il reste encore un coffret collector du volume 2 de notre Déesse, qui semble d’ailleurs être en vacances aujourd’hui, puisque le site est indisponible en ce... 18 décembre !) : oui, il y en a ! Oui, mais... Un seul volume 4 (dont le blister est en partie déchiré sur le dessus) et deux volumes 5 en tout et pour tout ! Pas de bol : j’ai déjà acheté ceux-ci il y a un mois ! Oh, une copine que je rencontre d’ordinaire là où on nous prépare à nous occuper de vrais lolis et shotas en 3D : cours d’arts visuels annulé, elle en profite donc pour chercher un cadeau pour son neveu... Salutations et rendez-vous à demain, nous reprenons chacun nos routes respectives : elle pour trouver son cadeau, moi pour attendre un responsable du rayon DVD quand il/elle daignera bien revenir à son guichet d’accueil. Je vous épargne l’attente et, lorsque j’en ai enfin l’occasion, je lui présente ma requête, en épelant bien le nom du titre que je recherche.

Réponse : « J’ai bien le 4 et le 5, mais pas le 3 ni... Ah, le 6 est même supprimé ! Et l’intégrale, j’ai pas non plus ! »

Soupir... En même temps, je ne suis pas vraiment surpris : oui, Raton-Laveur l’avait dit autrefois dans un de ces articles (celui qui parle du générique d’ouverture de la suite, en plus !) ! Oui, je sais très bien que ça fait des mois que le planning des sorties de cet éditeur est aussi vierge que mon casier judiciaire, et que le rédacteur de cet article par la même occasion (virginité dont je ne suis pas le seul à n’en éprouver aucune honte, voire même que j’irais revendiquer) ! Mais comme le site web de l’enseigne dit tous les avoir, avec au pire une attente d’environ une semaine maxi...

Justement, pourquoi ne pas commander directement par Internet ? À partir du site de l’éditeur ? Pas recommandé, étant donné que le nombre de commandes non encore honorées et pourtant déjà encaissées commence à ne plus être négligeable. À partir du site web de l’enseigne ? Mêmes échos qui ne m’encouragent pas à oser m’y risquer...

De toute manière, j’aime bien pouvoir acheter directement et IRL le produit que je désire, et là, force est de constater que ce n’est pas toujours possible. La preuve : j’ai même été me rendre juste après chez un concurrent heureusement situé non loin. Hélas, celui-ci a réorganisé ses rayonnages, et alors qu’une dizaine de mètres de mur étaient consacrés aux animes, il n’y en a plus que trois, délocalisés, depuis quelques mois... avec la réduction de séries proposées qui s’ensuit (dire que ce n’est qu’aujourd’hui que j’y ai vu des DVD de Haruhi...) ! Et comme je ne comptais pas troquer les DVD manquants de ma série du moment contre l’intégrale de Rozen Maiden, de Negima!? ou d’Elfen Lied, bah tant pis, je me suis contenté d’acheter mon cadeau de Noël pour mes parents et rentrer chez moi !

Je sais que le monde réel est loin de correspondre à l’idéal du nolife/otaku/geek/nerd et que c’est la crise (avec en plus le coup des milliards engloutis par l’affaire Madoff qui n’arrange pas), mais en ces temps troublés, est-il vraiment irréaliste de simplement souhaiter que les séries animées acquises en France puissent être disponibles à l’achat autrement que par le seul biais d’Internet (pour ne citer qu’elles) ?

En tous les cas, celui/celle qui me permettra de compléter ma collection aura droit à un câlin de ma part (et ne me prenez pas pour un de ces lourdeaux de freehuggers, merci !) !

Oh, et j’allais oublier : très bonnes fêtes de fin d’année à tou(te)s !!!

Oui, j'ai emprunté cette image à Axel, merci à lui.

Piqûre de rappel : Fantasyx08®

Par cap.peter


Et voilà, Noël approche à très grand pas, beaucoup d'entre nous vont se goinfr... Mince, voilà que je recycle le seul article (un bien grand mot d’ailleurs, il faut l’avouer) posté il y a quelques années lors de ces sessions d’apparences sauvages et libertogènes que sont les Quartiers Libres de ce *insérez ici flatterie bien baveuse* Raton. J’avais tenté, en tant que néophyte, d’apporter un peu de nouveauté (rien que çà ? N’est ce point trop présomptueux, petit ?) dans ce monde virtuel où se mélange, tel un magma plus ou moins immonde, des trucs en rapport, dans 80% des cas, avec le cul.

 

Car oui messieurs (et mesdames, bien qu’elles soient minoritaires : à quand la “discrimination” positive sur ce site ?), le sexe prend une part de plus en plus conséquente dans notre société, et cette réalité transpire jusque dans les thèmes abordés dans l’editotaku. N’étant pas un fan invétéré d’animes, de mangas et autres bestioles bizarres venant de l’autre bout du monde (notez mes connaissances ultimes en géographie), je me rabats sur des articles mineurs (dans leurs nombres, pas leurs qualités) traitant les arts de la table, du catch, ou des sites de rencontre sur internet (diantre, aurai-je confondu avec un autre haut lieu de la toile ?!).

Sus aux infâmes déviances ! Il est temps de purifier un peu tout çà : et quel meilleur moyen que de la “lecture” pour remettre à zéro les compteurs (et non les Minitels), ou, tout du moins, entamer un rétrocontrôle négatif sur vos esprits vérolés par ces flots incessants d’images pornographiques, de violences inutiles envers les femmes (et d’autres êtres-vivants d’ailleurs). Les nombreux mois m’ont permis d’ingérer une quantité acceptable de bouquins, à la qualité variables (le contenu, pas le contenant, on est d’accord ? Je ne suis pas encore xylophage, contrairement à certains étudiants en droits ou, mieux, premier cycle de médecine.), à un rythme plus qu’irrégulier. 

Je ne ferai pas l’affront d’apporter une norme quand aux lectures fortement recommandées, notamment dans cette catégorie alléchante qu’est la Fantasy. La majorité a sûrement lu et relu les bouquins qui vont être cité, aussi veuillez excuser, d’avance, les propos qui suivront.

Les nombreuses sagas de R. Hobb :

La magie d’un individu comme vous et moi (nous ne sommes, malheureusement, pas exceptionnels), c’est qu’avec le temps, son opinion sur tels ou tels sujets peut se modifier : attention tout de même, la variabilité des modifications (de nulle à extrême européen) est fortement influencée par les facteurs individu et sujets. Ce fut mon cas avec Hobb : J’ai et j’encense encore l’Assassin Royal, véritable réussite à mes yeux (les seuls d’ailleurs, les critiques étant, finalement assez acerbes). Je ne m’attarderai pas sur le phénomène, vous aviez deux ans pour vous mettre au parfum (ou pas). 

Le Bâtard n’avait même pas fini ses cabrioles avec le Fou que débarquai, tel un cyclone de niveau 4 (avouez que j’assure question phénomènes météo, hein ?), Les Aventuriers de la Mer, saga bien plus courtes, tant dans le nombre de tomes que de rebondissements. Sur l’échelle de Richter, si les déboires du gamin maîtrisant l’Art et le Vif est comparable au Big One, il n’en est pas de même pour les valeureux marins, pirates et autres pilleurs de “tombes”, spécialistes malgré eux des gros serpents.

Et puis, il y a quelques mois, alors que de grands auteurs me murmuraient des mots doux, une troisième saga pointa le bout de son nez : Le Soldat Chaman. Attention, ici, pas de dragons, de magies héritées et autres pierres aux pouvoirs originaux. Un nouveau monde, des nouveaux personnages et une nouvelle histoire. De nouveaux frissons ? Pas vraiment : on a la vague impression d’avoir du Fitz, en moins torturé, moins convaincant. La plume d’Hobb s’émousse. Dommage, vraiment.

Les bijoux de la famille Eddings :

Je risque d’attirer les foudres de pas mal de gens en affirmant que ces deux auteurs, c’est du moyen plus. Certes, peut être m’y suis-je pris comme un pied, en commençant par la Trilogie des Joyaux ? Et puis quand on s’est tapé pas loin de 10 000 pages de la demoiselle Lindholm, n’est-on pas un peu formaté (voire même mal formaté, tel une disquette  souple toute pourrie, planquée au dessus du tourne disque de papa dans le grenier) ? Alors oui, ce qui change, c’est l’humour, omniprésent, et curieusement, très apprécié dans la narration. On se surprend à sourire, lâcher un petite rire même, lors d’une répartie d’Emouchet ou des ses acolytes. A voir. L’échantillon n’est peut être pas assez représentatif.

Grimbert, Ji adhère !

De la fantasy française, si si. Et pas mal par dessus le marché. Cet auteur a trouvé une formule personnelle, avec une style, une histoire et un monde assez atypiques. Deux cycles en ressortent : le Secret et les Enfants de Ji. Alors oui, on est dans un énième road trip, où quelques inconnus vont, par la force des choses, sauver leur monde. Cependant, ce classicisme rassure le lecteur, qui peut se "concentrer" sur les personnages bien trempés et attachants. Grimbert s’emploie à les rendre d’une complémentarité presque D&Desque, et leur progression paraît rythmée par des lancés de D20. 

Voilà, il y a bien d’autres oeuvres qui mériteraient un petit avis à la volée, mais j’en vois déjà qui dorment, sont retournés sur Fakku, relance une campagne (en hard) de Soul Storm ou Red Alert 3, ou essaie de choper Tom Nook derrière le comptoir, histoire d’avoir un rabais sur une armure de plaques +3. Un très court listing suffira donc :

Cycle l’Epée de Vérité, Terry Goodkind : pour certains le meilleur des meilleurs, pour d’autres une véritable arnaque. Le premier tome serait à lire, et se suffirait (presque) à lui seul.

Hors fantasy (est-il nécessaire de le préciser ?) :

La Règle de Quatre, Ian Caldwell et Dustin Thomason : pour ceux qui ont eu une érection avec le Da Vinci Code et/ou les autres bouquins du même auteur (non, je ne mettrai son nom sur cet article, de peur de faire une mauvaise pub au raton...). L'histoire est prenante et les personnages un peu niais (à mon goût). Le côté historique mériterait d'être creusé, même si ça sent la tentative de best-seller à plein nez.

La Vie en Sourdine, David Lodge : inclassable. Pour les jours où le moral n’est pas au beau fixe. Mieux qu’un Prozac. Lire la notice (non fournie) avant utilisation. L'abus d'histoire se déroulant au Royaume-Uni nuit gravement à la santé (mentale).


Excellente lecture à tous ! 



PS : eBay, Amazon ou France Loisirs (et tout les autres, dieu sait qu'ils sont nombreux) proposent la majorité de ces oeuvres à divers prix, qualité et format. En la jouant fine, on peut se faire plaisir et ne pas taper dans son budget jeux PC, figurines, alimentation ou même prostituée.

17 décembre 2008

Onani Master Kurosawa : just as fapped !

Article fanatique rédigé par votre serviteur 2D-fanboyesque.

Warning : cet article peut être choquant au niveau des propos.

Premier article pour le Quartier Libre de ma part après tant de Quartiers Libres passés à lurker. En effet, j'ai décidé d'utiliser mes doigts (propres je vous rassure) pour autre chose que je décrirai plus tard, voici un article sur Onani Master Kurosawa (オナニマスタ黑沢).

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Site contre-productif

Par Wan

Présentation d'un site contre-productif

Alors que vous connaissez certainement 4chan, le site le plus sombre et obscur d'Internet, il y a un autre site diffuseur de conneries plus grosses (ou pas) que celles du futur-ex-président des States.

Pown.

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En avant vers le passé

Par Mdt

Warning : cet article n'a strictement aucun interêt.

Hier soir, le Raton me sortait que j’étais devenu vieux parce que je n’avais pas de gros troll sous la main pour son quartier libre, comme jadis. En plus, me fit-il, « le quartier libre, c’est humanitaire, ça permet aux types que personne ne lit de profiter de la popularité du meilleur blog francophone, le mien, pour récupérer quelques lecteurs » (cette phrase a été passée au filtre de la déformation/amplification). Connerie que tout ça, chacun sait que les seules raisons justifiant le quartier libre sont 1/ augmenter la taille du déjà conséquent e-penis du Raton et 2/ éloigner le plus possible de la page d’accueil ses derniers articles repousse-dinde, heureusement, ce plan est un échec. Ah, oui, 3/ PROFIT aussi, ça sert toujours. 

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Distance, un mangaka engagé ?

Par Aer

Suite à mon article du quartier libre d’été, voici le NSFW promis, ce qui fera plaisir à mon double maléfique. Il n’est pas si very very comme annoncé, car à la base je voulais le faire sur un thème que j’apprécie particulièrement : le futanari. Je me suis retrouvé un peu con devant mon écran, car je n’ai pas vraiment trouvé quoi dire dessus. Peut être un autre jour.

En attendant, bonne lecture !

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Je ne surprendrais personne en disant que le Hentai est un marché énorme, trop énorme. Entre les mangas, animes, visual novel, jeux à moitié interactif (oppai slidder, sexy beach, entre autre), et sans parler des doujin, le consommateur est un peu perdu.

En France, nous avons eu quelques sorties, notamment dans le milieu de l’anime avec des titres connus et reconnus comme Bible Black, La Blue Girl, Les pervers du train etc. Pour les mangas, quelques sorties aussi, notamment les G-Taste et peu ou prou tout ce qui était sortit aux States dans la collection Eros Comics. Compte tenu du caractère particulier des supports, il est normal et logique que les éditeurs soient frileux, voir suspicieux.

Dans le petit milieu du fansub, il y a eu pas mal de trad faites pour les animes. Les manga ont eux aussi commencé, mais bien plus lentement. L’ancêtre français étant sans aucun doute la team HHH  (Hardcore Hentai Headquarter), suivi depuis par deux trois autres team, comme Oasis France et Futa France (eh ouais !).

Grosso merdo, le type qui veut saisir ce que contiennent réellement ces ouvrages devra se pencher sur le web anglophone, et plus particulièrement les regroupements de Blogs, parfois par des Team entières, parfois par des One Man Standing (comme SaHa ).

Hors donc, il est désormais possible à tout un chacun de capter ces petites histoires croustillantes, et parfois les surprises sont bonnes.

Suite à une discussion endiablée sur le sujet avec quelques personnes via irc il y a de cela quelques mois, un intervenant remplissant son rôle nous a sortit un « J’aime bien le Hentai, mais je n’aime pas trop quand les nanas sont forcées ». Sur le coup, personne n’a vraiment réagis à la remarque, continuant de deviser de qui faisait les plus grosses poitrines, qui faisait les plus violent bukkake, et autres joyeusetés. Mais depuis, je me suis mis à réfléchir là-dessus. Comme de plus en plus d’œuvres se trouvent traduites, il est aisé de choisir ce qui nous plaira le plus, et de voir si, réellement, les femmes sont forcées ou non.

Comment reconnaître un acte forcé quand on ne parle pas le japonais :


Tout d’abord, sortons de cette habitude de prendre les larmes pour des marques de douleurs. Dans TOUT les H-manga, les nanas se retrouvent les larmes aux yeux sous les assauts surpuissants de leurs partenaires. C’est une constante facilement démontrable. De même que la plupart des tics faciaux : les dents serrées, la langue pendante, les yeux révulsés ou exorbités. Tout cela ne dénote pas forcément un acte forcé.

Forcé ? Pas forcé ? Pas forcé ouais.

Le bondage, et autres dérivés, est quant à lui un indice bien plus parlant. Malgré le faite que certains auteurs aiment bien mettre des nanas attachés qui prennent leurs pied, ils s’en servent généralement pour ce genre de procédure.

Un bondage particulier offert par l’ami Type.90.

La plupart du temps, il faudra hélas s’en remettre à son intuition. Des hommes gros et moches, souvent mal dessinés qui rentrent dans une maison, une femme horrifié qui doit faire des choses devant son fils. Il y a surement un acte forcé la dessous.

Une femme se faisant prendre pendant que des électrodes la grillent aux points sensibles et que de la cire chaude lui coule dessus. Je ne sais pas vous, mais je ne pense pas qu’elle soit trop d’accord.

Pas d’image, je vous laisse avec votre imagination.

Brayf, tout ça pour en arriver à ce qui nous intéresse, Distance.

Cette personne officie dans le milieu du Hentai depuis pas mal d’années, comme nous le montre la doujinshi DB. Il a été publié chez divers comics : Séraphim, Tenma, Mégastore et Mégastore H.

Le manga dont je veux parler aujourd’hui a lui été publié dans le comics Man-Ten (ce que je suppose être l’ancêtre du Tenma), et est en quelque sorte « l’œuvre » du mangaka, son histoire la plus connue. Répartie en trois tomes, l’on suit l’histoire d’une jeune fille dans sa nouvelle école, école remplie de gens fous de sexe, of course.

Le trait de l’auteur est assez clair et efficace, facile à repérer. Il fait généralement dans l’oppaï bien sentit, et ça fait plaisir face à la horde de loli accro. Les plus fins auront remarqué que j’avais déjà glissé une de ces planches plus haut.

On a donc affaire à du Hentai sympa, dont la seule « divergence » concerne la taille des seins de ses héroïnes. Pas de sexe démesuré, de kilo litres de sperme ou de batte de base-ball dans l’entrejambe ; pour le reste, les scènes sont sympathiques, pas vraiment exagérées (bien qu’on ait affaire à des dieux du sexe, comme de partout dans le milieu). Du travail de qualité à tous les niveaux. Malgré ce que l’on pourrait supposer en lisant la suite de l’article, Michael Keikaku est sa seule œuvre un peu zarb.

Déjà, cela met la puce à l’oreille. De la qualité dans le Hentai ? C’est peu banal me diront certains. Arrête ton char me rétorqueront d’autres. Oui mais…

Michael Keikaku commence par une scène de sexe banal, entre un jeune homme et une prof. Le dessin est encore assez léger, voir hésitant, à ses débuts. La scène se déroule pépère, et puis tout à coup le monsieur disparaît et une nana (celle de la couverture) se retrouve prise par trois braves gens, avant de se réveiller.

Elle arrive alors en bus dans sa nouvelle école, un lieu catholique ou seules les femmes sont admises, et l’on découvre qu’elle déteste totalement les mecs. Suite à quelques aventures nocturnes avec ces compagnes de chambres qui, elles, ne se gênent pas pour inviter des mâles, Midou, notre héroïne, se retrouve coincée dans un placard avec un garçon déguisé en nana, vu qu’il faisait le guet. Complètement beurré, elle commence à se le faire, jusqu’à se rendre compte de son erreur, et le tout finit par une petite scène ou elle dit se faire « encore violé ».

Après toutes ces aventures, une de ses nouvelle amie vient la réconforter, et l’on découvre alors son passé dans un flashback.

Retour au  mec du début de tome, Shizuku, de son nom, est l’exemple type du connard de Hentai. Se tapant toutes les nanas qui passent sans aucun scrupule, il avoue juste aimer ça. A ce moment, sa prof de bio chimie l’invite à une petite « discussion » avant de lui faire ingurgiter une pilule lors d’un baiser langoureux. La prof continue de le questionner sur ce point pendant leur échange, jusqu'à une prophétie qu’elle lui fait qui ne tarde pas à se réaliser.

A partir de là, les deux chapitres suivants sont plus qu’intéressants. Tout d’abord Midou découvre son nouveau corps et les attraits qu’elle provoque sur les hommes, les réactions débiles de ses parents. Elle se retrouve rapidement à jouer de sa poitrine afin de se faire payer un repas gratos, et décide de se barrer vite fais à la fin avec un des deux hommes qui lui ont fait cette proposition. Ce petit gros se retrouve être un otaque (évidemment), qui se sent tout gêné et excité d’avoir une jeune demoiselle chez lui. Elle commence à en jouer plus par fun qu’autre chose, avant que la situation ne dérape inévitablement.

Ca manque de Type.90  tout ça.

A partir de là, notre héro/ine fait quelques observations :

Premièrement, il/elle découvre qu’une nana est moins forte qu’un mec.

Deuxièmement, il/elle découvre que les réactions corporelles d’une nana lui explosent le cerveau.

Troisièmement, malgré son refus de coucher, il/elle se sent tout excité.

Quatrièmement, continuant dans ce coté, il/elle ne peut pas se retenir de gémir, de répondre aux attentes de l’otaque.

Cinquièmement, qu’un sexe masculin n’est pas forcément très beau vu d’en dessous, ni lors d’une pénétration (oui en plus la pilule l'a rendue vierge).

Finalement, il/elle se retrouve dans la même situation que la plupart des femmes avec qui il/elle couchait.

Par la suite, Midou va commencer à s’intégrer dans l’école, avant de se retrouver à nouveau en face à face avec sa némésis, à savoir la prof de bioche. Celle si c’est fait implanté son ancien pénis (ne me demandez pas comment ni pourquoi, ça reste du Hentai) et décide de la foutre enceinte.

Fin du premier tome, tin nin !

A la lecture de ce tome, j’avoue avoir été surpris par le travail effectué par l’auteur. On reste bien sur dans une approche sexe et désir propre au Hentai (quel homme n’a pas rêvé d’être une femme ?), et le tout sert bien sur à amener des scènes excitantes. Mais ce petit côté « tavu ce que c’est que d’être une nana dans le H, noob ! » m’a titillé. Déjà, proposer du Hentai bien construit, avec des relations un poil approfondies entre les persos est rare, mais montrer au lecteur qu’il n’est qu’un petit con remplis d’une vision tronqué du sexe, c’est balaise.

Cela fait quelques temps que je vois ce genre de manga, amenant à un peu plus de respect et de réflexion. Je ne sais pas s’il s’agit juste d’une mode, ou bien si le phénomène glisse vers une nouvelle pente, mais il est très intéressant.

Merci aux membres de hentai rules d’avoir traduit ce premier tome. Le deuxième est trouvable sur la toile, et le troisième est en cours chez Tadanohito.

16 décembre 2008

Petite histoire d'amour sur cette triste planète

Article tout mignon par Shikaze

Ben oui, pour une fois, je me laisse tenter à faire dans le moe.

je vais donc vous parler d'un jeu, en l'occurence une Visual Novel. Avant toute chose, pour les ignares, Visual Novel, plus souvent abrégé en VN, kesako ? Ni plus ni moins que le pendant vidéoludique des bons vieux 'Livre dont vous êtes le Héros' qui ont bercé notre enfance (ou au moins la mienne). A ce propos, j'en profite pour faire un aparté rapide, mais les livres de Loup Solitaire (Lone Wolf en anglais), sont disponibles gratuitement et légalement sur le net ici.  Pour les ignares, ceci veut dire que dans une VN, on a souvent des choix qui nous sont proposés, et chacun de ces choix va influer sur le déroulement de l'histoire, pour créer ce qu'on appelle ensuite une route. Le but du fan ultime étant, bien entendu, de réussir à compléter toutes les routes possibles d'une VN, afin d'avoir l'histoire la plus complète possible.

Bien entendu, c'est d'un eroge (contraction de erotic game) dont je vais parler, même si le sexe n'est pas particulièrement le point le plus important ici. Oui, je sais 'Comment ?!? Du scénario dans MON pr0n ?'. Et bien OUI, ça arrive. Donc attention, va y'avoir du H. Voici donc Saya no Uta.

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15 décembre 2008

Le Catch Pour les Nuls.

par Amo

Allez, avouons le, on a tous des préjugés. Un de mes nombreux préjugés est d'avoir considéré le catch comme un sport truqué, crétin et ou des masses de muscles se font des calins pendant vingt minutes devant des dizaines de milliers de spectacteurs (et des millions de téléspectateurs en plus.) Jusqu'a ce que je découvre la vérité un soir de décembre 2007: mais c'est très sympa en fait.

Oui mes amis, le catch est truqué. Oui, les résultats sont décidés à l'avance. Oui, l'Undertaker ne vient pas de la Death Valley pour de vrai et son véritable nom est Mike Callaway. On sait tout cela. Ce que je vous propose sur l'éditotaku pour ce quartier libre est une formation au catch: faire la différence entre les fédérations, qu'est-ce que le langage du catch, le vocabulaire à acquérir, comment en voir, et comment ça se passe en live, quels sont les catcheurs marquants, quels sont les différents shows de la WWE, et caetera et caetera ?

Hélàs, contrairement à mes deux précédentes et amonitesques interventions au sein de ce quartier libre, je serais assez pauvre en images Tony Taka, puisqu'il n'y en aura que deux. Je tiens à exprimer mes excuses.

Intro géniale

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